Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, estime que la gestion interne de l'entreprise nationale des hydrocarbures, Sonatrach, doit désormais obéir à de rigoureux critères de stricte stabilité, notamment après les scandales ayant secoué cette entreprise classée parmi les meilleures au niveau africain. Il a affirmé, affirmé à l'APN, selon l'APS, que «le contrôle interne du groupe Sonatrach a été renforcé et se poursuit dans la rigueur et la stabilité. Et par conséquent, nous sommes en train de renforcer les mesures de contrôle interne au niveau de Sonatrach dans la détermination et l'assurance totale». Il a également indiqué que «la stratégie du secteur de l'énergie a toujours été la même. Elle est axée autour du renforcement du potentiel énergétique du pays, de l'association de toutes les sources de l'énergie pour approvisionner le pays et la gestion des ressources avec rationalité» en précisant que «le renforcement du secteur nucléaire, notamment, en matière d'électricité font partie aussi des axes prioritaires de la politique énergétique du pays». Le ministre a, par ailleurs, souligné que «la volonté de son département est ferme pour impliquer davantage l'appareil productif national dans l'industrie énergétique du pays». Ainsi, il ajouté que «l'essentiel consiste à insister davantage sur la nécessité de fabriquer en Algérie un certain nombre de composantes et d'équipements dont on a besoin dans l'industrie pétrolière et gazière en Algérie». Concernant les activités de Sonatrach à l'étranger, Yousfi a dit que «nous sommes actuellement en train d'étudier toutes les possibilités (liées aux activités à l'international du groupe) en fonction des intérêts de l'entreprise et du pays» faisant allusion au peu probable retrait des investissements de la Mauritanie. A propos du méga-projet d'énergie solaire multinational (Desertec), initié par un nombre de sociétés européennes, le ministre a relevé que « l'Algérie comptait réaliser un projet plus important où elle va faire plus et compte réaliser une nouvelle ville dont l'électricité est entièrement solaire», a-t-il déclaré sans vouloir fournir plus de détails sur le projet. Abordant l'épineux sujet de la tarification de l'électricité, il a déclaré que «toute décision inhérente à ce dossier revient au gouvernement tout en reconnaissant la nécessité de l'amélioration de la qualité de service de Sonelgaz par le perfectionnement des ressources humaines et la mobilisation de moyens financiers conséquents». Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, estime que la gestion interne de l'entreprise nationale des hydrocarbures, Sonatrach, doit désormais obéir à de rigoureux critères de stricte stabilité, notamment après les scandales ayant secoué cette entreprise classée parmi les meilleures au niveau africain. Il a affirmé, affirmé à l'APN, selon l'APS, que «le contrôle interne du groupe Sonatrach a été renforcé et se poursuit dans la rigueur et la stabilité. Et par conséquent, nous sommes en train de renforcer les mesures de contrôle interne au niveau de Sonatrach dans la détermination et l'assurance totale». Il a également indiqué que «la stratégie du secteur de l'énergie a toujours été la même. Elle est axée autour du renforcement du potentiel énergétique du pays, de l'association de toutes les sources de l'énergie pour approvisionner le pays et la gestion des ressources avec rationalité» en précisant que «le renforcement du secteur nucléaire, notamment, en matière d'électricité font partie aussi des axes prioritaires de la politique énergétique du pays». Le ministre a, par ailleurs, souligné que «la volonté de son département est ferme pour impliquer davantage l'appareil productif national dans l'industrie énergétique du pays». Ainsi, il ajouté que «l'essentiel consiste à insister davantage sur la nécessité de fabriquer en Algérie un certain nombre de composantes et d'équipements dont on a besoin dans l'industrie pétrolière et gazière en Algérie». Concernant les activités de Sonatrach à l'étranger, Yousfi a dit que «nous sommes actuellement en train d'étudier toutes les possibilités (liées aux activités à l'international du groupe) en fonction des intérêts de l'entreprise et du pays» faisant allusion au peu probable retrait des investissements de la Mauritanie. A propos du méga-projet d'énergie solaire multinational (Desertec), initié par un nombre de sociétés européennes, le ministre a relevé que « l'Algérie comptait réaliser un projet plus important où elle va faire plus et compte réaliser une nouvelle ville dont l'électricité est entièrement solaire», a-t-il déclaré sans vouloir fournir plus de détails sur le projet. Abordant l'épineux sujet de la tarification de l'électricité, il a déclaré que «toute décision inhérente à ce dossier revient au gouvernement tout en reconnaissant la nécessité de l'amélioration de la qualité de service de Sonelgaz par le perfectionnement des ressources humaines et la mobilisation de moyens financiers conséquents».