L'ex-souk el fellah renaîtra de ses cendres sous forme d'un centre commercial plus moderne et mieux sécurisé. Les quarante-quatre actionnaires de l'ex-Souk El Fellah, ravagé récemment par un incendie, indiquent que le centre devrait être reconstruit rapidement. Toutes les démarches nécessaires ont été entreprises pour concrétiser dans les meilleurs délais cet ambitieux projet. C'est en ces termes optimistes que le président gestionnaire de l'ex-Souk El Fellah s'est adressé, hier, aux deux cents locataires victimes du sinistre. Une information qui a contribué à calmer les craintes des ex-locataires, qui avaient commencé à perdre espoir et vie s'apprêtaient à manifester devant le siège de la wilaya. Le wali d'Annaba avait certes promis aux sinistrés d'engager les moyens appropriés pour aider à la reconstruction d'un nouveau centre commercial, mais il se révélera, qu'une telle opération était pratiquement et légalement compromise d'avance, car le centre en question tout comme l'assiette du terrain sont propriétés des quarante-quatre associés, en l'occurence des ex-travailleurs de la défunte EDGA. "Ce patrimoine nous a été cédé dans le cadre de la loi sur la cession des biens des entreprises aux salariés constitués en coopérative", nous confirme le gérant et président du conseil d'administration de la société gestionnaire de l'ex-Souk El Fellah. "Les documents en notre possession en font foi et ont été reconnus par l'administration des Domaines" précise-t-il. D'où, sans doute, le revirement de la wilaya dans sa décision d'engager des moyens de l'Etat pour ériger, sur un site privé statutairement, une infrastructure à caractère commercial au profit des 200 ex-locataires. Donc, le dossier de la reconstruction de l'ex-Souk El Fellah relève, bel et bien, de la responsabilité de ses quarante-quatre propriétaires. Ces derniers ont d'ores et déjà, entamé les procédures administratives auprès d'une banque publique pour le financement du projet d'un nouveau centre commercial avec un triplement de ses capacités d'accueil. "De 200 on va passer à 560 stands", affirme-t-on. L'étude architecturale a été entamée juste après la démolition des décombres de l'ancienne bâtisse ravagée par les flammes. L'ex-souk el fellah renaîtra de ses cendres sous forme d'un centre commercial plus moderne et mieux sécurisé. Les quarante-quatre actionnaires de l'ex-Souk El Fellah, ravagé récemment par un incendie, indiquent que le centre devrait être reconstruit rapidement. Toutes les démarches nécessaires ont été entreprises pour concrétiser dans les meilleurs délais cet ambitieux projet. C'est en ces termes optimistes que le président gestionnaire de l'ex-Souk El Fellah s'est adressé, hier, aux deux cents locataires victimes du sinistre. Une information qui a contribué à calmer les craintes des ex-locataires, qui avaient commencé à perdre espoir et vie s'apprêtaient à manifester devant le siège de la wilaya. Le wali d'Annaba avait certes promis aux sinistrés d'engager les moyens appropriés pour aider à la reconstruction d'un nouveau centre commercial, mais il se révélera, qu'une telle opération était pratiquement et légalement compromise d'avance, car le centre en question tout comme l'assiette du terrain sont propriétés des quarante-quatre associés, en l'occurence des ex-travailleurs de la défunte EDGA. "Ce patrimoine nous a été cédé dans le cadre de la loi sur la cession des biens des entreprises aux salariés constitués en coopérative", nous confirme le gérant et président du conseil d'administration de la société gestionnaire de l'ex-Souk El Fellah. "Les documents en notre possession en font foi et ont été reconnus par l'administration des Domaines" précise-t-il. D'où, sans doute, le revirement de la wilaya dans sa décision d'engager des moyens de l'Etat pour ériger, sur un site privé statutairement, une infrastructure à caractère commercial au profit des 200 ex-locataires. Donc, le dossier de la reconstruction de l'ex-Souk El Fellah relève, bel et bien, de la responsabilité de ses quarante-quatre propriétaires. Ces derniers ont d'ores et déjà, entamé les procédures administratives auprès d'une banque publique pour le financement du projet d'un nouveau centre commercial avec un triplement de ses capacités d'accueil. "De 200 on va passer à 560 stands", affirme-t-on. L'étude architecturale a été entamée juste après la démolition des décombres de l'ancienne bâtisse ravagée par les flammes.
