Pour encourager le secteur de l'oléiculture, surtout dans la région sud de Bordj Bou Arréridj, à vocation agropastorale et au climat semi-aride, la direction des services agricoles a lancé un important projet qui concerne les 34 communes de la wilaya. Pour encourager le secteur de l'oléiculture, surtout dans la région sud de Bordj Bou Arréridj, à vocation agropastorale et au climat semi-aride, la direction des services agricoles a lancé un important projet qui concerne les 34 communes de la wilaya. L'olivier, symbole de fécondité et de prospérité, a fait, depuis la nuit des temps, la fierté de tout le bassin méditerranéen, mais l'exigence de certaines activités plus mercantiles que l'oléiculture a failli faire perdre à l'oliacée ses lettres de noblesse, n'était-ce la persévérance de certains (anti-incônoclastes) qui tentent, tant bien que mal, à œuvrer de sorte que l'olivier ne disparaisse pas. Quitte à entretenir les oliveraies à l'aide d'outils rudimentaires, dans les meilleurs des cas à l'aide d'une paire de bœufs comme c'est le cas dans les régions montagneuses. Et ce n'est pas par hasard que nos aïeux ont tant vénéré l'olivier. Car, au delà de sa conjugaison dans les recettes culinaires, l'huile d'olive a été scientifiquement approuvée. De par ses vertus laxatives et thérapeutiques contre l'obésité et les maladies cardiovasculaires, mais aussi pour la longévité qui caractérise ceux qui la consomment régulièrement, notamment les Crétois. Conscients de cette évidence pour autant du prix du litre d'huile qui atteint 600 DA, beaucoup de jeunes ont affiché un net engouement pour cette activité "en vogue" jusque-là jugée, par snobisme, un job futile réservé aux femmes. Et pour encourager l'oléiculture, surtout dans la région sud de Bordj Bou Arréridj à vocation agropastorale au climat semi-aride, la direction des services agricoles a lancé un important projet d'oléiculture qui concerne les 34 communes de la wilaya, exceptée la commune de Sidi Brahim saturée. Sur les 19.030 hectares d'oliveraies, 13.342 sont en rapport (productives) soit 788.950 oliviers productifs qui donnent deux variétés d'olives chemlal de 65 à 85% et djerraz de 15 à 30%. Pour ce qui est du parc d'huileries, les mêmes services parlent de six huileries automatiques dont cinq subventionnées par l'Etat dans le cadre du programme FNDA, de six huileries semi-automatiques et de cinquante trois traditionnelles. Si des moyens conséquents ont été consacrés à l'oléiculture, la wilaya de Bordj est loin de réaliser l'autosuffisance en huile d'olive. A cela ajoutons les aléas naturels et climatiques (sécheresse, incendies, oiseaux imigrateurs, les vents au cours de la période de floraison) qui contribuent à la baisse de la récolte. A titre d'exemple la récolte en olive de table et olive d'huile en 2009-2010 était respectivement 6.158 quintaux et 87.357 qx contre 7.372 qx et 140.752 qx en 2008-2009. A noter enfin qu'avant qu'elle ne soit dans les plats, l'huile d'olive traverse tout un processus. Après avoir béché et taillé l'olivier, pour que la récolte soit bonne, vient la période de la cueillette (entre octobre et février) où tous les membres de la famille et parfois d‘autres familles "touiza", participent à la cueillette depuis le chant du coq au coucher du soleil, en égrenant les olives une à une. L'olivier, symbole de fécondité et de prospérité, a fait, depuis la nuit des temps, la fierté de tout le bassin méditerranéen, mais l'exigence de certaines activités plus mercantiles que l'oléiculture a failli faire perdre à l'oliacée ses lettres de noblesse, n'était-ce la persévérance de certains (anti-incônoclastes) qui tentent, tant bien que mal, à œuvrer de sorte que l'olivier ne disparaisse pas. Quitte à entretenir les oliveraies à l'aide d'outils rudimentaires, dans les meilleurs des cas à l'aide d'une paire de bœufs comme c'est le cas dans les régions montagneuses. Et ce n'est pas par hasard que nos aïeux ont tant vénéré l'olivier. Car, au delà de sa conjugaison dans les recettes culinaires, l'huile d'olive a été scientifiquement approuvée. De par ses vertus laxatives et thérapeutiques contre l'obésité et les maladies cardiovasculaires, mais aussi pour la longévité qui caractérise ceux qui la consomment régulièrement, notamment les Crétois. Conscients de cette évidence pour autant du prix du litre d'huile qui atteint 600 DA, beaucoup de jeunes ont affiché un net engouement pour cette activité "en vogue" jusque-là jugée, par snobisme, un job futile réservé aux femmes. Et pour encourager l'oléiculture, surtout dans la région sud de Bordj Bou Arréridj à vocation agropastorale au climat semi-aride, la direction des services agricoles a lancé un important projet d'oléiculture qui concerne les 34 communes de la wilaya, exceptée la commune de Sidi Brahim saturée. Sur les 19.030 hectares d'oliveraies, 13.342 sont en rapport (productives) soit 788.950 oliviers productifs qui donnent deux variétés d'olives chemlal de 65 à 85% et djerraz de 15 à 30%. Pour ce qui est du parc d'huileries, les mêmes services parlent de six huileries automatiques dont cinq subventionnées par l'Etat dans le cadre du programme FNDA, de six huileries semi-automatiques et de cinquante trois traditionnelles. Si des moyens conséquents ont été consacrés à l'oléiculture, la wilaya de Bordj est loin de réaliser l'autosuffisance en huile d'olive. A cela ajoutons les aléas naturels et climatiques (sécheresse, incendies, oiseaux imigrateurs, les vents au cours de la période de floraison) qui contribuent à la baisse de la récolte. A titre d'exemple la récolte en olive de table et olive d'huile en 2009-2010 était respectivement 6.158 quintaux et 87.357 qx contre 7.372 qx et 140.752 qx en 2008-2009. A noter enfin qu'avant qu'elle ne soit dans les plats, l'huile d'olive traverse tout un processus. Après avoir béché et taillé l'olivier, pour que la récolte soit bonne, vient la période de la cueillette (entre octobre et février) où tous les membres de la famille et parfois d‘autres familles "touiza", participent à la cueillette depuis le chant du coq au coucher du soleil, en égrenant les olives une à une.