Les foyers sont mieux alimentés cette saison en eau potable suite à l'équipement et à l'extension des capacités de stockage de l'eau au niveau de deux nouvelles stations. Les instances locales, quant à elles, s'affairent à terminer le reste des travaux concernant la réalisation de certaines aires de jeu et infrastructures de détente jugées, pour l'heure, insuffisantes. Les foyers sont mieux alimentés cette saison en eau potable suite à l'équipement et à l'extension des capacités de stockage de l'eau au niveau de deux nouvelles stations. Les instances locales, quant à elles, s'affairent à terminer le reste des travaux concernant la réalisation de certaines aires de jeu et infrastructures de détente jugées, pour l'heure, insuffisantes. Pas moins de 37 milliards ont été débloqués pour mener à bien l'urbanisation des vieux quartiers du chef-lieu de la commune de Sidi-Moussa et plus du double de cette somme a été affecté à la réalisation d'infrastructures de base au profit des localités rurales. C'est ainsi que trois sites semi- urbains voient le lancement d'opérations de bitumage et d'extension de nombreux tronçons de routes reliant ces endroits, de moyenne densité démographique, au centre-ville où se trouvent concentrées les administrations publiques, les espaces de commerce de même que les structures sociales et sanitaires. On assiste également, ces jours-ci, à la poursuite de travaux ayant débuté l'an dernier à travers quelques centres semi-urbains, à savoir Ouled Allal et Rais où 17 milliards ont été débloqués pour la réalisation des travaux de réfection de la voirie, cela en plus d'autres importantes enveloppes financières allouées à la rénovation des réseaux d'eau et de gaz au niveau des vieux quartiers de la ville de Sidi-Moussa et sa périphérie. Même si la plupart des opérations sont inscrites aux précédents programmes communaux de développement, soit ceux de 2008 et 2009, la cadence de la réalisation de ces projets de désenclavement semble s'être accélérée ces jours-ci. Pour cause, les responsables locaux se disent sensibles au clavaire vécu par plus de vingt mille habitants de ces sites qui ont longtemps souffert de l'isolement en raison de difficiles accès aux transports et aux commodités de vie essentielles. C'est ainsi que les habitants de Zouaoui et Dehimat, par exemple, s'estiment aujourd'hui satisfaits de l'amélioration de leur cadre de vie après avoir subi, durant des années, toutes sortes de privations, à commencer par l'état des routes qui s'est nettement amélioré après les importantes opérations d'entretien et de bitumage en plusieurs endroits. De même que l'embellissement de l'environnement est nettement visible au niveau des cités urbaines de Bougara et de la CNEP, de même qu'au niveau des nouveaux sites issus de l'expansion urbanistique remarquable ces dernières années. Mieux encore, les ménages sont bien approvisionnés en cette saison en eau potable suite à l'équipement et à l'extension des capacités de stockage de cette substance vitale au niveau de deux nouvelles stations d'alimentation en eau. Alors que les instances locales s'affairent à terminer le restant des travaux concernant la réalisation de certaines aires de jeu et infrastructures de détente jugées pour l'heure insuffisantes. A vrai dire le manque de jardins publics, d'aires de jeu et de piscines pénalise cruellement la population de cette commune classée parmi les plus anciennes puisque réalisée en 1863. Mais depuis le mode de vie a connu de profonds changements. Le plus récent en date remonte à la décennie écoulée lors de laquelle les citoyens de cette région ont été la cible des hordes terroristes, aujourd'hui ils font tout pour oublier et reconstruire aussi bien leur vie que leur cadre de vie. Et ils y parviennent, il faut bien le reconnaitre, puisque les choses ont nettement évolué positivement. Pas moins de 37 milliards ont été débloqués pour mener à bien l'urbanisation des vieux quartiers du chef-lieu de la commune de Sidi-Moussa et plus du double de cette somme a été affecté à la réalisation d'infrastructures de base au profit des localités rurales. C'est ainsi que trois sites semi- urbains voient le lancement d'opérations de bitumage et d'extension de nombreux tronçons de routes reliant ces endroits, de moyenne densité démographique, au centre-ville où se trouvent concentrées les administrations publiques, les espaces de commerce de même que les structures sociales et sanitaires. On assiste également, ces jours-ci, à la poursuite de travaux ayant débuté l'an dernier à travers quelques centres semi-urbains, à savoir Ouled Allal et Rais où 17 milliards ont été débloqués pour la réalisation des travaux de réfection de la voirie, cela en plus d'autres importantes enveloppes financières allouées à la rénovation des réseaux d'eau et de gaz au niveau des vieux quartiers de la ville de Sidi-Moussa et sa périphérie. Même si la plupart des opérations sont inscrites aux précédents programmes communaux de développement, soit ceux de 2008 et 2009, la cadence de la réalisation de ces projets de désenclavement semble s'être accélérée ces jours-ci. Pour cause, les responsables locaux se disent sensibles au clavaire vécu par plus de vingt mille habitants de ces sites qui ont longtemps souffert de l'isolement en raison de difficiles accès aux transports et aux commodités de vie essentielles. C'est ainsi que les habitants de Zouaoui et Dehimat, par exemple, s'estiment aujourd'hui satisfaits de l'amélioration de leur cadre de vie après avoir subi, durant des années, toutes sortes de privations, à commencer par l'état des routes qui s'est nettement amélioré après les importantes opérations d'entretien et de bitumage en plusieurs endroits. De même que l'embellissement de l'environnement est nettement visible au niveau des cités urbaines de Bougara et de la CNEP, de même qu'au niveau des nouveaux sites issus de l'expansion urbanistique remarquable ces dernières années. Mieux encore, les ménages sont bien approvisionnés en cette saison en eau potable suite à l'équipement et à l'extension des capacités de stockage de cette substance vitale au niveau de deux nouvelles stations d'alimentation en eau. Alors que les instances locales s'affairent à terminer le restant des travaux concernant la réalisation de certaines aires de jeu et infrastructures de détente jugées pour l'heure insuffisantes. A vrai dire le manque de jardins publics, d'aires de jeu et de piscines pénalise cruellement la population de cette commune classée parmi les plus anciennes puisque réalisée en 1863. Mais depuis le mode de vie a connu de profonds changements. Le plus récent en date remonte à la décennie écoulée lors de laquelle les citoyens de cette région ont été la cible des hordes terroristes, aujourd'hui ils font tout pour oublier et reconstruire aussi bien leur vie que leur cadre de vie. Et ils y parviennent, il faut bien le reconnaitre, puisque les choses ont nettement évolué positivement.