Une réunion de concertation, regroupant les cadres du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement avec les organisations patronales relevant du secteur privé, s'est tenue hier à Alger. Le ministre Mohamed Benméradi a ainsi reçu, au siège de son département, la présidente de l'association des femmes chefs d'entreprise (Seve), Yasmina Taya, le présidente de la Confédération algérienne du patronat (Cap), Boualem Mrakech, président de la Confédération générale des opérateurs algériens (CGOA), Habib Yousfi et d'autres collaborateurs. Selon un communiqué dudit ministère, rendu public hier, la réunion s'est tenue dans le cadre de la concertation avec les représentants du secteur privé, une concertation que le ministre a qualifié de «permanente». Ce dernier a affirmé sa disponibilité à recevoir les idées et les propositions des représentants des entreprises privées dont le rôle croît indubitablement dans la conduite de l'économie nationale, tant elles sont porteuses de production et de productivité. «Les entreprises privées constituent un moteur de croissance et de création de richesse», précise-t-on de même source. A ce propos, le ministre a tenu à souligné l'importance que l'Etat accorde au développement de ces entreprises, à travers la décision de consacrer 360 millions de dinars rien qu'à leur mise à niveau, afin de renforcer leurs capacités et améliorer leur compétitivité. D'autre part, M. Benmeradi a indiqué, précise la missive, que l'industrie nationale gagnerait à voir se concrétiser un vrai partenariat entre les entreprises privées et publiques, qui se traduira par la création d'une synergie à même de contribuer à valoriser et optimiser les capacités dans les secteurs porteurs de croissances. De leur côté, les présidents des organisations patronales ont fait part de leurs préoccupations quant à la persistance de certains «goulots d'étranglements», notamment, dans la mise en œuvre des programmes de mise à niveau des entreprises et à son financement. En outre, ces représentants du secteur privé se sont félicité de la décision prise pour l'application de la préférence nationale dans l'attribution des marchés publics. Une réunion de concertation, regroupant les cadres du ministère de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement avec les organisations patronales relevant du secteur privé, s'est tenue hier à Alger. Le ministre Mohamed Benméradi a ainsi reçu, au siège de son département, la présidente de l'association des femmes chefs d'entreprise (Seve), Yasmina Taya, le présidente de la Confédération algérienne du patronat (Cap), Boualem Mrakech, président de la Confédération générale des opérateurs algériens (CGOA), Habib Yousfi et d'autres collaborateurs. Selon un communiqué dudit ministère, rendu public hier, la réunion s'est tenue dans le cadre de la concertation avec les représentants du secteur privé, une concertation que le ministre a qualifié de «permanente». Ce dernier a affirmé sa disponibilité à recevoir les idées et les propositions des représentants des entreprises privées dont le rôle croît indubitablement dans la conduite de l'économie nationale, tant elles sont porteuses de production et de productivité. «Les entreprises privées constituent un moteur de croissance et de création de richesse», précise-t-on de même source. A ce propos, le ministre a tenu à souligné l'importance que l'Etat accorde au développement de ces entreprises, à travers la décision de consacrer 360 millions de dinars rien qu'à leur mise à niveau, afin de renforcer leurs capacités et améliorer leur compétitivité. D'autre part, M. Benmeradi a indiqué, précise la missive, que l'industrie nationale gagnerait à voir se concrétiser un vrai partenariat entre les entreprises privées et publiques, qui se traduira par la création d'une synergie à même de contribuer à valoriser et optimiser les capacités dans les secteurs porteurs de croissances. De leur côté, les présidents des organisations patronales ont fait part de leurs préoccupations quant à la persistance de certains «goulots d'étranglements», notamment, dans la mise en œuvre des programmes de mise à niveau des entreprises et à son financement. En outre, ces représentants du secteur privé se sont félicité de la décision prise pour l'application de la préférence nationale dans l'attribution des marchés publics.