La réalisation des nouveaux ouvrages hydriques programmés permettra, à terme, de ne plus avoir recours aux réservoirs d'eau potable destinés à l'alimentation des ménages. D'importantes parcelles de terres agricoles, réparties à travers l'étendue de la plaine de la Mitidja; sont annuellement irriguées à partir des réservoirs d'eau potable relevant de la station de Baraki. En tenant compte, ces derniers jours, de l'importante diminution des réserves d'eau potable, les responsables locaux ont décidé l'inscription de deux projets pour faire face à l'irrigation agricole. Ainsi, l'agriculture à travers la wilaya d'Alger consomme, chaque année, dix millions de mètres cubes en eau potable distribuée à partir de la station de Baraki. L'impact de cet important volume d'eau potable, utilisé pour l'irrigation agricole, au détriment de l'alimentation des foyers a été, récemment, perçu en tant que diminution majeure par rapport aux prévisions de consommation à l'approche de la saison estivale. La sonnette d'alarme a été, par conséqent, tirée aussi bien par les responsables de la Société de l'eau et de l'assainissement d'Alger que par les représentants des quartiers de la localité de Baraki qui abrite près de cent quatre-vingt mille habitants. L'Office national de l'Irrigation et d'Assainissement, ONIA, qui a révèle ce chiffre, a précisé, en outre, que pour récupérer cette importante quantité d'eau potable consacrée en partie à l'irrigation des terres agricoles situées dans la plaine de la Mitidja, deux projets d'approvisionnement en eaux d'irrigation agricole seront réalisés à Baraki. Ces deux nouveaux projets permettront, selon les responsables de l'ONIA, de fournir1 cent quarante-cinq millions de mètres cubes, qui seront destinées exclusivement à l'irrigation agricole, à savoir des centaines d'hectares de légumes et fruits ,lesquels représentent l'activité de prédilection de pas moins de trois mille agriculteurs dans la seule localité de Baraki. Les futurs ouvrages hydrauliques dont la réalisation est prévue pour l'année en cours permettront ainsi d'économiser une importante quantité d'eau potable destinée à l'alimentation de la population de la capitale à partir de la station de Baraki, mais aussi afin d'éviter les fâcheuses conséquences provoquées par les perturbations en alimentation en eau potable, comme cela a été le cas durant les périodes estivales précédentes où les ménages ont véritablement galéré pour s'approvisionner en eau potable. La réalisation des nouveaux ouvrages hydriques programmés permettra, à terme, de ne plus avoir recours aux réservoirs d'eau potable destinés à l'alimentation des ménages. D'importantes parcelles de terres agricoles, réparties à travers l'étendue de la plaine de la Mitidja; sont annuellement irriguées à partir des réservoirs d'eau potable relevant de la station de Baraki. En tenant compte, ces derniers jours, de l'importante diminution des réserves d'eau potable, les responsables locaux ont décidé l'inscription de deux projets pour faire face à l'irrigation agricole. Ainsi, l'agriculture à travers la wilaya d'Alger consomme, chaque année, dix millions de mètres cubes en eau potable distribuée à partir de la station de Baraki. L'impact de cet important volume d'eau potable, utilisé pour l'irrigation agricole, au détriment de l'alimentation des foyers a été, récemment, perçu en tant que diminution majeure par rapport aux prévisions de consommation à l'approche de la saison estivale. La sonnette d'alarme a été, par conséqent, tirée aussi bien par les responsables de la Société de l'eau et de l'assainissement d'Alger que par les représentants des quartiers de la localité de Baraki qui abrite près de cent quatre-vingt mille habitants. L'Office national de l'Irrigation et d'Assainissement, ONIA, qui a révèle ce chiffre, a précisé, en outre, que pour récupérer cette importante quantité d'eau potable consacrée en partie à l'irrigation des terres agricoles situées dans la plaine de la Mitidja, deux projets d'approvisionnement en eaux d'irrigation agricole seront réalisés à Baraki. Ces deux nouveaux projets permettront, selon les responsables de l'ONIA, de fournir1 cent quarante-cinq millions de mètres cubes, qui seront destinées exclusivement à l'irrigation agricole, à savoir des centaines d'hectares de légumes et fruits ,lesquels représentent l'activité de prédilection de pas moins de trois mille agriculteurs dans la seule localité de Baraki. Les futurs ouvrages hydrauliques dont la réalisation est prévue pour l'année en cours permettront ainsi d'économiser une importante quantité d'eau potable destinée à l'alimentation de la population de la capitale à partir de la station de Baraki, mais aussi afin d'éviter les fâcheuses conséquences provoquées par les perturbations en alimentation en eau potable, comme cela a été le cas durant les périodes estivales précédentes où les ménages ont véritablement galéré pour s'approvisionner en eau potable.