Mohamed Allaoua a confirmé, dans la soirée de mercredi dernier, qu'il est le numéro 1 de la chanson kabyle. Mohamed Allaoua a confirmé, dans la soirée de mercredi dernier, qu'il est le numéro 1 de la chanson kabyle. En tout cas le dispositif sécuritaire mis en place aux alentours de la maison de la culture de Tizi-Ouzou était impressionnant. Sans ce dispositif, il aurait été impossible de gérer l'afflux des jeunes fans de Allaoua qui se sont rués vers cet établissement culturel afin d'assister au spectacle. On déplorera une fois de plus qu'une ville comme Tizi-Ouzou n'a pas de salle apte à abriter le spectacle du chanteur le plus populaire de la région. Le stade Oukil-Ramdane ou celui du 1er-Novembre auraient été mieux indiqués pour l'organisation d'un tel spectacle. Mais pour ce faire, il aurait fallu mobiliser bien plus de moyens. En tout état de cause, un spectacle de Mohamed Allaoua dans un stade de Tizi-Ouzou devrait être envisagé dans les meilleurs délais afin de mettre un terme à la frustration des fans de Allaoua qui n'ont pas pu accéder à la salle de la maison de la culture de Tizi-Ouzou mercredi passé. A l'intérieur de la salle, le public étouffait car, en plus du fait que la salle est allée au-delà de ses capacités, la climatisation avait fait défaut. Malgré tous ces désagréments, Mohamed Allaoua a réussi à tout faire oublier à son public, dont la majorité était constitué de familles. Il y avait en tout cas plus de femmes que d'hommes. C'est dire que le public de Mohamed Allaoua est constitué en majorité de la gent féminine. La preuve étant que lorsque l'artiste invite l'assistance à reprendre en chœur certains couplets, c'était les voix féminines qui dominaient. Le public n'a pas cessé de réclamer les plus belles chansons de leur idole, principalement Lhub iw amezwaru et Assed ar ghuri. Mohamed Allaoua est resté à l'écoute des sollicitations de son public. Il a satisfait toutes leurs demandes. Quand le chanteur s'est mis à interpréter la chanson A baba Cheikh, dédiée à la Jeunesse Sportive de Kabylie, la salle s'est de nouveau enflammée. La piste de danse de la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri n'a pas suffi à contenir toutes les personnes qui voulaient s'éclater. Il aurait fallu occuper l'ensemble des passages. pratiquement tous les présents étaient debouts pour s'adonner à la danse, car devant les chansons de Allaoua, il est difficile de rester de marbre. Devant une pareille ambiance , les participants au Festival arabo-africain de danse folklorique ne pouvaient pas non plus ne pas mouiller le maillot. C'est ainsi que deux d'entre eux, invités de pays africains ont pris part à la transe collective en s'invitant carrément sur scène. Mahamed Allaoua n'a pas pu se retenir de démonter, l'espace de quelques minutes, ses talents d'excellent danseur. Le trio offrait une image de joie extrêmement belle. On doute qu'il y est un deuxième artiste puisse ainsi rééussir à mettre «le feu aux poudres » comme le fait avec un rare talent Mohamed Allaoua. A la fin de la première partie, ce dernier se retirera pour cinq minutes de repos. Il est remplacé par Brahim Medani qui a, lui ausi, livré sa part de bonheur au public. Le retour de Mohamed Allaoua fut aussi triomphal que son entrée sur scène. Son entrée sur scène fut tonitruante. Acclamations et youyous ont agrémenté un spectacle qui devrait impérativement être reprogrammé dans un endroit plus spacieux car, désormais, Mohamed Allaoua ne peut plus chanter dans une salle de 800 places. En tout cas le dispositif sécuritaire mis en place aux alentours de la maison de la culture de Tizi-Ouzou était impressionnant. Sans ce dispositif, il aurait été impossible de gérer l'afflux des jeunes fans de Allaoua qui se sont rués vers cet établissement culturel afin d'assister au spectacle. On déplorera une fois de plus qu'une ville comme Tizi-Ouzou n'a pas de salle apte à abriter le spectacle du chanteur le plus populaire de la région. Le stade Oukil-Ramdane ou celui du 1er-Novembre auraient été mieux indiqués pour l'organisation d'un tel spectacle. Mais pour ce faire, il aurait fallu mobiliser bien plus de moyens. En tout état de cause, un spectacle de Mohamed Allaoua dans un stade de Tizi-Ouzou devrait être envisagé dans les meilleurs délais afin de mettre un terme à la frustration des fans de Allaoua qui n'ont pas pu accéder à la salle de la maison de la culture de Tizi-Ouzou mercredi passé. A l'intérieur de la salle, le public étouffait car, en plus du fait que la salle est allée au-delà de ses capacités, la climatisation avait fait défaut. Malgré tous ces désagréments, Mohamed Allaoua a réussi à tout faire oublier à son public, dont la majorité était constitué de familles. Il y avait en tout cas plus de femmes que d'hommes. C'est dire que le public de Mohamed Allaoua est constitué en majorité de la gent féminine. La preuve étant que lorsque l'artiste invite l'assistance à reprendre en chœur certains couplets, c'était les voix féminines qui dominaient. Le public n'a pas cessé de réclamer les plus belles chansons de leur idole, principalement Lhub iw amezwaru et Assed ar ghuri. Mohamed Allaoua est resté à l'écoute des sollicitations de son public. Il a satisfait toutes leurs demandes. Quand le chanteur s'est mis à interpréter la chanson A baba Cheikh, dédiée à la Jeunesse Sportive de Kabylie, la salle s'est de nouveau enflammée. La piste de danse de la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri n'a pas suffi à contenir toutes les personnes qui voulaient s'éclater. Il aurait fallu occuper l'ensemble des passages. pratiquement tous les présents étaient debouts pour s'adonner à la danse, car devant les chansons de Allaoua, il est difficile de rester de marbre. Devant une pareille ambiance , les participants au Festival arabo-africain de danse folklorique ne pouvaient pas non plus ne pas mouiller le maillot. C'est ainsi que deux d'entre eux, invités de pays africains ont pris part à la transe collective en s'invitant carrément sur scène. Mahamed Allaoua n'a pas pu se retenir de démonter, l'espace de quelques minutes, ses talents d'excellent danseur. Le trio offrait une image de joie extrêmement belle. On doute qu'il y est un deuxième artiste puisse ainsi rééussir à mettre «le feu aux poudres » comme le fait avec un rare talent Mohamed Allaoua. A la fin de la première partie, ce dernier se retirera pour cinq minutes de repos. Il est remplacé par Brahim Medani qui a, lui ausi, livré sa part de bonheur au public. Le retour de Mohamed Allaoua fut aussi triomphal que son entrée sur scène. Son entrée sur scène fut tonitruante. Acclamations et youyous ont agrémenté un spectacle qui devrait impérativement être reprogrammé dans un endroit plus spacieux car, désormais, Mohamed Allaoua ne peut plus chanter dans une salle de 800 places.