Cette rencontre ayant regroupé des experts et des consultants en énergie s'est articulée autour de thèmes importants, tels que les récents développements des technologies de régulation et les aspects financiers des CCS. Cette rencontre ayant regroupé des experts et des consultants en énergie s'est articulée autour de thèmes importants, tels que les récents développements des technologies de régulation et les aspects financiers des CCS. «Il est important de rentabiliser et d'optimiser les capacités de captage et de séquestration du site algérien (In Salah) où le projet , fonctionnant depuis 2004, produit plus de 600 millions de mètres cube d'oxyde de carbone» a notamment affirmé, hier à Alger, un responsable algérien chargé du captage et stockage de l'oxyde de carbone (CCS) lors de l'ouverture du deuxième symposium international sur le captage et la séquestration du CO2 organisé par le ministère de l'Energie et des Mines. Pour Hamid Dahmani, directeur général au ministère de l'Energie, il s'agit d'assurer la maintenance et la protection des sites afin de préserver l'environnement. Cette rencontre ayant regroupé des experts et des consultants en énergie s'est notamment articulée autour de thèmes importants, tels que les récents développements des technologies de régulation et les aspects financiers des CCS. Cette table ronde a été animée, entre autres, par des intervenants de Shell International (Tim Bertels), de Schlumberger (Gabriel Marquette, directeur de l'industrie et des relations extérieures) et d'un représentant du ministère saoudien du Pétrole et des Ressources minérales (Ali Meshari, chef technologiste). Il s'agit, pour ce panel, d'examiner le processus de production des projets en cours d'exploitation et d'en tirer les leçons inhérentes à leur fonctionnement, rechercher les opportunités pour la réduction des coûts et surtout, accentuer la coopération entre les gouvernements et les différentes industries des pays fondateurs de l'institut "Global CCS''. Celui-ci a pour objectif essentiel d'accélérer la mise en place commerciale mondiale du CCS sur une grande échelle. Les séminaristes se sont aussi penchés sur l'étude des possibilités de réaliser le transfert technologique et le savoir-faire, ainsi que la collaboration pour accélérer le développement du CCS. Un autre groupe d'experts a également, hier, décortiqué les projets existants en mettant l'accent sur la production et le volet commercialisation, tandis qu'une autre session se chargera, aujourd'hui, de collecter les recommandations.Convaincu de la précieuse contribution du CCS à l'amélioration du changement climatique, le gouvernement australien a consacré des enveloppes financières annuelles évaluées à 100 millions de dollars en faveur du "Global CSS Institut'' qui a obtenu un appui international de 20 gouvernements nationaux et plus de 80 grandes entreprises, d'organisations non gouvernementales et d'organismes de recherche. Les responsables de cet institut estiment que le CCS est l'une des technologies destinées à lutter contre le réchauffement de la planète, et la réduction de l'oxyde de carbone (CO2) et de ses sources d'émissions, attribuables aux activités humaines, est un élément clé pour atténuer les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, les pays du G8 ont pris l'engagement de développer 20 projets CCS de grande envergure devant entrer en fonctionnement d'ici 2020. «Il est important de rentabiliser et d'optimiser les capacités de captage et de séquestration du site algérien (In Salah) où le projet , fonctionnant depuis 2004, produit plus de 600 millions de mètres cube d'oxyde de carbone» a notamment affirmé, hier à Alger, un responsable algérien chargé du captage et stockage de l'oxyde de carbone (CCS) lors de l'ouverture du deuxième symposium international sur le captage et la séquestration du CO2 organisé par le ministère de l'Energie et des Mines. Pour Hamid Dahmani, directeur général au ministère de l'Energie, il s'agit d'assurer la maintenance et la protection des sites afin de préserver l'environnement. Cette rencontre ayant regroupé des experts et des consultants en énergie s'est notamment articulée autour de thèmes importants, tels que les récents développements des technologies de régulation et les aspects financiers des CCS. Cette table ronde a été animée, entre autres, par des intervenants de Shell International (Tim Bertels), de Schlumberger (Gabriel Marquette, directeur de l'industrie et des relations extérieures) et d'un représentant du ministère saoudien du Pétrole et des Ressources minérales (Ali Meshari, chef technologiste). Il s'agit, pour ce panel, d'examiner le processus de production des projets en cours d'exploitation et d'en tirer les leçons inhérentes à leur fonctionnement, rechercher les opportunités pour la réduction des coûts et surtout, accentuer la coopération entre les gouvernements et les différentes industries des pays fondateurs de l'institut "Global CCS''. Celui-ci a pour objectif essentiel d'accélérer la mise en place commerciale mondiale du CCS sur une grande échelle. Les séminaristes se sont aussi penchés sur l'étude des possibilités de réaliser le transfert technologique et le savoir-faire, ainsi que la collaboration pour accélérer le développement du CCS. Un autre groupe d'experts a également, hier, décortiqué les projets existants en mettant l'accent sur la production et le volet commercialisation, tandis qu'une autre session se chargera, aujourd'hui, de collecter les recommandations.Convaincu de la précieuse contribution du CCS à l'amélioration du changement climatique, le gouvernement australien a consacré des enveloppes financières annuelles évaluées à 100 millions de dollars en faveur du "Global CSS Institut'' qui a obtenu un appui international de 20 gouvernements nationaux et plus de 80 grandes entreprises, d'organisations non gouvernementales et d'organismes de recherche. Les responsables de cet institut estiment que le CCS est l'une des technologies destinées à lutter contre le réchauffement de la planète, et la réduction de l'oxyde de carbone (CO2) et de ses sources d'émissions, attribuables aux activités humaines, est un élément clé pour atténuer les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, les pays du G8 ont pris l'engagement de développer 20 projets CCS de grande envergure devant entrer en fonctionnement d'ici 2020.