Plus de trois mois après le dernier sommet, rien n'indique qu'Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Aboudjerra Soltani soient sur le point de tenir un sommet. Ce conclave, bien que la période de la présidence tournante de trois mois se soit largement écoulée, n'est pas inscrit à l'ordre du jour. Plus de trois mois après le dernier sommet, rien n'indique qu'Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Aboudjerra Soltani soient sur le point de tenir un sommet. Ce conclave, bien que la période de la présidence tournante de trois mois se soit largement écoulée, n'est pas inscrit à l'ordre du jour. La durée de la présidence tournante, fixée depuis la création de l'Alliance présidentielle à trois mois, est arrivée à terme depuis le début du mois en cours. Le 3 février dernier, le RND, l'hôte de ce conclave, a, en effet, reçu le flambeau de la présidence tournante des mains du MSP. Mais depuis cette date, ce groupe politique s'est surtout distingué par sa grande discrétion, voire même par son effacement de la scène politique nationale. Et si l'opinion publique à du mal à se souvenir d'une quelconque activité commune de l'Alliance présidentielle, c'est tout simplement parce qu' il n'y en a pas eu ou presque. Depuis le sommet du 3 février, les trois partis qui constituent cette alliance, à savoir le FLN, le MSP et le RND, ne se sont manifestés qu'une seule fois, qui plus est à travers un communiqué conjoint. Ce dernier, rendu public le 4 mars dernier, exprimait la préoccupation des trois partis politiques par rapport à la poursuite de la grève qui secouait alors le secteur de l'Education nationale. L'Alliance présidentielle recommandait en outre aux syndicats initiateurs de ce débrayage de mettre fin à leur mouvement et de préserver ainsi les intérêts des élèves. Et à l'exception de cette action, l'alliance s'est confinée dans l'inertie. Plus de trois mois donc après le dernier sommet, rien n'indique qu'Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Aboudjerra Soltani soient sur le point de tenir un sommet. Selon des sources concordantes, ce conclave, bien que la période de la présidence tournante de trois mois se soit largement écoulée, n'est pas inscrit à l'ordre du jour et le FLN, par conséquent, doit certainement patienter pour prendre le relais du RND à la tête de l'Alliance présidentielle. Car les leaders des trois partis, selon nombre d'observateurs, sont pour l'heure en train de scruter le moindre signe émanant de la présidence de la République tant il est de plus en plus question d'un profond remaniement gouvernemental. Un remaniement que d'aucuns estiment imminent. Mais cela dit et dans l'attente de ce remaniement, il faut reconnaître que l'Alliance présidentielle ne se porte pas bien, loin s'en faut, et traverse une de ses plus difficiles périodes depuis sa création en 2004 à la veille de l'élection présidentielle de cette année là. Les divergences entre ses membres ne cessent, en effet, d'aller crescendo et sont un secret de polichinelle. Pour preuve, les leaders des trois partis ne mettent plus de gants pour s'adresser des fléchettes lesquelles, à l'évidence, font les choux gras de la presse. Tout récemment, Abdelaziz Belkhadem, le secrétaire général du FLN, a, lors d'une conférence de presse et sans être interpellé sur ce sujet, sciemment qualifié le RND de « nouveau parti », sans le citer nommément il faut le préciser. Le leader de ce dernier, Ahmed Ouyahia en l'occurrence, ne rate jamais une opportunité pour renvoyer la balle dès lors que son parti est critiqué par son frère ennemi. Ce fut ainsi le cas lorsque les députés du FLN, appuyés en cela par des députés d'autres partis politiques, ont initié un projet de loi criminalisant le colonialisme. Ouyahia avait écorché ceux qui utilisent l'histoire comme « fonds de commerce ».Se joignant à cette « zizanie générale » le président du MSP a ouvertement revendiqué le poste de Premier ministre pour sa formation. « Une prétention » qui lui valu une mise au point du secrétaire général du FLN, lequel a indiqué que cela relève des prérogatives du président de la République. Ce n'est pas alors pour rien que