Khalida Toumi, ministre de la Culture, a précisé, hier à l'ouverture d'une journée d'études sur la gestion des bibliothèques publiques et le développement du fonds documentaire, l'importance des différentes bibliothèques publiques au sein de la société. Khalida Toumi, ministre de la Culture, a précisé, hier à l'ouverture d'une journée d'études sur la gestion des bibliothèques publiques et le développement du fonds documentaire, l'importance des différentes bibliothèques publiques au sein de la société. Le livre, la lecture et les bibliothèques sont au cœur de l'actualité culturelle. A ce sujet, Khalida Toumi, ministre de la Culture, a précisé, hier à l'ouverture d'une journée d'étude sur la gestion des bibliothèques publiques et le développement du fonds documentaire, l'importance des différentes bibliothèques publiques au sein de la société. A cette occasion, Khalida Toumi informe que d'ici le mois de septembre, un cahier des charges, élaboré selon des normes internationales ratifiées par l'Unesco, sera à la disposition des différents responsables des bibliothèques de lecture publique. Ces derniers doivent impérativement se référer à lui pour la gestion de ces structures et pour l'acquisition des livres. Profitant de cette occasion, la ministre annonce la création, le mois de septembre prochain, d'une base de données des productions nationales de livres qui sera mise à la disposition des directeurs des bibliothèques publiques. Cette base de données permettra de présenter les différents titres disponibles. Concernant l'achat des productions étrangères, elle annoncera qu'elle se fera à l'avenir après approbation de la part du ministère de tutelle. Cette importance donnée au livre devrait, d'après la ministre, être accentuée par la priorité que devrait donner ces bibliothèques à la production nationale en encourageant les éditions nationales et cela avec l'acquisition de leurs livres. Cette démarche permettra également «d'enrichir leurs fonds documentaires». Khalida Toumi précisera à ce sujet que l'Algérie possède près de deux cents maisons d'édition nationale. «C'est dans cette logique que devra dorénavant être la politique du livre en Algérie. Car cette opération d'acquisition permettra en outre aux bibliothèques de lecture publique d'enrichir leurs fonds documentaires». Durant cette journée inaugurale, la première responsable du secteur culturel a relevé l'importance de cette politique du livre en Algérie car cela encouragerait également d'autres secteurs du livre comme les éditeurs nationaux et la promotion incontestée de l'industrie livresque nationale. Reste que Mme Toumi a voulu souligner que ces mesures prises pour promouvoir la production nationale ne sont aucunement une manière d'isoler les lecteurs des autres productions étrangères dans le domaine du livre. A partir de cette manifestation, la ministre de la Culture a profité une fois de plus pour réitérer que la bibliothèque n'est pas seulement un lieu ou une bâtisse, mais surtout et avant tout un lieu de savoir sacré pour accumuler des connaissances et c'est pour cela que «la gestion des bibliothèques, mérite une grande importance et une très forte considération d'autant plus que sa mission est adressée à un large public avec un service public assuré par l'Etat». Le livre, la lecture et les bibliothèques sont au cœur de l'actualité culturelle. A ce sujet, Khalida Toumi, ministre de la Culture, a précisé, hier à l'ouverture d'une journée d'étude sur la gestion des bibliothèques publiques et le développement du fonds documentaire, l'importance des différentes bibliothèques publiques au sein de la société. A cette occasion, Khalida Toumi informe que d'ici le mois de septembre, un cahier des charges, élaboré selon des normes internationales ratifiées par l'Unesco, sera à la disposition des différents responsables des bibliothèques de lecture publique. Ces derniers doivent impérativement se référer à lui pour la gestion de ces structures et pour l'acquisition des livres. Profitant de cette occasion, la ministre annonce la création, le mois de septembre prochain, d'une base de données des productions nationales de livres qui sera mise à la disposition des directeurs des bibliothèques publiques. Cette base de données permettra de présenter les différents titres disponibles. Concernant l'achat des productions étrangères, elle annoncera qu'elle se fera à l'avenir après approbation de la part du ministère de tutelle. Cette importance donnée au livre devrait, d'après la ministre, être accentuée par la priorité que devrait donner ces bibliothèques à la production nationale en encourageant les éditions nationales et cela avec l'acquisition de leurs livres. Cette démarche permettra également «d'enrichir leurs fonds documentaires». Khalida Toumi précisera à ce sujet que l'Algérie possède près de deux cents maisons d'édition nationale. «C'est dans cette logique que devra dorénavant être la politique du livre en Algérie. Car cette opération d'acquisition permettra en outre aux bibliothèques de lecture publique d'enrichir leurs fonds documentaires». Durant cette journée inaugurale, la première responsable du secteur culturel a relevé l'importance de cette politique du livre en Algérie car cela encouragerait également d'autres secteurs du livre comme les éditeurs nationaux et la promotion incontestée de l'industrie livresque nationale. Reste que Mme Toumi a voulu souligner que ces mesures prises pour promouvoir la production nationale ne sont aucunement une manière d'isoler les lecteurs des autres productions étrangères dans le domaine du livre. A partir de cette manifestation, la ministre de la Culture a profité une fois de plus pour réitérer que la bibliothèque n'est pas seulement un lieu ou une bâtisse, mais surtout et avant tout un lieu de savoir sacré pour accumuler des connaissances et c'est pour cela que «la gestion des bibliothèques, mérite une grande importance et une très forte considération d'autant plus que sa mission est adressée à un large public avec un service public assuré par l'Etat».