Comme dans plusieurs autres communes algéroises, les projets de développement local dans la commune de Dar El-Beïda, restent paralysés par le manque du foncier. Selon le premier responsable de la commune, Illyés Guemgani, les plus grands projets de la localité, notamment ceux du logement, restent bloqués pour le manque flagrant du foncier à travers l'ensemble du territoire de la commune. Pour programmer des projets de logement, notamment dans le cadre du logement participatif, il a fallu solliciter les responsables de la circonscription voisine de Dar El-Beïda pour "quémander" un lot de terrain au niveau d'El-Hamiz afin de pouvoir lancer le projet de 300 logements. Il est à noter que le terrain proposé par la commune de Dar El-Beida est, selon le P/APC, «idoine pour ce projet puisqu'il se trouve dans une agglomération urbaine». Il est à noter que la localité de Dar El-Beida n'a pas bénéficié de projets de logements depuis 2007 pour justement cette absence de foncier, ce qui a augmenté la demande qui a atteint plus de deux mille demandes en rendant les responsables locaux "incapables de répondre aux besoins de leurs concitoyens, préoccupés en premier lieu par cette crise de logement". Il faut aussi signaler que le wali délégué de Dar El-Beïda, a selon M. Guemgani, répondu favorablement à l'attribution du terrain d'El-Hamiz, et a transféré cette demande à la wilaya d'Alger pour études et prises de décision finale. Il faut noter aussi que la commune de Dar El-Beïda, compte plus de mille six cents habitations précaires. Les résidants des chalets et des immeubles menaçant ruine dans cette commune attendent, à l'instar de milliers d'Algérois, leur relogement dans le cadre du programme visant l'éradication définitive de l'habitat précaire. Le P/APC de Dar El-Beïda explique que le relogement ne fait pas partie de ses prérogatives qui restent du seul domaine de la wilaya d'Alger. C. K. Comme dans plusieurs autres communes algéroises, les projets de développement local dans la commune de Dar El-Beïda, restent paralysés par le manque du foncier. Selon le premier responsable de la commune, Illyés Guemgani, les plus grands projets de la localité, notamment ceux du logement, restent bloqués pour le manque flagrant du foncier à travers l'ensemble du territoire de la commune. Pour programmer des projets de logement, notamment dans le cadre du logement participatif, il a fallu solliciter les responsables de la circonscription voisine de Dar El-Beïda pour "quémander" un lot de terrain au niveau d'El-Hamiz afin de pouvoir lancer le projet de 300 logements. Il est à noter que le terrain proposé par la commune de Dar El-Beida est, selon le P/APC, «idoine pour ce projet puisqu'il se trouve dans une agglomération urbaine». Il est à noter que la localité de Dar El-Beida n'a pas bénéficié de projets de logements depuis 2007 pour justement cette absence de foncier, ce qui a augmenté la demande qui a atteint plus de deux mille demandes en rendant les responsables locaux "incapables de répondre aux besoins de leurs concitoyens, préoccupés en premier lieu par cette crise de logement". Il faut aussi signaler que le wali délégué de Dar El-Beïda, a selon M. Guemgani, répondu favorablement à l'attribution du terrain d'El-Hamiz, et a transféré cette demande à la wilaya d'Alger pour études et prises de décision finale. Il faut noter aussi que la commune de Dar El-Beïda, compte plus de mille six cents habitations précaires. Les résidants des chalets et des immeubles menaçant ruine dans cette commune attendent, à l'instar de milliers d'Algérois, leur relogement dans le cadre du programme visant l'éradication définitive de l'habitat précaire. Le P/APC de Dar El-Beïda explique que le relogement ne fait pas partie de ses prérogatives qui restent du seul domaine de la wilaya d'Alger. C. K.