La plupart des APC de la wilaya de Béjaïa ont été paralysées ces deux derniers jours suite à l'appel du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap). A Béjaïa et à Akbou le taux de suivi, avant-hier lundi était respectivement de 98 % et 95 % selon le coordinateur du Snapap. A Akbou tous les services de l'APC étaient à l'arrêt la voirie, l'état civil et l'ensemble des autres services communaux. Idem pour les APC de Chellata et Chemini, selon certains échos. Selon le coordinateur des communes, le gouvernement n'a pas tenu compte de la situation sociale des travailleurs et du pouvoir d'achat en constante dégringolade. "Nous nous battons, depuis 2008, pour l'amélioration de nos conditions sociales, mais c'est le silence total du côté du gouvernement", poursuit-il. Et de revenir sur la révision à la hausse du point indiciaires, l'une des revendications principales pour que les salaires des communaux, qui ne dépassent pas les 9 mille dianrs pour les plus bas, soient majorés. Les autres revendications concernent l'élaboration d'un statut particulier, la promulgation du régime indemnitaire, l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90-11, relative aux relations de travail empêchant toute augmentation du SNMG, le maintien du départ à la retraite sans condition d'âge est également l'une des revendications. Les communaux veulent aussi la réintégration des contractuels qui cumulent de nombreuses années de travail sans avoir été permanisés à leurs postes. A . K. La plupart des APC de la wilaya de Béjaïa ont été paralysées ces deux derniers jours suite à l'appel du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap). A Béjaïa et à Akbou le taux de suivi, avant-hier lundi était respectivement de 98 % et 95 % selon le coordinateur du Snapap. A Akbou tous les services de l'APC étaient à l'arrêt la voirie, l'état civil et l'ensemble des autres services communaux. Idem pour les APC de Chellata et Chemini, selon certains échos. Selon le coordinateur des communes, le gouvernement n'a pas tenu compte de la situation sociale des travailleurs et du pouvoir d'achat en constante dégringolade. "Nous nous battons, depuis 2008, pour l'amélioration de nos conditions sociales, mais c'est le silence total du côté du gouvernement", poursuit-il. Et de revenir sur la révision à la hausse du point indiciaires, l'une des revendications principales pour que les salaires des communaux, qui ne dépassent pas les 9 mille dianrs pour les plus bas, soient majorés. Les autres revendications concernent l'élaboration d'un statut particulier, la promulgation du régime indemnitaire, l'abrogation de l'article 87 bis de la loi 90-11, relative aux relations de travail empêchant toute augmentation du SNMG, le maintien du départ à la retraite sans condition d'âge est également l'une des revendications. Les communaux veulent aussi la réintégration des contractuels qui cumulent de nombreuses années de travail sans avoir été permanisés à leurs postes. A . K.