Comment se débarrasser des déchets infectieux et toxiques induits par les activités de soins dans les établissements sanitaires publics et privés ? La question épineuse qui a tant iniquiété semble définitivement résolue, et dans les règles d'éthique, avec la mise en service d'un incinérateur standard de type HP avec une capacité d'incinération de 150 kg de déchets par heure. Comment se débarrasser des déchets infectieux et toxiques induits par les activités de soins dans les établissements sanitaires publics et privés ? La question épineuse qui a tant iniquiété semble définitivement résolue, et dans les règles d'éthique, avec la mise en service d'un incinérateur standard de type HP avec une capacité d'incinération de 150 kg de déchets par heure. Le centre, implanté dans l'enceinte de l'hôpital Bouzidi, est destiné pour l'élimination des déchets infectieux et toxiques issus des activités de soins dans des établissements sanitaires, publics et privés, de la wilaya. Avant toute incinération, les déchets sont triés et classés en trois catégories : Déchets anatomiques, soit tous les déchets anatomiques et biopsiques humains issus des blocs opératoires et des salles d'accouchements. Déchets contenant des micro-organismes susceptibles d'affecter la santé humaine. Et, enfin, les déchets contenant de fortes concentrations en métaux lourds, en acides, en huiles usagées et en solvants. Un contrôle draconien des collectes est imposé pour trier minutieusement les déchets et les répartir dans des bacs. En cas de présence de radioactivité ou d'autres anomalies, la collecte est systématiquement refusée. Si l'installation d'un incinérateur est un geste louable envers l'environnement, à l'instar des deux CET (Centre d'enfouissement technique) implantés à Boumergued et Aïn Taghrout, il n'en demeure pas moins que l'incinération est un acte d'éthique respectueux de la vie humaine, d'autant qu'il permet de réduire les composants organiques et détruire les germes et les bactéries pathologiques par haute température (950°). Il est important de noter qu'il y a quelques années, en l'absence d'incinérateur et de cadre juridique, des fœtus et des membres de corps humains ont été découverts enfouis dans un terrain vague. L'événement avait fait couler beaucoup d'encre et suscité de vives indignations. Le centre, implanté dans l'enceinte de l'hôpital Bouzidi, est destiné pour l'élimination des déchets infectieux et toxiques issus des activités de soins dans des établissements sanitaires, publics et privés, de la wilaya. Avant toute incinération, les déchets sont triés et classés en trois catégories : Déchets anatomiques, soit tous les déchets anatomiques et biopsiques humains issus des blocs opératoires et des salles d'accouchements. Déchets contenant des micro-organismes susceptibles d'affecter la santé humaine. Et, enfin, les déchets contenant de fortes concentrations en métaux lourds, en acides, en huiles usagées et en solvants. Un contrôle draconien des collectes est imposé pour trier minutieusement les déchets et les répartir dans des bacs. En cas de présence de radioactivité ou d'autres anomalies, la collecte est systématiquement refusée. Si l'installation d'un incinérateur est un geste louable envers l'environnement, à l'instar des deux CET (Centre d'enfouissement technique) implantés à Boumergued et Aïn Taghrout, il n'en demeure pas moins que l'incinération est un acte d'éthique respectueux de la vie humaine, d'autant qu'il permet de réduire les composants organiques et détruire les germes et les bactéries pathologiques par haute température (950°). Il est important de noter qu'il y a quelques années, en l'absence d'incinérateur et de cadre juridique, des fœtus et des membres de corps humains ont été découverts enfouis dans un terrain vague. L'événement avait fait couler beaucoup d'encre et suscité de vives indignations.