La clôture de la session de printemps va permettre de renouveler la composante ainsi que les postes de responsabilité des 12 commissions parlementaires permanentes. La clôture de la session de printemps va permettre de renouveler la composante ainsi que les postes de responsabilité des 12 commissions parlementaires permanentes. L'APN est à la veille du renouvellement de ses structures. Une opération qui devrait être entamée dans quelques semaines mais qui retient, d'ores et déjà, l'intérêt et l'attention des députés en général et ceux affiliés aux differents groupes parlementaires en particulier. Cette opération, qui intervient chaque année durant cette période qui précède la clôture de la session de printemps, va permettre de renouveler la composante ainsi que les postes de responsabilité des 12 commissions parlementaires permanentes. Comme il sera aussi question de renouveler la composante du bureau de l'APN ainsi que les chefs des groupes parlementaires des partis représentés dans l'assemblée. Cette opération a toujours donné lieu à des luttes serrées entre les députés, comme elle a toujours constitué une difficile épreuve pour les partis politiques à cause, justement, des appétits et des ambitions nourris par les uns et les autres. Dans ce registre, et à l'évidence, c'est le FLN, de loin, le plus grand parti représenté à la Chambre basse qui a, de tout temps, connu d'énormes problèmes dès que se profile la date de renouvellement des structures. L'on se rappelle, à ce titre, l'épisode de l'année dernière où une centaine de députés du FLN, qui est représenté par au moins 150 députés ce qui lui permet de dominer les structures de l'assemblée, ont signé une pétition dans laquelle ils récusaient la volonté du secrétaire général du parti de reconduire Layachi Daadoua au poste de chef du groupe parlementaire en exigeant l'organisation d'élections pour départager les candidats. Cette action de fronde a été initiée par quelques poids lourds du parti à l'assemblée dont, particulièrement, le bouillonnant Abdelhamlid Si Affif. Mais Abdelaziz Belkhadem n'avait cure de ces « gesticulations » et, comme il le fait depuis six ans, il a préféré désigner une fois de plus Layachi Daadoua rejetant ainsi la voie des urnes sous prétexte que le chef du groupe parlementaire occupe une fonction politique puisqu'il est l'interface du FLN à l'APN. Mais cette année, les choses se presentent autrement puisque Layachi Daadoua et Abdelhamid Si Affif, qui préside la commission des affaires étrangères, sont tous deux membres du bureau politique du FLN. Comme c'est aussi le cas pour Mohamed Alioui, président de la commission de défense nationale, ainsi que Mme Habiba Bahloul, vice-présidente de l'APN. Ces quatre membres du bureau politique vont-ils se porter candidats à des postes dans les structures de l'APN ? Auquel cas, et à l'exception du chef du groupe parlementaire dont il ne fait aucun doute qu'il sera désigné, devront-ils passer par la voie de l'urne ou seront-ils simplement nommés ? Ou, en revanche et de par la place qu'ils s'occupent au sein de l'état-major politique du vieux parti, ils ne seront pas autorisés à se représenter ? Autant de questions qui taraudent certainement l'esprit de Abdelaziz Belkhadem qui appréhende, à chaque fois, l'opération de renouvellement des structures de l'APN tant elle aiguise non seulement les appétits mais attise aussi moult querelles internes. Ce d'autant que cette fois-ci tous les regards seront braqués vers Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, qui n'ont pu préserver leurs sièges au sein du bureau politique et dont on dit qu'ils vont peser de tout leur poids pour contrarier les desseins de Belkhadem. A l'exception du FLN, chez les autres partis, c'est presque le calme plat. Ainsi au RND tout porte à croire qu'Ahmed Ouyahia va renouveler sa confiance à Miloud Chorfi en tant que président du groupe parlementaire, alors que Sedik Chiheb et Benhalima Boutouigua bénéficieront encore une fois du soutien de leurs pairs pour préserver leurs sièges à la vice-présidence de l'APN. Et c'est la même chose pour le MSP puisque c'est la direction politique qui désigne les représentants du parti dans les structures de l'assemblée comme c'est le cas, d'ailleurs, pour le RCD