Les opérateurs économiques russes sont invités à contribuer, dans le cadre d'appel d'offres, à la réalisation des différents projets d'investissements publics, inscrits dans le programme quinquennal 2010-2014. Les entreprises russes sont ainsi appelées à l'exécution de grands projets relevant du secteur des travaux publics et celui des ressources en eau. S'exprimant hier à l'ouverture de la 4e session de la Commission intergouvernementale mixte de coopération économique, commerciale, scientifique et technique algéro-russe, le ministre des Finances, Karim Djoudi, a indiqué que le nouveau programme quinquennal, doté d'une enveloppe de 286 milliards de dollars, permettra d'initier des partenariats dans le cadre d'appels d'offres lancés pour la réalisation de ces grands projets. Ces investissements permettront aussi de «substituer la dépense publique par celle privée qui sera en grande partie financée par les investissements étrangers», a ajouté le ministre. A cet effet, le ministre a affiché l'entière responsabilité de la partie algérienne pour la mise en place d'un partenariat économique fondé sur l'encouragement mutuel des investissements ainsi que le transfert de savoir-faire et de technologie de la part des entreprises russes. Prévue prochainement, la finalisation d'un nombre de projets de textes, particulièrement dans les domaines de l'utilisation civile de l'énergie nucléaire, le transport maritime et l'exploration pacifique de l'espace, devrait, elle aussi, renforcer et raffermir la coopération économique et technique bilatérale. De son côté, le ministre russe de l'Energie, Serguei Chmatko, a exprimé la volonté des autorités de son pays de promouvoir et diversifier la coopération économique bilatérale. Il a fait part de la disponibilité de son pays à contribuer à la réalisation du programme d'investissements publics pour les cinq prochaines années. Les sociétés russes, poursuit le même responsable, sont prêtes à apporter leur savoir-faire dans les domaines de coopération sollicités par l'Algérie, à l'instar des travaux publics et des ressources en eau. Mais aussi les transports maritimes et ferroviaires ainsi que l'industrie aéronautique. En outre, le ministre russe a mis l'accent sur l'urgence de résoudre les points en suspension afin de concrétiser les différents projets de partenariat initiés par les deux pays. A noter enfin que la 4e session de la Commission intergouvernementale mixte de coopération économique, commerciale, scientifique et technique algéro-russe a ouvert ses travaux hier à Alger. Les travaux de cette rencontre, coprésidée par le ministre Djoudi et le ministre russe de l'Energie, portent sur l'évaluation de l'état d'exécution des recommandations consignées au procès verbal de la 3e session de la commission tenue en novembre 2008 à Moscou et à l'examen des perspectives de coopération multisectorielle. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Russie, bien que modestes au regard de la qualité du dialogue politique entretenu par les deux pays et des potentialités de leurs économies, ont été estimés à 1.602 millions de dollars US, entre 2002 et 2006. Les opérateurs économiques russes sont invités à contribuer, dans le cadre d'appel d'offres, à la réalisation des différents projets d'investissements publics, inscrits dans le programme quinquennal 2010-2014. Les entreprises russes sont ainsi appelées à l'exécution de grands projets relevant du secteur des travaux publics et celui des ressources en eau. S'exprimant hier à l'ouverture de la 4e session de la Commission intergouvernementale mixte de coopération économique, commerciale, scientifique et technique algéro-russe, le ministre des Finances, Karim Djoudi, a indiqué que le nouveau programme quinquennal, doté d'une enveloppe de 286 milliards de dollars, permettra d'initier des partenariats dans le cadre d'appels d'offres lancés pour la réalisation de ces grands projets. Ces investissements permettront aussi de «substituer la dépense publique par celle privée qui sera en grande partie financée par les investissements étrangers», a ajouté le ministre. A cet effet, le ministre a affiché l'entière responsabilité de la partie algérienne pour la mise en place d'un partenariat économique fondé sur l'encouragement mutuel des investissements ainsi que le transfert de savoir-faire et de technologie de la part des entreprises russes. Prévue prochainement, la finalisation d'un nombre de projets de textes, particulièrement dans les domaines de l'utilisation civile de l'énergie nucléaire, le transport maritime et l'exploration pacifique de l'espace, devrait, elle aussi, renforcer et raffermir la coopération économique et technique bilatérale. De son côté, le ministre russe de l'Energie, Serguei Chmatko, a exprimé la volonté des autorités de son pays de promouvoir et diversifier la coopération économique bilatérale. Il a fait part de la disponibilité de son pays à contribuer à la réalisation du programme d'investissements publics pour les cinq prochaines années. Les sociétés russes, poursuit le même responsable, sont prêtes à apporter leur savoir-faire dans les domaines de coopération sollicités par l'Algérie, à l'instar des travaux publics et des ressources en eau. Mais aussi les transports maritimes et ferroviaires ainsi que l'industrie aéronautique. En outre, le ministre russe a mis l'accent sur l'urgence de résoudre les points en suspension afin de concrétiser les différents projets de partenariat initiés par les deux pays. A noter enfin que la 4e session de la Commission intergouvernementale mixte de coopération économique, commerciale, scientifique et technique algéro-russe a ouvert ses travaux hier à Alger. Les travaux de cette rencontre, coprésidée par le ministre Djoudi et le ministre russe de l'Energie, portent sur l'évaluation de l'état d'exécution des recommandations consignées au procès verbal de la 3e session de la commission tenue en novembre 2008 à Moscou et à l'examen des perspectives de coopération multisectorielle. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Russie, bien que modestes au regard de la qualité du dialogue politique entretenu par les deux pays et des potentialités de leurs économies, ont été estimés à 1.602 millions de dollars US, entre 2002 et 2006.