Prévue pour être réceptionnée huit mois après le début des travaux, la trémie, réalisée sur les hauteurs de Jijel a accusé un retard dans sa livraison. Finalement, elle n'a été opérationnelle qu'au début de ce mois de juillet. Maintes fois annoncée, sa mise en service est venue à point nommé pour mettre un terme à l'anarchie en matière de circulation qui régnait jusqu'ici au niveau du croisement du Boulevard Kaoula et la rue Bouketta. Du coup, c'est un ouf de soulagement qu'on poussé les habitants de la cité les martyrs Abdi, ex-Camp Chevalier, lundi dernier, après son ouverture à la circulation. Cet ouvrage est censé régler définitivement les désagréments causés aux usagers de la route, avec une meilleure fluidité de la circulation durant les heures de pointe et notamment en période estivale où il est constaté un accroissement du trafic automobile. Faut-il le rappeler, le démarrage des travaux de cette trémie, la première du genre dans la wilaya de Jijel, a eu lieu en avril 2009, non sans des arrêts de chantier dus essentiellement à certaines contraintes techniques. Devant l'importance que revêt ce projet et afin qu'elle augmente sa cadence de travail, le chef de l'exécutif a été obligé de descendre plusieurs fois sur le chantier pour secouer l'entreprise réalisatrice. On notera ici que cet ouvrage d'une longueur de 120 mètres linéaires dont 27 mètres couverts a coûté quelque 30 milliards de centimes. Devant l'accroissement du parc automobile ces dernières années, les services de la direction des travaux publics ont inscrit dans leur agenda la réalisation de deux autres trémies au niveau du centre-ville de Jijel, ainsi qu'une autre dans la commune de Taher. Une manière d'éliminer définitivement la congestion de la circulation automobile au niveau de certains carrefours. Prévue pour être réceptionnée huit mois après le début des travaux, la trémie, réalisée sur les hauteurs de Jijel a accusé un retard dans sa livraison. Finalement, elle n'a été opérationnelle qu'au début de ce mois de juillet. Maintes fois annoncée, sa mise en service est venue à point nommé pour mettre un terme à l'anarchie en matière de circulation qui régnait jusqu'ici au niveau du croisement du Boulevard Kaoula et la rue Bouketta. Du coup, c'est un ouf de soulagement qu'on poussé les habitants de la cité les martyrs Abdi, ex-Camp Chevalier, lundi dernier, après son ouverture à la circulation. Cet ouvrage est censé régler définitivement les désagréments causés aux usagers de la route, avec une meilleure fluidité de la circulation durant les heures de pointe et notamment en période estivale où il est constaté un accroissement du trafic automobile. Faut-il le rappeler, le démarrage des travaux de cette trémie, la première du genre dans la wilaya de Jijel, a eu lieu en avril 2009, non sans des arrêts de chantier dus essentiellement à certaines contraintes techniques. Devant l'importance que revêt ce projet et afin qu'elle augmente sa cadence de travail, le chef de l'exécutif a été obligé de descendre plusieurs fois sur le chantier pour secouer l'entreprise réalisatrice. On notera ici que cet ouvrage d'une longueur de 120 mètres linéaires dont 27 mètres couverts a coûté quelque 30 milliards de centimes. Devant l'accroissement du parc automobile ces dernières années, les services de la direction des travaux publics ont inscrit dans leur agenda la réalisation de deux autres trémies au niveau du centre-ville de Jijel, ainsi qu'une autre dans la commune de Taher. Une manière d'éliminer définitivement la congestion de la circulation automobile au niveau de certains carrefours.