L'Algérie, à l'instar des autres pays, est marquée par une forte mutation d'une économie d'échelle à une économie d'envergure pour laquelle les nouvelles technologies, se caractérisant par une compétitivité intensive, sont indispensables. Ainsi, comme très attendu, notamment par les ISP (fournisseurs d'accès à Internet), la présidente de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), Zohra Derdouri, a déclaré, hier à Alger, que son organisme travaille pour la mise en place prochaine d'un Global Internet Exchange (GIX). «Nous travaillons au niveau de l'ARPT pour mettre en place très bientôt un GIX en Algérie pour une meilleure sécurisation de l'utilisation de l'internet», a-t-elle affirmé lors du débat ayant suivi la conférence tenue au siège d'Algérie presse service (APS), sur «La cyber sécurité, ses enjeux et sa situation en Algérie». La création d'un point d'échange national, en l'occurrence un GIX, permettra de propulser le contenu local existant, jugé modeste. En d'autres termes, il permettra de le développer aisément, de réduire les coûts et d'accélérer la fourniture de contenus. Par définition, les IXP (Internet Exchange Point) sont des emplacements où les ISP se relient les uns aux autres pour échanger le trafic local. De plus, un nombre important de chemins, appris par l'IXP, améliore l'efficacité du routage et sa tolérance aux pannes. Le GIX est une infrastructure physique permettant aux différents fournisseurs d'accès Internet d'échanger du trafic Internet entre leurs réseaux de systèmes autonomes grâce à des accords mutuels. L'installation de points d'échange Internet (IXP), selon les experts, est dépendante de la concurrence existant dans le marché des ISP. C'est-à-dire, qu'un IXP n'est utile que s'il existe une compétition, une concurrence loyale dans le marché, sans quoi il n'ont pas lieu d'être. Le constat fait est que beaucoup de pays en Afrique possèdent, aujourd'hui, plusieurs façons différentes de router des flux de données Internet (trafic) de et vers des réseaux Internet internationaux. Cela signifie que la majeure partie du trafic est échangée aux points non-africains (étrangers), entre autres, avec les points d'interconnexion tels que les Etats-Unis et l'Europe. L'Algérie, à l'instar des autres pays, est marquée par une forte mutation d'une économie d'échelle à une économie d'envergure pour laquelle les nouvelles technologies, se caractérisant par une compétitivité intensive, sont indispensables. Ainsi, comme très attendu, notamment par les ISP (fournisseurs d'accès à Internet), la présidente de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), Zohra Derdouri, a déclaré, hier à Alger, que son organisme travaille pour la mise en place prochaine d'un Global Internet Exchange (GIX). «Nous travaillons au niveau de l'ARPT pour mettre en place très bientôt un GIX en Algérie pour une meilleure sécurisation de l'utilisation de l'internet», a-t-elle affirmé lors du débat ayant suivi la conférence tenue au siège d'Algérie presse service (APS), sur «La cyber sécurité, ses enjeux et sa situation en Algérie». La création d'un point d'échange national, en l'occurrence un GIX, permettra de propulser le contenu local existant, jugé modeste. En d'autres termes, il permettra de le développer aisément, de réduire les coûts et d'accélérer la fourniture de contenus. Par définition, les IXP (Internet Exchange Point) sont des emplacements où les ISP se relient les uns aux autres pour échanger le trafic local. De plus, un nombre important de chemins, appris par l'IXP, améliore l'efficacité du routage et sa tolérance aux pannes. Le GIX est une infrastructure physique permettant aux différents fournisseurs d'accès Internet d'échanger du trafic Internet entre leurs réseaux de systèmes autonomes grâce à des accords mutuels. L'installation de points d'échange Internet (IXP), selon les experts, est dépendante de la concurrence existant dans le marché des ISP. C'est-à-dire, qu'un IXP n'est utile que s'il existe une compétition, une concurrence loyale dans le marché, sans quoi il n'ont pas lieu d'être. Le constat fait est que beaucoup de pays en Afrique possèdent, aujourd'hui, plusieurs façons différentes de router des flux de données Internet (trafic) de et vers des réseaux Internet internationaux. Cela signifie que la majeure partie du trafic est échangée aux points non-africains (étrangers), entre autres, avec les points d'interconnexion tels que les Etats-Unis et l'Europe.