Les groupes algéro-américains forment une communauté unie par la célébration, la science et la culture. On apprend, de ce fait, que deux organisations algéro-américaines s'apprêtent à commémorer les jours de l'Indépendance, soit les 4 et 5 juillet, respectivement américain et algérien, par des rassemblements communautaires. L'une de ces organisations, nommée la Fondation algéro-américaine pour l'éducation, la science, et la technologie (AAF) va, selon l'ambassade américaine, joindre les célébrations à la diplomatie académique en recevant à Washington un groupe de neuroscientifiques et neurochirurgiens algériens, en sus du responsable de la recherche au sein du ministère algérien de l'Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, Hafid Aourag. Le président de la AAF, Farid Amirouche, annonce-t-on, s'entretiendra avec ses invités algériens sur les questions de neuroscience et recevra également les remarques des représentants de son pays d'origine. «Il serait bien de voir l'autre côté. Ils ont peut être des visions différentes des nôtres» a déclaré Amirouche dans une interview accordée à America.gov. «Nous avons pensé que c'était une bonne manière de célébrer les deux fêtes de l'indépendance», a-t-il ajouté. L'Association algéro-américaine du Grand Washington (AAAGW), elle aussi, accueillera un tout autre genre de fête portant un intérêt particulier aux volets social et culturel. «Nous invitons les membres de la communauté dans une grande salle et chacun apportera quelque chose. Nous essayons de préparer des plats spéciaux. C'est une manière simple de rassembler les gens», a déclaré Azzedine Stambouli, membre du directoire de AAAGW à America.gov. L'AAF et l'AAAGW travaillent, a-t-on indiqué, à rassembler et enrichir les vies des membres de la communauté algéro-américaine, estimée selon M. Amirouche à 20 mille membres. Initiée en partie par Elias Zerhouni, ancien directeur de l'Institut national des Etats-Unis de la santé (NIH), selon la même source, l'AAF cherche à nouer des relations stratégiques entre les scientifiques, chercheurs et professionnels algériens et américains. «Il existe un noyau algéro-américain travaillant à atteindre un progrès solide en termes de science et technologie et c'est le groupe avec qui nous allons commencer», a poursuivi M. Amirouche, qui est lui-même professeur d'ingéniorat et d'orthopédie. Par ailleurs, ajoute le communiqué de l'ambassade US, la AAF a déjà rassemblé les ressources nécessaires en vue de créer un réseau sur Internet pour les professionnels algériens. Ce site Internet, explique-t-on, va permettre aux Algériens d'accéder aux annonces de bourses/aides offertes par le NIH ainsi que d'autres institutions américaines. Fournir une formation aux médecins algériens pour le traitement du « spina bifida », une malformation congénitale à la naissance, chose qui représente une occasion de partenariat. Le groupe de santé de la AAF travaille à optimiser les manières d'appliquer les programmes de formation et la AAAGW a également contribué au combat contre la maladie. A travers la collecte de fonds, l'AAAGW a aidé à emmener quatre enfants algériens aux Etats-Unis pour se faire soigner, précise le document Les groupes algéro-américains forment une communauté unie par la célébration, la science et la culture. On apprend, de ce fait, que deux organisations algéro-américaines s'apprêtent à commémorer les jours de l'Indépendance, soit les 4 et 5 juillet, respectivement américain et algérien, par des rassemblements communautaires. L'une de ces organisations, nommée la Fondation algéro-américaine pour l'éducation, la science, et la technologie (AAF) va, selon l'ambassade américaine, joindre les célébrations à la diplomatie académique en recevant à Washington un groupe de neuroscientifiques et neurochirurgiens algériens, en sus du responsable de la recherche au sein du ministère algérien de l'Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, Hafid Aourag. Le président de la AAF, Farid Amirouche, annonce-t-on, s'entretiendra avec ses invités algériens sur les questions de neuroscience et recevra également les remarques des représentants de son pays d'origine. «Il serait bien de voir l'autre côté. Ils ont peut être des visions différentes des nôtres» a déclaré Amirouche dans une interview accordée à America.gov. «Nous avons pensé que c'était une bonne manière de célébrer les deux fêtes de l'indépendance», a-t-il ajouté. L'Association algéro-américaine du Grand Washington (AAAGW), elle aussi, accueillera un tout autre genre de fête portant un intérêt particulier aux volets social et culturel. «Nous invitons les membres de la communauté dans une grande salle et chacun apportera quelque chose. Nous essayons de préparer des plats spéciaux. C'est une manière simple de rassembler les gens», a déclaré Azzedine Stambouli, membre du directoire de AAAGW à America.gov. L'AAF et l'AAAGW travaillent, a-t-on indiqué, à rassembler et enrichir les vies des membres de la communauté algéro-américaine, estimée selon M. Amirouche à 20 mille membres. Initiée en partie par Elias Zerhouni, ancien directeur de l'Institut national des Etats-Unis de la santé (NIH), selon la même source, l'AAF cherche à nouer des relations stratégiques entre les scientifiques, chercheurs et professionnels algériens et américains. «Il existe un noyau algéro-américain travaillant à atteindre un progrès solide en termes de science et technologie et c'est le groupe avec qui nous allons commencer», a poursuivi M. Amirouche, qui est lui-même professeur d'ingéniorat et d'orthopédie. Par ailleurs, ajoute le communiqué de l'ambassade US, la AAF a déjà rassemblé les ressources nécessaires en vue de créer un réseau sur Internet pour les professionnels algériens. Ce site Internet, explique-t-on, va permettre aux Algériens d'accéder aux annonces de bourses/aides offertes par le NIH ainsi que d'autres institutions américaines. Fournir une formation aux médecins algériens pour le traitement du « spina bifida », une malformation congénitale à la naissance, chose qui représente une occasion de partenariat. Le groupe de santé de la AAF travaille à optimiser les manières d'appliquer les programmes de formation et la AAAGW a également contribué au combat contre la maladie. A travers la collecte de fonds, l'AAAGW a aidé à emmener quatre enfants algériens aux Etats-Unis pour se faire soigner, précise le document