Les cours du pétrole se raffermissaient, hier, et s'installaient au-dessus de la barre des 75 dollars sur un marché sans grande direction dans l'attente d'indicateurs et de résultats d'entreprise aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août s'échangeait à 74,97 dollars, en hausse de 60 cents par rapport à la clôture de vendredi. Le "brut léger texan" (WTI) pour la même échéance gagnait 42 cents à 75,37 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Après avoir perdu plus d'un dollar des deux côtés de l'Atlantique lundi, notamment en raison d'un renforcement de la monnaie américaine, les cours du pétrole reprenaient un dollar hier mardi. Contrairement à la veille, le pétrole résistait à un renforcement de la monnaie américaine face à l'euro qui pâtissait de la dégradation de la note souveraine du Portugal par l'agence de notation Moody's. Autre élément observé par les analystes, le prix du pétrole échangé à New York se détachait de celui de Londres, qui cotait environ 80 cents de moins. "Cela pourrait être une conséquence des derniers événements liés à la marée noire" du golfe du Mexique, jugent les analystes. Dans l'intervalle, les opérateurs digéraient le rapport mensuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui a dit s'attendre hier à un ralentissement sensible de la croissance de la demande mondiale de pétrole en 2011, a annoncé hier mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE). La consommation de pétrole devrait augmenter de 1,3 million de barils par jour (mbj) en 2011 (soit +1,6%), contre 1,8 mbj cette année. Elle atteindra alors 87,8 mbj. Les cours du pétrole se raffermissaient, hier, et s'installaient au-dessus de la barre des 75 dollars sur un marché sans grande direction dans l'attente d'indicateurs et de résultats d'entreprise aux Etats-Unis. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août s'échangeait à 74,97 dollars, en hausse de 60 cents par rapport à la clôture de vendredi. Le "brut léger texan" (WTI) pour la même échéance gagnait 42 cents à 75,37 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Après avoir perdu plus d'un dollar des deux côtés de l'Atlantique lundi, notamment en raison d'un renforcement de la monnaie américaine, les cours du pétrole reprenaient un dollar hier mardi. Contrairement à la veille, le pétrole résistait à un renforcement de la monnaie américaine face à l'euro qui pâtissait de la dégradation de la note souveraine du Portugal par l'agence de notation Moody's. Autre élément observé par les analystes, le prix du pétrole échangé à New York se détachait de celui de Londres, qui cotait environ 80 cents de moins. "Cela pourrait être une conséquence des derniers événements liés à la marée noire" du golfe du Mexique, jugent les analystes. Dans l'intervalle, les opérateurs digéraient le rapport mensuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui a dit s'attendre hier à un ralentissement sensible de la croissance de la demande mondiale de pétrole en 2011, a annoncé hier mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE). La consommation de pétrole devrait augmenter de 1,3 million de barils par jour (mbj) en 2011 (soit +1,6%), contre 1,8 mbj cette année. Elle atteindra alors 87,8 mbj.