Sans grand tapage ni trompettes sonnantes, les acteurs du football national ont, depuis la première qualification des Verts au Mondial espagnol, pesé de tout leur poids sur certains règlements de la Fifa, et pas des moindres. Sans grand tapage ni trompettes sonnantes, les acteurs du football national ont, depuis la première qualification des Verts au Mondial espagnol, pesé de tout leur poids sur certains règlements de la Fifa, et pas des moindres. La première participation en Espagne a été marquée par non seulement la sensation de la grosse surprise par la victoire retentissante des coéquipiers des Madjer contre l'Allemagne, mais aussi et surtout par le scandale créé par un arrangement à l'amiable entre les Allemands et les Autrichiens. Les deux formations n'avaient d'autre alternative que de tricher avec une petite victoire (1-0) de l'ex-RFA pour éliminer les Verts et les priver ainsi d'aller au second tour après leur seconde victoire (3-2) sur le Chili. Cette combine avait provoqué l'indignation à travers tout le monde et des voix s'étaient élevées pour dénoncer cette pratique et ce non- match disputé au lendemain de la dernière rencontre des nôtres, au cours duquel les Allemands avaient la possibilité de battre largement les Autrichiens. Les responsables du football de l'époque ne s'étaient pas contentés de dénoncer cette injustice, mais avaient présenté un rapport détaillé sur la triche. Le poids du rapport de la FAF ainsi que la pression mise sur l'instance internationale ont fini par faire fléchir la FIFA qui a décidé depuis l'édition suivante, qui s'est déroulée au Mexique, de programmer les derniers matches de groupe le même jour et à la même heure pour éviter toute triche. 25 ans après, des joueurs des deux formations ont reconnu la combine et certains, à l'image de l'ex-défenseur allemand Hans-Peter Briegel, se sont excusés auprès de l'Algérie. "Je suis désolé. Et je n'ai rien d'autre à dire que de présenter mes excuses à l'Algérie parce qu'elle méritait de se qualifier au second tour après avoir présenté des prestations de qualité durant le Mondial de 1982." Des années plus tard, des responsables algériens du jeu à onze se distinguent par une autre "sortie" au grand bonheur de plusieurs pays, surtout africains et sud-américains. La proposition algérienne adoptée par la FIFA qui reposait sur l'abolition de toute limite d'âge (jusqu'alors fixée à 21 ans) de jouer pour une autre sélection a été adoptée. Ainsi, il a été permis à tous les joueurs qui disposent d'une double nationalité de choisir à tout âge la sélection nationale qu'ils souhaitent, à la seule condition de n'avoir pas défendu les couleurs d'une équipe A en compétition officielle. La dernière "pression" de l'Algérie sur les règlements de la FIFA concerne la manière de tirer un penalty, longtemps contestée par les gardiens de but. Lors de la demi-finale de la dernière CAN en Angola, le gardien Chaouchi a énergiquement contesté la manière avec laquelle a été tiré le penalty par l'Egyptien Hosny Abderabo. Depuis, la Fifa a interdit aux joueurs d'arrêter leur course vite qui induit en erreur. En revanche, l'arrêt dans la course d'élan ne devrait pas être sanctionné. La première participation en Espagne a été marquée par non seulement la sensation de la grosse surprise par la victoire retentissante des coéquipiers des Madjer contre l'Allemagne, mais aussi et surtout par le scandale créé par un arrangement à l'amiable entre les Allemands et les Autrichiens. Les deux formations n'avaient d'autre alternative que de tricher avec une petite victoire (1-0) de l'ex-RFA pour éliminer les Verts et les priver ainsi d'aller au second tour après leur seconde victoire (3-2) sur le Chili. Cette combine avait provoqué l'indignation à travers tout le monde et des voix s'étaient élevées pour dénoncer cette pratique et ce non- match disputé au lendemain de la dernière rencontre des nôtres, au cours duquel les Allemands avaient la possibilité de battre largement les Autrichiens. Les responsables du football de l'époque ne s'étaient pas contentés de dénoncer cette injustice, mais avaient présenté un rapport détaillé sur la triche. Le poids du rapport de la FAF ainsi que la pression mise sur l'instance internationale ont fini par faire fléchir la FIFA qui a décidé depuis l'édition suivante, qui s'est déroulée au Mexique, de programmer les derniers matches de groupe le même jour et à la même heure pour éviter toute triche. 25 ans après, des joueurs des deux formations ont reconnu la combine et certains, à l'image de l'ex-défenseur allemand Hans-Peter Briegel, se sont excusés auprès de l'Algérie. "Je suis désolé. Et je n'ai rien d'autre à dire que de présenter mes excuses à l'Algérie parce qu'elle méritait de se qualifier au second tour après avoir présenté des prestations de qualité durant le Mondial de 1982." Des années plus tard, des responsables algériens du jeu à onze se distinguent par une autre "sortie" au grand bonheur de plusieurs pays, surtout africains et sud-américains. La proposition algérienne adoptée par la FIFA qui reposait sur l'abolition de toute limite d'âge (jusqu'alors fixée à 21 ans) de jouer pour une autre sélection a été adoptée. Ainsi, il a été permis à tous les joueurs qui disposent d'une double nationalité de choisir à tout âge la sélection nationale qu'ils souhaitent, à la seule condition de n'avoir pas défendu les couleurs d'une équipe A en compétition officielle. La dernière "pression" de l'Algérie sur les règlements de la FIFA concerne la manière de tirer un penalty, longtemps contestée par les gardiens de but. Lors de la demi-finale de la dernière CAN en Angola, le gardien Chaouchi a énergiquement contesté la manière avec laquelle a été tiré le penalty par l'Egyptien Hosny Abderabo. Depuis, la Fifa a interdit aux joueurs d'arrêter leur course vite qui induit en erreur. En revanche, l'arrêt dans la course d'élan ne devrait pas être sanctionné.