L'Argentine pourrait devenir la prochaine destination touristique des Algériens, tout comme notre désert pourrait être celle des Argentins. L'Argentine pourrait devenir la prochaine destination touristique des Algériens, tout comme notre désert pourrait être celle des Argentins. L'éventualité a été évoquée, avant-hier lundi, à la résidence de l'ambassadeur d'Argentine à Alger, lors d'une rencontre entre agences algériennes de voyages, tours opérators et le conseiller du ministre du Tourisme de l'Argentine Hammourabi Noufouri qui n'a pas exclu l'organisation prochaine d'un «éductour». L'objectif étant de permettre aux professionnels du tourisme et organisateurs de voyages des deux pays de mieux mesurer la faisabilité de ce projet cher à Bibiana Lucila Jones ambassadeur d'Argentine en Algérie. Si la rencontre a été, pour les présents tels que les représentants des ministères du Tourisme et des Affaires étrangères, celui d'Air Algérie et ceux de quelques titres de la presse nationale l'occasion de découvrir, par l'image, les attraits du pays du tango, elle a également été une opportunité pour aborder, pêle même, des questions techniques relatives aux modalités des échanges touristiques et déplacement entre Alger et Buenos Aires. C'est que la distance est importante entre les deux capitales, ce qui constitue un handicap certain quand on connaît le prix du billet et du fait que les voyageurs en partance d'Alger vers Buenos Aires soient obligés de transiter par des capitales européennes. Ce qui n'est pas toujours aisé, même quand on a les moyens financiers tant l'obtention de l'obligatoire visa de transit est difficile. Une réalité que les invités de l'ambassadeur, qui a initié cette rencontre à l'occasion du bicentenaire de la révolution du 25 Mai 1810, n'ont pas manqué de relever. L'ouverture d'une ligne aérienne entre les deux capitales serait la panacée même si ce n'est pas encore à l'ordre du jour, le représentant d'Air Algérie a précisé que sa compagnie est prête à étudier la faisabilité dans le cadre d'un partenariat. Il a également annoncé l'ouverture prochaine d'une desserte vers le Portugal. Lisbonne par laquelle pourraient transiter les Algériens qui se rendront au pays de Messi et Maradona. Une destination ouverte aux Algériens qui souhaitent s'y rendre afin de profiter des multiples offres touristiques que recèle cet Etat d'Amérique du Sud a précisé Mme Jones qui n'a pas manqué de rappeler les liens historiques qui unissent l'Algérie et l'Argentine notamment dans les domaines politique et diplomatique. L'Argentine, qui depuis trois ans a hérité du rallye Paris-Dakar, est passé en quatre ans de deux à cinq millions de touristes par an. Bien que le tourisme représente 7% du BIP, il est la 3e activités du pays "après le pétrole et les céréales" souligne Noufouri Hammourabi qui a exposé les grandes lignes de l'offre touristique proposée par son pays à la clientèle algérienne après avoir raconté, par divers exemples, son pays. Une contrée où les immigrants ont leur mot à dire. L'éventualité a été évoquée, avant-hier lundi, à la résidence de l'ambassadeur d'Argentine à Alger, lors d'une rencontre entre agences algériennes de voyages, tours opérators et le conseiller du ministre du Tourisme de l'Argentine Hammourabi Noufouri qui n'a pas exclu l'organisation prochaine d'un «éductour». L'objectif étant de permettre aux professionnels du tourisme et organisateurs de voyages des deux pays de mieux mesurer la faisabilité de ce projet cher à Bibiana Lucila Jones ambassadeur d'Argentine en Algérie. Si la rencontre a été, pour les présents tels que les représentants des ministères du Tourisme et des Affaires étrangères, celui d'Air Algérie et ceux de quelques titres de la presse nationale l'occasion de découvrir, par l'image, les attraits du pays du tango, elle a également été une opportunité pour aborder, pêle même, des questions techniques relatives aux modalités des échanges touristiques et déplacement entre Alger et Buenos Aires. C'est que la distance est importante entre les deux capitales, ce qui constitue un handicap certain quand on connaît le prix du billet et du fait que les voyageurs en partance d'Alger vers Buenos Aires soient obligés de transiter par des capitales européennes. Ce qui n'est pas toujours aisé, même quand on a les moyens financiers tant l'obtention de l'obligatoire visa de transit est difficile. Une réalité que les invités de l'ambassadeur, qui a initié cette rencontre à l'occasion du bicentenaire de la révolution du 25 Mai 1810, n'ont pas manqué de relever. L'ouverture d'une ligne aérienne entre les deux capitales serait la panacée même si ce n'est pas encore à l'ordre du jour, le représentant d'Air Algérie a précisé que sa compagnie est prête à étudier la faisabilité dans le cadre d'un partenariat. Il a également annoncé l'ouverture prochaine d'une desserte vers le Portugal. Lisbonne par laquelle pourraient transiter les Algériens qui se rendront au pays de Messi et Maradona. Une destination ouverte aux Algériens qui souhaitent s'y rendre afin de profiter des multiples offres touristiques que recèle cet Etat d'Amérique du Sud a précisé Mme Jones qui n'a pas manqué de rappeler les liens historiques qui unissent l'Algérie et l'Argentine notamment dans les domaines politique et diplomatique. L'Argentine, qui depuis trois ans a hérité du rallye Paris-Dakar, est passé en quatre ans de deux à cinq millions de touristes par an. Bien que le tourisme représente 7% du BIP, il est la 3e activités du pays "après le pétrole et les céréales" souligne Noufouri Hammourabi qui a exposé les grandes lignes de l'offre touristique proposée par son pays à la clientèle algérienne après avoir raconté, par divers exemples, son pays. Une contrée où les immigrants ont leur mot à dire.