Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a appelé hier les secteurs membres de la Commission nationale de développement rural (CNDR) à s'impliquer davantage pour la mise en œuvre de la politique du renouveau rural. Créée en 2006, la CNDR est composée de vingt et un ministères et de trois organismes publics (Agence spatiale algérienne, Sonelgaz et l'Office national des statistiques) et dont la mission consiste à proposer les conditions de l'intégration des actions liées au programme sectoriel afin que tous les secteurs concernés par le développement au niveau rural contribuent à la réalisation de ce programme. Intervenant lors de la réunion de cette structure, le ministre a indiqué que la politique du renouveau rural, n'étant pas sectorielle, tous les secteurs doivent alors intervenir pour sa concrétisation. Concernant les financements, il a fait savoir que sur les 200 milliards DA alloués annuellement au secteur agricole dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, un montant de 60 milliards DA/an concerne le renouveau rural, soit 25% des affectations des autres budgets sectoriels destinées aux espaces ruraux. Pour accompagner la mise en œuvre de cette politique au niveau des territoires ruraux, le ministère a mis à la disposition de cette commission un système national d'aide à la décision qui contient des données sur les indices de développement socio-économique des zones rurales et un programme de renforcement des capacités humaines et d'assistance technique ainsi qu'un système d'information du programme de soutien au renouveau rural. Le programme sectoriel du renouveau rural s'articule autour de quatre objectifs : la modernisation et la réhabilitation des k'sours et villages, la diversification des activités économiques, la protection et valorisation des ressources naturelles ainsi que la protection et la valorisation du patrimoine rural matériel et immatériel. R. N. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a appelé hier les secteurs membres de la Commission nationale de développement rural (CNDR) à s'impliquer davantage pour la mise en œuvre de la politique du renouveau rural. Créée en 2006, la CNDR est composée de vingt et un ministères et de trois organismes publics (Agence spatiale algérienne, Sonelgaz et l'Office national des statistiques) et dont la mission consiste à proposer les conditions de l'intégration des actions liées au programme sectoriel afin que tous les secteurs concernés par le développement au niveau rural contribuent à la réalisation de ce programme. Intervenant lors de la réunion de cette structure, le ministre a indiqué que la politique du renouveau rural, n'étant pas sectorielle, tous les secteurs doivent alors intervenir pour sa concrétisation. Concernant les financements, il a fait savoir que sur les 200 milliards DA alloués annuellement au secteur agricole dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, un montant de 60 milliards DA/an concerne le renouveau rural, soit 25% des affectations des autres budgets sectoriels destinées aux espaces ruraux. Pour accompagner la mise en œuvre de cette politique au niveau des territoires ruraux, le ministère a mis à la disposition de cette commission un système national d'aide à la décision qui contient des données sur les indices de développement socio-économique des zones rurales et un programme de renforcement des capacités humaines et d'assistance technique ainsi qu'un système d'information du programme de soutien au renouveau rural. Le programme sectoriel du renouveau rural s'articule autour de quatre objectifs : la modernisation et la réhabilitation des k'sours et villages, la diversification des activités économiques, la protection et valorisation des ressources naturelles ainsi que la protection et la valorisation du patrimoine rural matériel et immatériel. R. N.