La préservation du patrimoine végétal est une question prise à bras-le-corps par les autorités à Constantine. Des opérations de repeuplement sont programmées chaque année. D'ailleurs, rien que pour la journée de l'arbre, célébrée le 21 mars dernier, quelque 600 arbustes ont été plantés au niveau de la ferme Bendjeloul, sur le territoire de la commune de Ain Smara dont le but de renforcer des espaces verts déjà existants mais que tout citoyen souhaite davantage diversifiés. Constantine, qui ambitionne la réalisation d'une carte verte, est dotée de programmes multiples pour sauvegarder et enrichir ses zones environnementales et écologiques. Dans cette optique, le plan quinquennal 2010/2014 vise le reboisement de pas moins de 4.600 hectares répartis sur l'ensemble du territoire de la wilaya. L'objectif de cette action est l'élargissement de la couverture forestière actuelle qui est de 13% pour la porter à 17%. Et même ce taux, une fois atteint, demeure en deçà des normes internationales qui sont de 25%. Soit un minimum pour assurer un relatif équilibre écologique en milieu urbain. La surface totale boisée de la wilaya de Constantine est estimée, selon les autorités compétentes, à 20.500 hectares. Elle est constituée de forêts naturelles, de maquis et de sols reboisés. Les services des forêts interviennent périodiquement au niveau de ces aires pour sauvegarder cette nature et prévenir les incendies, nombreux à chaque saison des grandes chaleurs. Comme cela est le cas pour les forêts de chettaba, Djebel Ouahch ou El Meridj. D'autres programmes d'appoint sont aussi inscrits pour les cinq années à venir. Ils consistent en des projets d'ouverture de chemins forestiers et de travaux de forage sur près de 35 mille hectares. L'action déjà initiée dans le cadre du développement rural se poursuivra et s'étendra à d'autres communes, dites rurales. Certaines d'entre elles, à l'image de Béni H'midène, Ibn Ziyad, Messaoud Boudjeriou ou Zighoud Youcef ont adhéré à cette politique qui préconise l'élevage bovin ou ovin et l'apiculture. L'investissement qui est de l'ordre de 23 millions de dinars a permis à 43 personnes de bénéficier gratuitement de 159 têtes de bétail et à 24 autres de devenir apiculteurs. N. D. La préservation du patrimoine végétal est une question prise à bras-le-corps par les autorités à Constantine. Des opérations de repeuplement sont programmées chaque année. D'ailleurs, rien que pour la journée de l'arbre, célébrée le 21 mars dernier, quelque 600 arbustes ont été plantés au niveau de la ferme Bendjeloul, sur le territoire de la commune de Ain Smara dont le but de renforcer des espaces verts déjà existants mais que tout citoyen souhaite davantage diversifiés. Constantine, qui ambitionne la réalisation d'une carte verte, est dotée de programmes multiples pour sauvegarder et enrichir ses zones environnementales et écologiques. Dans cette optique, le plan quinquennal 2010/2014 vise le reboisement de pas moins de 4.600 hectares répartis sur l'ensemble du territoire de la wilaya. L'objectif de cette action est l'élargissement de la couverture forestière actuelle qui est de 13% pour la porter à 17%. Et même ce taux, une fois atteint, demeure en deçà des normes internationales qui sont de 25%. Soit un minimum pour assurer un relatif équilibre écologique en milieu urbain. La surface totale boisée de la wilaya de Constantine est estimée, selon les autorités compétentes, à 20.500 hectares. Elle est constituée de forêts naturelles, de maquis et de sols reboisés. Les services des forêts interviennent périodiquement au niveau de ces aires pour sauvegarder cette nature et prévenir les incendies, nombreux à chaque saison des grandes chaleurs. Comme cela est le cas pour les forêts de chettaba, Djebel Ouahch ou El Meridj. D'autres programmes d'appoint sont aussi inscrits pour les cinq années à venir. Ils consistent en des projets d'ouverture de chemins forestiers et de travaux de forage sur près de 35 mille hectares. L'action déjà initiée dans le cadre du développement rural se poursuivra et s'étendra à d'autres communes, dites rurales. Certaines d'entre elles, à l'image de Béni H'midène, Ibn Ziyad, Messaoud Boudjeriou ou Zighoud Youcef ont adhéré à cette politique qui préconise l'élevage bovin ou ovin et l'apiculture. L'investissement qui est de l'ordre de 23 millions de dinars a permis à 43 personnes de bénéficier gratuitement de 159 têtes de bétail et à 24 autres de devenir apiculteurs. N. D.