Longtemps attendu, ce projet, qui induira la création de 10 mille emplois, permettra de booster considérablement le secteur agricole dans cette région aux riches potentialités et rentabilisera les investissements consentis par l'Etat, par le truchement de divers mécanismes. Longtemps attendu, ce projet, qui induira la création de 10 mille emplois, permettra de booster considérablement le secteur agricole dans cette région aux riches potentialités et rentabilisera les investissements consentis par l'Etat, par le truchement de divers mécanismes. Quelque 2 mille hectares de terres agricoles, sur un ensemble de 4.885 ha dans la wilaya de Jijel, vont être irrigués par les eaux du barrage d'El-Agrem, a-t-on indiqué, mercredi dernier, à l'Office national d'irrigation et de drainage (ONID) et à la Direction de l'hydraulique (DHW). Cette superficie représente deux secteurs du périmètre agricole Jijel-Taher, situé à quelques encablures du chef-lieu de wilaya, a précisé un cadre de la DHW au cours d'une journée d'information consacrée à l'irrigation agricole, mettant en exergue l'importance de ce système qui "livre en permanence une eau contrôlée sur le plan qualité et à un prix accessible et raisonnable". Les deux autres secteurs de ce projet, d'une superficie de plus de 2 mille hectares, seront mis "progressivement" en service pour irriguer l'ensemble du périmètre agricole des deux régions-tampon Jijel et Taher, après remise en état de certaines conduites détériorées au niveau de Oued Djendjen, a indiqué la même source. Dans l'immédiat, il s'agira d''un sous-secteur de 500 hectares, localisé au niveau de la plaine de Oued Mencha, qui a fait déjà l'objet de souscriptions auprès des futurs utilisateurs. Selon un premier recensement, 108 exploitations agricoles collectives (EAC), 37 collectives (EAI), deux fermes pilotes et 988 exploitations privées bénéficieront des bienfaits de ce projet hydro-agricole. L'ONID, qui a pris en concession cet espace agricole, assurera également le suivi et l'assistance technique aux agriculteurs riverains, a assuré, de son côté,, M. Farid Ouzerdine, directeur central auprès de cet Office, sous tutelle du ministère des Ressources en eau. Longtemps attendu, ce projet, qui induira la création de 10 mille emplois, permettra de booster considérablement le secteur agricole dans cette région aux riches potentialités et rentabilisera les investissements consentis par l'Etat, par le truchement de divers mécanismes. Parmi les autres impacts prévus, la même source a signalé l'augmentation des superficies irriguées de la wilaya, le développement des cultures industrielles et de l'élevage bovin ainsi que la promotion de cultures agricoles nécessitant beaucoup d'eau. Jusqu'à l'heure actuelle, de nombreux agriculteurs, pour irriguer leurs lopins de terre, puisent de l'eau à partir de puits forés sur leurs parcelles ou à proximité, quand ce ne sont pas des eaux usées d'oueds pollués, a-t-on noté. Le réseau d'irrigation a nécessité la pose de 150 km linéaires de conduites de différents diamètres (de 100 mm à 1.500 mm), divers autres équipements et des aménagements réalisés au niveau des oueds Nil et Boukraâ. Au cours de cette journée d'information, plusieurs communications, dont celle d'un enseignant à l'Institut national agronomique (INA) sur l'irrigation agricole, ont été présentées devant une assistance composée de responsables locaux et d'agriculteurs de la région Jijel-Taher. Outre la visite d'une parcelle-pilote à Kaous, une exposition de matériels spécifiques et d'équipements d'irrigation a été organisée en marge de ce regroupement, mettant en relief les avantages procurés par les systèmes d'irrigation et d'aspersion pour économiser l'eau dans le cadre d'une utilisation rationnelle de ce précieux liquide. (APS) Quelque 2 mille hectares de terres agricoles, sur un ensemble de 4.885 ha dans la wilaya de Jijel, vont être irrigués par les eaux du barrage d'El-Agrem, a-t-on indiqué, mercredi dernier, à l'Office national d'irrigation et de drainage (ONID) et à la Direction de l'hydraulique (DHW). Cette superficie représente deux secteurs du périmètre agricole Jijel-Taher, situé à quelques encablures du chef-lieu de wilaya, a précisé un cadre de la DHW au cours d'une journée d'information consacrée à l'irrigation agricole, mettant en exergue l'importance de ce système qui "livre en permanence une eau contrôlée sur le plan qualité et à un prix accessible et raisonnable". Les deux autres secteurs de ce projet, d'une superficie de plus de 2 mille hectares, seront mis "progressivement" en service pour irriguer l'ensemble du périmètre agricole des deux régions-tampon Jijel et Taher, après remise en état de certaines conduites détériorées au niveau de Oued Djendjen, a indiqué la même source. Dans l'immédiat, il s'agira d''un sous-secteur de 500 hectares, localisé au niveau de la plaine de Oued Mencha, qui a fait déjà l'objet de souscriptions auprès des futurs utilisateurs. Selon un premier recensement, 108 exploitations agricoles collectives (EAC), 37 collectives (EAI), deux fermes pilotes et 988 exploitations privées bénéficieront des bienfaits de ce projet hydro-agricole. L'ONID, qui a pris en concession cet espace agricole, assurera également le suivi et l'assistance technique aux agriculteurs riverains, a assuré, de son côté,, M. Farid Ouzerdine, directeur central auprès de cet Office, sous tutelle du ministère des Ressources en eau. Longtemps attendu, ce projet, qui induira la création de 10 mille emplois, permettra de booster considérablement le secteur agricole dans cette région aux riches potentialités et rentabilisera les investissements consentis par l'Etat, par le truchement de divers mécanismes. Parmi les autres impacts prévus, la même source a signalé l'augmentation des superficies irriguées de la wilaya, le développement des cultures industrielles et de l'élevage bovin ainsi que la promotion de cultures agricoles nécessitant beaucoup d'eau. Jusqu'à l'heure actuelle, de nombreux agriculteurs, pour irriguer leurs lopins de terre, puisent de l'eau à partir de puits forés sur leurs parcelles ou à proximité, quand ce ne sont pas des eaux usées d'oueds pollués, a-t-on noté. Le réseau d'irrigation a nécessité la pose de 150 km linéaires de conduites de différents diamètres (de 100 mm à 1.500 mm), divers autres équipements et des aménagements réalisés au niveau des oueds Nil et Boukraâ. Au cours de cette journée d'information, plusieurs communications, dont celle d'un enseignant à l'Institut national agronomique (INA) sur l'irrigation agricole, ont été présentées devant une assistance composée de responsables locaux et d'agriculteurs de la région Jijel-Taher. Outre la visite d'une parcelle-pilote à Kaous, une exposition de matériels spécifiques et d'équipements d'irrigation a été organisée en marge de ce regroupement, mettant en relief les avantages procurés par les systèmes d'irrigation et d'aspersion pour économiser l'eau dans le cadre d'une utilisation rationnelle de ce précieux liquide. (APS)