Dans un communiqué rendu public, hier, l'aile légaliste de l'union de wilaya revient à la charge et interpelle, encore une fois, le secrétaire général, Sidi Saïd pour remettre de l'ordre dans la maison UGTA de constantine. Cette dernière drivée par Abdelkader Mehdi, suspendu de ses fonctions de secrétaire de l'union de wilaya, en date du 26 mai par le patron même de l'organisation syndicale, continue de défendre, becs et ongles, «sa position et son attachement aux règles et statuts du syndicat». Les légalistes rejettent, en premier lieu, la légitimité de l'union de wilaya bis, installée à El Achour, par les hautes instances syndicales, le 17 juin dernier. Cette nouvelle structure a été chargée de préparer l'organisation du congrès de wilaya. Elle a réussi à occuper le terrain et a procédé aux élections des sections dans les différents secteurs d'activités. Des élections que les «légalistes» qualifient de «cooptations pures et simples». Toujours dans cette logique, et selon le même communiqué, ils dénoncent leurs protagonistes «qui s'octroient des prérogatives, prennent des décisions iniques et décident de la suspension de membres de la commission exécutive de wilaya». En définitive, ils en appellent à l'arbitrage de Sidi Saïd pour l'annulation des décisions de l'union bis et demandent, tacitement la réhabilitation de Abdelkader Mehdi dans ses responsabilités de secrétaire de wilaya. A rappeler que l'union de willaya s'est attirée les foudres de la centrale syndicale en refusant d'entériner une décision de réintégration de l'union locale centre, destituée il ya deux ans aux motifs de «détournements». Dans un communiqué rendu public, hier, l'aile légaliste de l'union de wilaya revient à la charge et interpelle, encore une fois, le secrétaire général, Sidi Saïd pour remettre de l'ordre dans la maison UGTA de constantine. Cette dernière drivée par Abdelkader Mehdi, suspendu de ses fonctions de secrétaire de l'union de wilaya, en date du 26 mai par le patron même de l'organisation syndicale, continue de défendre, becs et ongles, «sa position et son attachement aux règles et statuts du syndicat». Les légalistes rejettent, en premier lieu, la légitimité de l'union de wilaya bis, installée à El Achour, par les hautes instances syndicales, le 17 juin dernier. Cette nouvelle structure a été chargée de préparer l'organisation du congrès de wilaya. Elle a réussi à occuper le terrain et a procédé aux élections des sections dans les différents secteurs d'activités. Des élections que les «légalistes» qualifient de «cooptations pures et simples». Toujours dans cette logique, et selon le même communiqué, ils dénoncent leurs protagonistes «qui s'octroient des prérogatives, prennent des décisions iniques et décident de la suspension de membres de la commission exécutive de wilaya». En définitive, ils en appellent à l'arbitrage de Sidi Saïd pour l'annulation des décisions de l'union bis et demandent, tacitement la réhabilitation de Abdelkader Mehdi dans ses responsabilités de secrétaire de wilaya. A rappeler que l'union de willaya s'est attirée les foudres de la centrale syndicale en refusant d'entériner une décision de réintégration de l'union locale centre, destituée il ya deux ans aux motifs de «détournements».