A quelques semaines du début de la saison moissons-battages, la menace de l'apparition de maladies foliaires est prise au sérieux par les services agricoles et suscite des inquiétudes au sein des céréaliculteurs. Ces infections parasitaires dont la plus connue est la rouille jaune s'attaquent aux cultures et peuvent la réduire à néant. Constantine, wilaya pionnière en céréaliculture, en a fait les frais en 2004 où l'apparition de ces « taches brunes ou jaunes » sur les tiges et les feuilles des épis a provoqué une chute irréversible des récoltes.Pour la seconde fois en l'espace de quelques mois, les services compétents dont l'Institut national de la protection des végétaux diffusent un bulletin d'alerte aux maladies cryptogamiques adressé au monde agricole, particulièrement aux céréaliculteurs. La mise en garde stipule un maximum de vigilance et à un traitement préventif pour réduire à néant toute velléité d'apparition d'infections foliaires. Ces dernières, selon les professionnels, pouvant aisément « surgir » après les fortes précipitations qui se sont abattues, ces jours-ci, sur la région. L'humidité étant un facteur qui favorise l'apparition de ces moisissures. La plus menaçante de ces maladies cryptogamiques est certainement la rouille jaune qui touche la céréaliculture. Ce champignon-parasite de son nom scientifique « puccinia graminis » est responsable de 50 à 100% de la perte d'une récolte. C'est pour cette raison que le seul rempart demeure l'observation à la lettre de consignes de prévention d'où, d'ailleurs, l'importance de la mise en place des « brigades de veille » pour surveiller la moindre parcelle de terres cultivées, nous précisera un agronome. Les autres végétaux ne sont pas, pour autant, à l'abri des phytopathologies, à l'exemple de la tavelure du pommier, la cloque du pêcher et le mildiou de la pomme de terre. A quelques semaines du début de la saison moissons-battages, la menace de l'apparition de maladies foliaires est prise au sérieux par les services agricoles et suscite des inquiétudes au sein des céréaliculteurs. Ces infections parasitaires dont la plus connue est la rouille jaune s'attaquent aux cultures et peuvent la réduire à néant. Constantine, wilaya pionnière en céréaliculture, en a fait les frais en 2004 où l'apparition de ces « taches brunes ou jaunes » sur les tiges et les feuilles des épis a provoqué une chute irréversible des récoltes.Pour la seconde fois en l'espace de quelques mois, les services compétents dont l'Institut national de la protection des végétaux diffusent un bulletin d'alerte aux maladies cryptogamiques adressé au monde agricole, particulièrement aux céréaliculteurs. La mise en garde stipule un maximum de vigilance et à un traitement préventif pour réduire à néant toute velléité d'apparition d'infections foliaires. Ces dernières, selon les professionnels, pouvant aisément « surgir » après les fortes précipitations qui se sont abattues, ces jours-ci, sur la région. L'humidité étant un facteur qui favorise l'apparition de ces moisissures. La plus menaçante de ces maladies cryptogamiques est certainement la rouille jaune qui touche la céréaliculture. Ce champignon-parasite de son nom scientifique « puccinia graminis » est responsable de 50 à 100% de la perte d'une récolte. C'est pour cette raison que le seul rempart demeure l'observation à la lettre de consignes de prévention d'où, d'ailleurs, l'importance de la mise en place des « brigades de veille » pour surveiller la moindre parcelle de terres cultivées, nous précisera un agronome. Les autres végétaux ne sont pas, pour autant, à l'abri des phytopathologies, à l'exemple de la tavelure du pommier, la cloque du pêcher et le mildiou de la pomme de terre.