Voix de crooner, allure de bête de scène et une musique à la fois douce et explosive, forment l'image du rocker d'expression kabyle, Bélaïd Branis, qui vient de sortir un premier album Talwit (Paix), après plus de dix années de préparation. Passionné de musique depuis sa tendre enfance, Bélaïd Branis a réussi, au fil du temps, à se frayer un chemin dans l'univers artistique grâce à sa dévotion et sa rage de partager les émotions que dégagent ses cordes vocales et celles de sa guitare. Fils du fondateur du groupe légendaire de rock "Les Abranis", ce jeune artiste a toujours été inspiré des grands noms qui ont brillé dans le ciel de la musique rock, dont Elvis Presley, Santana, James Brown et Marc Knofler, a-t-il confié à l'APS. Lorsque Belaid parle de son album Talwit, qui comprend dix titres, c'est pour dire qu'il s'agit d'un vieux rêve enfin réalisé et qu'il a choisi ce thème (la paix) pour exprimer la paix qui peut habiter l'âme d'un artiste une fois son rêve réalisé. "Les mélodies des chansons ont été composées à des années d'intervalle. L'album comprend même des morceaux composés il y a plus de dix ans. Je n'ai pas de messages précis à transmettre à travers ma musique. J'aime la musique et j'aime partager tout ce que j'aime", assène-t-il, un tantinet philanthrope. Interpréter du rock en langue amazighe pourrait contribuer, selon lui, à la faire connaître davantage au-delà des frontières du pays et pourrait, dans le même temps, participer à la sauvegarde d'une partie du patrimoine oral que recèle la culture amazighe. L'album s'ouvre sur Tamacahut, un hommage aux grand-mères qui, autrefois, abreuvaient leurs petits-enfants de contes et légendes immortels, et enchaîne sur des morceaux qui font swinguer et d'autres qui bercent. Les textes sont tantôt mélancoliques, tantôt joyeux, mais empreints de beaucoup de nostalgie, comme les titres Tabra" (De la lettre), qui se veut un clin d'œil aux grandes histories d'amour, et Tchin Tchin qui propose un voyage au cœur des paysages féeriques de la Kabylie. APS Voix de crooner, allure de bête de scène et une musique à la fois douce et explosive, forment l'image du rocker d'expression kabyle, Bélaïd Branis, qui vient de sortir un premier album Talwit (Paix), après plus de dix années de préparation. Passionné de musique depuis sa tendre enfance, Bélaïd Branis a réussi, au fil du temps, à se frayer un chemin dans l'univers artistique grâce à sa dévotion et sa rage de partager les émotions que dégagent ses cordes vocales et celles de sa guitare. Fils du fondateur du groupe légendaire de rock "Les Abranis", ce jeune artiste a toujours été inspiré des grands noms qui ont brillé dans le ciel de la musique rock, dont Elvis Presley, Santana, James Brown et Marc Knofler, a-t-il confié à l'APS. Lorsque Belaid parle de son album Talwit, qui comprend dix titres, c'est pour dire qu'il s'agit d'un vieux rêve enfin réalisé et qu'il a choisi ce thème (la paix) pour exprimer la paix qui peut habiter l'âme d'un artiste une fois son rêve réalisé. "Les mélodies des chansons ont été composées à des années d'intervalle. L'album comprend même des morceaux composés il y a plus de dix ans. Je n'ai pas de messages précis à transmettre à travers ma musique. J'aime la musique et j'aime partager tout ce que j'aime", assène-t-il, un tantinet philanthrope. Interpréter du rock en langue amazighe pourrait contribuer, selon lui, à la faire connaître davantage au-delà des frontières du pays et pourrait, dans le même temps, participer à la sauvegarde d'une partie du patrimoine oral que recèle la culture amazighe. L'album s'ouvre sur Tamacahut, un hommage aux grand-mères qui, autrefois, abreuvaient leurs petits-enfants de contes et légendes immortels, et enchaîne sur des morceaux qui font swinguer et d'autres qui bercent. Les textes sont tantôt mélancoliques, tantôt joyeux, mais empreints de beaucoup de nostalgie, comme les titres Tabra" (De la lettre), qui se veut un clin d'œil aux grandes histories d'amour, et Tchin Tchin qui propose un voyage au cœur des paysages féeriques de la Kabylie. APS