Les efforts consentis dans le cadre des dispositions contenues dans la stratégie e-Algérie 2013, devront amplement doubler en vue de mettre sur pied une stratégie «claire» mais aussi «complète». C'est ce qu'ont expliqué les experts du secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC), réunis hier à Alger, lors d'une conférence au Conseil de la Nation. Les participants à la conférence sur l'administration électronique, intitulée «La politique nationale dans le domaine des TIC» ont soutenu la nécessité de toucher tous les aspects liés à ce secteur. Ils ont également expliqué qu'il était «nécessaire de faire une véritable évaluation de la situation de la e-administration actuelle, qui est une des dispositions les plus importantes de la stratégie e-Algérie 2013». Lors de son intervention, M. Laskri Tayeb, membre du Conseil de la nation, intervenant sur le thème du «e-gouvernement : enjeux et perspectives», a soutenu la politique nationale relative au secteur des TIC qui vise, en premier lieu, à moderniser l'ensemble des administrations publiques ou privées, à travers l'amélioration de sa gestion et de son rapprochement du citoyen ainsi que le rapport qu'elle entretient avec lui. Pour notre interlocuteur, la question de l'e-administration constitue la «clé de voûte» du développement de la société de l'information, à laquelle les pouvoirs publics aspirent. Le e-gouvernement a pour objectif de mettre en place une administration de meilleure qualité devant permettre aux usagers de ne plus se déplacer de guichet en guichet. Il ajoutera, entre autres, que les TIC, en sus d'être devenus un vecteur essentiel dans tous les projets économiques, permettent d'avoir un «renouveau démocratique», notamment par le biais des pétitions électronique, du vote, sondage, consultations en ligne etc. S'agissant de la révolution numérique, il soutiendra la nécessité de l'adaptation de la gestion des institutions publiques et des entreprises, aux nouvelles technologies. Tous ces projets, à l'instar de celui abordé, voire leur concrétisation, a-t-il indiqué, représente, certes, un coût financier énorme en matière de l'investissement, mais son impact sur le développement du pays sera des plus positifs. Selon Mme Zahia Brahimi, directrice centrale au ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la communication (MPTIC), il est primordial de mettre à niveau le cadre juridique algérien afin de l'adapter aux nouvelles exigences et évolutions du domaine des TIC. La formation, a-t-elle dit, est également une nécessité. Le passeport et la Carte d'identité biométrique et électronique ont, eux aussi, été abordés durant la conférence. M. Nourredine Mourad, commandant de la Gendarmerie national et ingénieur en informatique, a indiqué qu'une commission a été créée au niveau du ministère de l'Intérieur. Celle-ci, composée d'ingénieurs algériens, a-t-il dit, est en charge du suivi du dossier de la biométrie. Cette équipe met en place un nouveau procédé de traitement de données permettant de gérer tout le flux relatif aux données des citoyens. Par ailleurs, depuis le lancement de l'opération des documents biométrique, en mars dernier, environ 70.000 citoyens se sont présentés faire la demande de leur nouveaux documents biométrique et électronique, a-t-il ajouté. Les efforts consentis dans le cadre des dispositions contenues dans la stratégie e-Algérie 2013, devront amplement doubler en vue de mettre sur pied une stratégie «claire» mais aussi «complète». C'est ce qu'ont expliqué les experts du secteur des technologies de l'information et de la communication (TIC), réunis hier à Alger, lors d'une conférence au Conseil de la Nation. Les participants à la conférence sur l'administration électronique, intitulée «La politique nationale dans le domaine des TIC» ont soutenu la nécessité de toucher tous les aspects liés à ce secteur. Ils ont également expliqué qu'il était «nécessaire de faire une véritable évaluation de la situation de la e-administration actuelle, qui est une des dispositions les plus importantes de la stratégie e-Algérie 2013». Lors de son intervention, M. Laskri Tayeb, membre du Conseil de la nation, intervenant sur le thème du «e-gouvernement : enjeux et perspectives», a soutenu la politique nationale relative au secteur des TIC qui vise, en premier lieu, à moderniser l'ensemble des administrations publiques ou privées, à travers l'amélioration de sa gestion et de son rapprochement du citoyen ainsi que le rapport qu'elle entretient avec lui. Pour notre interlocuteur, la question de l'e-administration constitue la «clé de voûte» du développement de la société de l'information, à laquelle les pouvoirs publics aspirent. Le e-gouvernement a pour objectif de mettre en place une administration de meilleure qualité devant permettre aux usagers de ne plus se déplacer de guichet en guichet. Il ajoutera, entre autres, que les TIC, en sus d'être devenus un vecteur essentiel dans tous les projets économiques, permettent d'avoir un «renouveau démocratique», notamment par le biais des pétitions électronique, du vote, sondage, consultations en ligne etc. S'agissant de la révolution numérique, il soutiendra la nécessité de l'adaptation de la gestion des institutions publiques et des entreprises, aux nouvelles technologies. Tous ces projets, à l'instar de celui abordé, voire leur concrétisation, a-t-il indiqué, représente, certes, un coût financier énorme en matière de l'investissement, mais son impact sur le développement du pays sera des plus positifs. Selon Mme Zahia Brahimi, directrice centrale au ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la communication (MPTIC), il est primordial de mettre à niveau le cadre juridique algérien afin de l'adapter aux nouvelles exigences et évolutions du domaine des TIC. La formation, a-t-elle dit, est également une nécessité. Le passeport et la Carte d'identité biométrique et électronique ont, eux aussi, été abordés durant la conférence. M. Nourredine Mourad, commandant de la Gendarmerie national et ingénieur en informatique, a indiqué qu'une commission a été créée au niveau du ministère de l'Intérieur. Celle-ci, composée d'ingénieurs algériens, a-t-il dit, est en charge du suivi du dossier de la biométrie. Cette équipe met en place un nouveau procédé de traitement de données permettant de gérer tout le flux relatif aux données des citoyens. Par ailleurs, depuis le lancement de l'opération des documents biométrique, en mars dernier, environ 70.000 citoyens se sont présentés faire la demande de leur nouveaux documents biométrique et électronique, a-t-il ajouté.