et le PT où il n'y a jamais eu de problèmes notables. Mais il faut reconnaître aussi que cette opération a toujours laissé des séquelles au sein des partis politiques. L'APN est à la veille du renouvellement de ses structures. Une opération qui devrait être entamée dans quelques semaines mais qui retient, d'ores et déjà, l'intérêt et l'attention des députés en général et ceux affiliés aux differents groupes parlementaires en particulier. Cette opération, qui intervient chaque année durant cette période qui précède la clôture de la session de printemps, va permettre de renouveler la composante ainsi que les postes de responsabilité des 12 commissions parlementaires permanentes. Comme il sera aussi question de renouveler la composante du bureau de l'APN ainsi que les chefs des groupes parlementaires des partis représentés dans l'assemblée. Cette opération a toujours donné lieu à des luttes serrées entre les députés, comme elle a toujours constitué une difficile épreuve pour les partis politiques à cause, justement, des appétits et des ambitions nourris par les uns et les autres. Dans ce registre, et à l'évidence, c'est le FLN, de loin, le plus grand parti représenté à la Chambre basse qui a, de tout temps, connu d'énormes problèmes dès que se profile la date de renouvellement des structures. L'on se rappelle, à ce titre, l'épisode de l'année dernière où une centaine de députés du FLN, qui est représenté par au moins 150 députés ce qui lui permet de dominer les structures de l'assemblée, ont signé une pétition dans laquelle ils récusaient la volonté du secrétaire général du parti de reconduire Layachi Daadoua au poste de chef du groupe parlementaire en exigeant l'organisation d'élections pour départager les candidats. Cette action de fronde a été initiée par quelques poids lourds du parti à l'assemblée dont, particulièrement, le bouillonnant Abdelhamlid Si Affif. Mais Abdelaziz Belkhadem n'avait cure de ces « gesticulations » et, comme il le fait depuis six ans, il a préféré désigner une fois de plus Layachi Daadoua rejetant ainsi la voie des urnes sous prétexte que le chef du groupe parlementaire occupe une fonction politique puisqu'il est l'interface du FLN à l'APN. Mais cette année, les choses se presentent autrement puisque Layachi Daadoua et Abdelhamid Si Affif, qui préside la commission des affaires étrangères, sont tous deux membres du bureau politique du FLN. Comme c'est aussi le cas pour Mohamed Alioui, président de la commission de défense nationale, ainsi que Mme Habiba Bahloul, vice-présidente de l'APN. Ces quatre membres du bureau politique vont-ils se porter candidats à des postes dans les structures de l'APN ? Auquel cas, et à l'exception du chef du groupe parlementaire dont il ne fait aucun doute qu'il sera désigné, devront-ils passer par la voie de l'urne ou seront-ils simplement nommés ? Ou, en revanche et de par la place qu'ils s'occupent au sein de l'état-major politique du vieux parti, ils ne seront pas autorisés à se représenter ? Autant de questions qui taraudent certainement l'esprit de Abdelaziz Belkhadem qui appréhende, à chaque fois, l'opération de renouvellement des structures de l'APN tant elle aiguise non seulement les appétits mais attise aussi moult querelles internes. Ce d'autant que cette fois-ci tous les regards seront braqués vers Salah Goudjil, Said Bouhadja et Abdelkrim Abada, qui n'ont pu préserver leurs sièges au sein du bureau politique et dont on dit qu'ils vont peser de tout leur poids pour contrarier les desseins de Belkhadem. A l'exception du FLN, chez les autres partis, c'est presque le calme plat. Ainsi au RND tout porte à croire qu'Ahmed Ouyahia va renouveler sa confiance à Miloud Chorfi en tant que président du groupe parlementaire, alors que Sedik Chiheb et Benhalima Boutouigua bénéficieront encore une fois du soutien de leurs pairs pour préserver leurs sièges à la vice-présidence de l'APN. Et c'est la même chose pour le MSP puisque c'est la direction politique qui désigne les représentants du parti dans les structures de l'assemblée comme c'est le cas, d'ailleurs, pour le RCD et le PT où il n'y a jamais eu de problèmes notables. Mais il faut reconnaître aussi que cette opération a toujours laissé des séquelles au sein des partis politiques.