Les employés font tant bien que mal leur travail, stressés jusqu'au bout par les remarques trop souvent impertinentes des uns et des autres mais ne réagissent que rarement aux provocations très virulentes de certaines personnes. Les agents encaissent et les citoyens prennent plaisir à ce jeu. Les employés font tant bien que mal leur travail, stressés jusqu'au bout par les remarques trop souvent impertinentes des uns et des autres mais ne réagissent que rarement aux provocations très virulentes de certaines personnes. Les agents encaissent et les citoyens prennent plaisir à ce jeu. Les bureaux de l'état civil, rentrées scolaire et universitaire obligent, ne désemplissent pas. Des personnes de tous âges qui pour un extrait de naissance, qui pour une fiche familiale ou individuelle, qui pour une légalisation de signature assaillent les locaux bien avant l'ouverture des grilles. Aussitôt les portes ouvertes, c'est la ruée vers les guichets et alors commencent les bousculades, les piétinements et autres chamailleries, chacun voulant passer en premier. Les employés font tant bien que mal leur travail, stressés jusqu'au bout par les remarques trop souvent impertinentes des uns et des autres mais ne réagissent que rarement aux provocations très virulentes de certains énergumènes. De temps à autre sont enregistrés des prises de bec entre deux ou plusieurs citoyens, entre agents et citoyens. On en voit et on entend de toutes les couleurs devant la passivité des présents sans que personne trouve à redire, l'habitude des coups de gueule est devenue une coutume dans toutes les mairies du pays et chacun prend plaisir aux spectacles gratuits qui s'y déroulent. Les agents encaissent et les citoyens prennent plaisir à ce jeu. Des agents, ne pouvant résister aux provocations, quittent les lieux du travail, vont se rafraîchir les idées ailleurs et reviennent plus tard terminer leur travail, entre temps celui qui les aura fait sortir de leurs gonds aura été satisfait par un autre employé plus calme et plus serein. Ce qu'il y a s'extraordinaire, c'est que malgré toutes les offenses et toutes les brimades, tout s'achève dans la joie, tous se pardonnent. Un grand coup de chapeau à ces agents de bureau qui font un travail gigantesque et stressant en cette saison de chaleur surtout dans ces mairies ne disposant ni de climatiseur ni de ventilateur et qui travaillent tout en sueur. Les bureaux de l'état civil, rentrées scolaire et universitaire obligent, ne désemplissent pas. Des personnes de tous âges qui pour un extrait de naissance, qui pour une fiche familiale ou individuelle, qui pour une légalisation de signature assaillent les locaux bien avant l'ouverture des grilles. Aussitôt les portes ouvertes, c'est la ruée vers les guichets et alors commencent les bousculades, les piétinements et autres chamailleries, chacun voulant passer en premier. Les employés font tant bien que mal leur travail, stressés jusqu'au bout par les remarques trop souvent impertinentes des uns et des autres mais ne réagissent que rarement aux provocations très virulentes de certains énergumènes. De temps à autre sont enregistrés des prises de bec entre deux ou plusieurs citoyens, entre agents et citoyens. On en voit et on entend de toutes les couleurs devant la passivité des présents sans que personne trouve à redire, l'habitude des coups de gueule est devenue une coutume dans toutes les mairies du pays et chacun prend plaisir aux spectacles gratuits qui s'y déroulent. Les agents encaissent et les citoyens prennent plaisir à ce jeu. Des agents, ne pouvant résister aux provocations, quittent les lieux du travail, vont se rafraîchir les idées ailleurs et reviennent plus tard terminer leur travail, entre temps celui qui les aura fait sortir de leurs gonds aura été satisfait par un autre employé plus calme et plus serein. Ce qu'il y a s'extraordinaire, c'est que malgré toutes les offenses et toutes les brimades, tout s'achève dans la joie, tous se pardonnent. Un grand coup de chapeau à ces agents de bureau qui font un travail gigantesque et stressant en cette saison de chaleur surtout dans ces mairies ne disposant ni de climatiseur ni de ventilateur et qui travaillent tout en sueur.