d'aucuns parlent avec insistance d'un chant de cygne de l'Alliance présidentielle. Ce d'autant que, depuis que le RND a conclu un accord avec le PT, chaque parti est sur ses gardes. C'est ainsi que le FLN, à en croire certaines informations, serait en passe de conclure lui aussi un accord politique avec le FNA. La durée de la présidence tournante, fixée depuis la création de l'Alliance présidentielle à trois mois, est arrivée à terme depuis le début du mois en cours. Le 3 février dernier, le RND, l'hôte de ce conclave, a, en effet, reçu le flambeau de la présidence tournante des mains du MSP. Mais depuis cette date, ce groupe politique s'est surtout distingué par sa grande discrétion, voire même par son effacement de la scène politique nationale. Et si l'opinion publique à du mal à se souvenir d'une quelconque activité commune de l'Alliance présidentielle, c'est tout simplement parce qu' il n'y en a pas eu ou presque. Depuis le sommet du 3 février, les trois partis qui constituent cette alliance, à savoir le FLN, le MSP et le RND, ne se sont manifestés qu'une seule fois, qui plus est à travers un communiqué conjoint. Ce dernier, rendu public le 4 mars dernier, exprimait la préoccupation des trois partis politiques par rapport à la poursuite de la grève qui secouait alors le secteur de l'Education nationale. L'Alliance présidentielle recommandait en outre aux syndicats initiateurs de ce débrayage de mettre fin à leur mouvement et de préserver ainsi les intérêts des élèves. Et à l'exception de cette action, l'alliance s'est confinée dans l'inertie. Plus de trois mois donc après le dernier sommet, rien n'indique qu'Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem et Aboudjerra Soltani soient sur le point de tenir un sommet. Selon des sources concordantes, ce conclave, bien que la période de la présidence tournante de trois mois se soit largement écoulée, n'est pas inscrit à l'ordre du jour et le FLN, par conséquent, doit certainement patienter pour prendre le relais du RND à la tête de l'Alliance présidentielle. Car les leaders des trois partis, selon nombre d'observateurs, sont pour l'heure en train de scruter le moindre signe émanant de la présidence de la République tant il est de plus en plus question d'un profond remaniement gouvernemental. Un remaniement que d'aucuns estiment imminent. Mais cela dit et dans l'attente de ce remaniement, il faut reconnaître que l'Alliance présidentielle ne se porte pas bien, loin s'en faut, et traverse une de ses plus difficiles périodes depuis sa création en 2004 à la veille de l'élection présidentielle de cette année là. Les divergences entre ses membres ne cessent, en effet, d'aller crescendo et sont un secret de polichinelle. Pour preuve, les leaders des trois partis ne mettent plus de gants pour s'adresser des fléchettes lesquelles, à l'évidence, font les choux gras de la presse. Tout récemment, Abdelaziz Belkhadem, le secrétaire général du FLN, a, lors d'une conférence de presse et sans être interpellé sur ce sujet, sciemment qualifié le RND de « nouveau parti », sans le citer nommément il faut le préciser. Le leader de ce dernier, Ahmed Ouyahia en l'occurrence, ne rate jamais une opportunité pour renvoyer la balle dès lors que son parti est critiqué par son frère ennemi. Ce fut ainsi le cas lorsque les députés du FLN, appuyés en cela par des députés d'autres partis politiques, ont initié un projet de loi criminalisant le colonialisme. Ouyahia avait écorché ceux qui utilisent l'histoire comme « fonds de commerce ».Se joignant à cette « zizanie générale » le président du MSP a ouvertement revendiqué le poste de Premier ministre pour sa formation. « Une prétention » qui lui valu une mise au point du secrétaire général du FLN, lequel a indiqué que cela relève des prérogatives du président de la République. Ce n'est pas alors pour rien que d'aucuns parlent avec insistance d'un chant de cygne de l'Alliance présidentielle. Ce d'autant que, depuis que le RND a conclu un accord avec le PT, chaque parti est sur ses gardes. C'est ainsi que le FLN, à en croire certaines informations, serait en passe de conclure lui aussi un accord politique avec le FNA.