La commune de Ahmeur El Ain dans la wilaya de Tipasa, peine à rattraper le grave retard enregistré en matière de développement local, en effet plusieurs de ses quartiers restent éloignés de toute civilisation. Ce grand village, qui a pourtant toutes les capacités pour prétendre à un meilleur statut souffre d'un grand manque en matière d'infrastructures et d'aménagement urbain. Le quartier qui porte le nom du martyr Belalia Ahmed, végète dans une situation lamentable et un cadre de vie très dégradé. Le calvaire perpétuel des rues détériorées reste parmi les réclamations les plus répandues au milieu des habitants. L'autre problème qui n'est pas moins important est bien celui de l'absence quasi-totale de l'éclairage public, ce qui fait plonger la commune chaque soir dans le noir, ce qui favorise l'insécurité et de nombreux vols, ce qui ne cesse d'augmenter les craintes des citoyens. Il est à noter aussi que plusieurs cambriolages ont été enregistrés dans la commune de Ahmeur El-Ain, notamment ces derniers temps dans ledit quartier. Le problème de l'insalubrité est lui aussi une peine quotidienne vécu par les citoyens qui connaissent très bien les dangers qui les attendent à cause de ces montagnes d'ordures qui se forment quotidiennement un peu partout dans la localité, et ce à cause des perturbations connues par le passage des camions de ramassage des ordures ménagères et les agents d'entretien qui se font très rares ces derniers jours. Une autre gêne qui s'ajoute à celles précédentes et la vétusté du réseau d'assainissement de la localité qui engendre des fuites des eaux usées rendant les lieux infects dégageant des odeurs nauséabondes attirant insectes et faisant peser lourdement des risques de maladies. Toute cette misère est couronnée par des problèmes de transport, il faut dire que le quartier Belalia -Ahmed reste complètement isolé à cause de l'absence des moyens de transport, n'étant même pas doté d'une station de bus ni du moindre Abribus où les habitants pourraient attendre leurs bus. Les enfants sont le plus pénalisés, en l'absence d'établissement scolaire dans leur quartier, ce qui les oblige à faire pas moins de trois kilomètres à pied, leur rendement scolaires, d'ailleurs, s'en ressent. Les habitants de ces quartiers oubliés espèrent encore que l'on se penche enfin sur leur cas et que l'on mette en place les conditions leur permettant un cadre de vie plus facile. La commune de Ahmeur El Ain dans la wilaya de Tipasa, peine à rattraper le grave retard enregistré en matière de développement local, en effet plusieurs de ses quartiers restent éloignés de toute civilisation. Ce grand village, qui a pourtant toutes les capacités pour prétendre à un meilleur statut souffre d'un grand manque en matière d'infrastructures et d'aménagement urbain. Le quartier qui porte le nom du martyr Belalia Ahmed, végète dans une situation lamentable et un cadre de vie très dégradé. Le calvaire perpétuel des rues détériorées reste parmi les réclamations les plus répandues au milieu des habitants. L'autre problème qui n'est pas moins important est bien celui de l'absence quasi-totale de l'éclairage public, ce qui fait plonger la commune chaque soir dans le noir, ce qui favorise l'insécurité et de nombreux vols, ce qui ne cesse d'augmenter les craintes des citoyens. Il est à noter aussi que plusieurs cambriolages ont été enregistrés dans la commune de Ahmeur El-Ain, notamment ces derniers temps dans ledit quartier. Le problème de l'insalubrité est lui aussi une peine quotidienne vécu par les citoyens qui connaissent très bien les dangers qui les attendent à cause de ces montagnes d'ordures qui se forment quotidiennement un peu partout dans la localité, et ce à cause des perturbations connues par le passage des camions de ramassage des ordures ménagères et les agents d'entretien qui se font très rares ces derniers jours. Une autre gêne qui s'ajoute à celles précédentes et la vétusté du réseau d'assainissement de la localité qui engendre des fuites des eaux usées rendant les lieux infects dégageant des odeurs nauséabondes attirant insectes et faisant peser lourdement des risques de maladies. Toute cette misère est couronnée par des problèmes de transport, il faut dire que le quartier Belalia -Ahmed reste complètement isolé à cause de l'absence des moyens de transport, n'étant même pas doté d'une station de bus ni du moindre Abribus où les habitants pourraient attendre leurs bus. Les enfants sont le plus pénalisés, en l'absence d'établissement scolaire dans leur quartier, ce qui les oblige à faire pas moins de trois kilomètres à pied, leur rendement scolaires, d'ailleurs, s'en ressent. Les habitants de ces quartiers oubliés espèrent encore que l'on se penche enfin sur leur cas et que l'on mette en place les conditions leur permettant un cadre de vie plus facile.