Le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou a condamné, hier, S. Abdelkader à six ans de réclusion criminelle. Le procureur, quant à lui, a requis la peine de dix ans de prison. Les faits de ce dossier remontent au 06 août 2009 quand B. Azzeddine s'est présenté en compagnie de H.A. aux services de sécurité de la daïra de Boghni pour les informer de l'existence du cadavre de T.Hakim, près d'une route dans la ville de Boghni. Après des investigations, il s'est avéré que le défunt était, la veille, en compagnie de S.Abdelkader et B.Azzeddine. Ces derniers se sont rencontrés pour consommer des boissons alcoolisées ensemble. B.Azzeddine a avoué que son ami S.Abdelkader a agressé mortellement le dénommé T.Hakim. Il a aussi ajouté que ce dernier et S.Abdelkader l'avaient agressé sexuellement en utilisant la force. Lorsqu'ils ont voulu refaire l'acte une seconde fois, la victime a pris son courage à deux mains et a pris la clé des champs. La victime s'est cachée dans un champ. Lorsqu'ils l'ont retrouvé, une bagarre a éclaté entre eux. C'est alors que S.Abdelkader a pris une grosse pierre et a frappé T.Hakim au niveau du thorax puis à la tête. Etant encore en vie, la victime a été noyée par Abdelkader qui a enfoncé sa tête sous l'eau. Abdelkader a nié qu'il avait agressé sexuellement Azzedine. Lorsqu'il a été présenté devant le juge d'instruction, S. Abdelkader a nié en bloc les accusations retenues contre lui. En date du 15.11.2009, une confrontation a opposé l'agresseur et la victime. Et là, cette dernière a confirmé que l'accusé, qui était devant lui, l'avait agressé sexuellement. Puis la cour a fait appel à un témoin. H.Nassim a indiqué aux services de sécurité que la victime l'avait informé avoir fait l'objet d'une agression sexuelle de la part de Abdelkader, après avoir bu ensemble. Suite à l'enquête sociale, il s'est avéré que l'agresseur avait un comportement et une conduite peu amènes. De même que d'après l'ensemble des éléments qui ont été dégagés l'enquête, des preuves irréfutables montrent que l'accusé est effectivement l'auteur de l'agression. Le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou a condamné, hier, S. Abdelkader à six ans de réclusion criminelle. Le procureur, quant à lui, a requis la peine de dix ans de prison. Les faits de ce dossier remontent au 06 août 2009 quand B. Azzeddine s'est présenté en compagnie de H.A. aux services de sécurité de la daïra de Boghni pour les informer de l'existence du cadavre de T.Hakim, près d'une route dans la ville de Boghni. Après des investigations, il s'est avéré que le défunt était, la veille, en compagnie de S.Abdelkader et B.Azzeddine. Ces derniers se sont rencontrés pour consommer des boissons alcoolisées ensemble. B.Azzeddine a avoué que son ami S.Abdelkader a agressé mortellement le dénommé T.Hakim. Il a aussi ajouté que ce dernier et S.Abdelkader l'avaient agressé sexuellement en utilisant la force. Lorsqu'ils ont voulu refaire l'acte une seconde fois, la victime a pris son courage à deux mains et a pris la clé des champs. La victime s'est cachée dans un champ. Lorsqu'ils l'ont retrouvé, une bagarre a éclaté entre eux. C'est alors que S.Abdelkader a pris une grosse pierre et a frappé T.Hakim au niveau du thorax puis à la tête. Etant encore en vie, la victime a été noyée par Abdelkader qui a enfoncé sa tête sous l'eau. Abdelkader a nié qu'il avait agressé sexuellement Azzedine. Lorsqu'il a été présenté devant le juge d'instruction, S. Abdelkader a nié en bloc les accusations retenues contre lui. En date du 15.11.2009, une confrontation a opposé l'agresseur et la victime. Et là, cette dernière a confirmé que l'accusé, qui était devant lui, l'avait agressé sexuellement. Puis la cour a fait appel à un témoin. H.Nassim a indiqué aux services de sécurité que la victime l'avait informé avoir fait l'objet d'une agression sexuelle de la part de Abdelkader, après avoir bu ensemble. Suite à l'enquête sociale, il s'est avéré que l'agresseur avait un comportement et une conduite peu amènes. De même que d'après l'ensemble des éléments qui ont été dégagés l'enquête, des preuves irréfutables montrent que l'accusé est effectivement l'auteur de l'agression.