Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a exprimé hier, lors de son intervention au 23e sommet du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de la mise en œuvre du NEPAD à Kampala (Ouganda), la satisfaction de l'Algérie pour les progrès réalisés dans la mise en place d'une agence de planification et de coordination du NEPAD. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a exprimé hier, lors de son intervention au 23e sommet du Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de la mise en œuvre du NEPAD à Kampala (Ouganda), la satisfaction de l'Algérie pour les progrès réalisés dans la mise en place d'une agence de planification et de coordination du NEPAD. Pour le chef de l'Etat, « il s'agit de la mise en place d'une agence opérationnelle disposant des outils et capacités nécessaires pour faciliter la mise en œuvre et le suivi de projets d'intégration régional et continental », soulignant « l'importance qui s'attache au renforcement des relations étroites de coordination entre l'agence du NEPAD et les communautés économiques régionales qui constituent le moteur d'intégration ». Abordant l'évaluation du partenariat, le Président Bouteflika a indiqué que cette question devait demeurer une "préoccupation prioritaire" pour les instances africaines et, en particulier, pour l'agence du NEPAD. Il relève que l'évaluation du partenariat permettra de réunir les éléments à même de nourrir un dialogue substantiel avec les pays développés sur l'évolution nécessaire des mécanismes et du contenu de la coopération internationale dans une économie globalisée, affirmant la nécessité de « continuer à défendre en tous lieux et moments la vision que nous avons de l'aide au développement que nous voulons non seulement accrue en volume, mais également repensée de manière à la rendre plus visible, plus efficace et surtout orientée effectivement vers les priorités définies par le Nepad ». Il réitère, dans ce cadre, l'importance qui s'attache à la poursuite des efforts pour assurer une participation équitable de l'Afrique à la gouvernance mondiale, y compris une plus grande représentation dans la composante du G20. Les travaux de cette 23e session du NEPAD qui ont également porté sur l'évaluation des résultats acquis dans le cadre de la participation africaine aux travaux du segment Afrique du G8 de Muskoka (Canada) ainsi qu'aux délibérations du G8, les 25 et 26 juin dernier au Canada ont permis au chef de l'Etat de relever l'importance du processus d'évaluation de part et d'autres des engagements souscrits dans le cadre du partenariat liant ces ensembles. Au sujet des infrastructures régionales et continentales, le Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de l'orientation du NEPAD a désigné l'Algérie en tant que membre du Programme d'action africain 2010-2015, de donner une impulsion à la réalisation et au suivi des grands projets d'infrastructures de portées régionale et continentale. Dans cet ordre d'idées le Président Bouteflika a présenté, dans son intervention, les grandes lignes du programme massif d'investissement lancé il y a dix ans, et les objectifs recherchés à travers ce programme, soulignant la dimension d'intégration régionale des projets nationaux d'infrastructures lancés dans les domaines des transports de l'énergie et des technologies de l'information et de la communication. Pour Bouteflika, « au-delà de leur mission nationale, les grands projets engagés par mon pays dans le cadre de ses divers plans de développement sont, de par leur envergure, des facteurs favorisant l'intégration régionale et continentale ». Selon lui, ces projets sont « de nature à traduire pleinement la vocation de l'Algérie en tant que trait d'union et carrefour de rencontres et d'échanges entre l'Afrique, la Méditerranée, le Monde arabe et le vaste espace musulman », du fait, dit-il que ces projets prennent en compte le souci de « contribuer substantiellement à l'édification d'un grand pôle de croissance à la mesure de l'ambition légitime de l'Afrique à surmonter la marginalisation dans laquelle elle est depuis trop longtemps confinée dans l'économie mondiale », citant, dans ce cadre, certains grands projets intégrants notamment l'autoroute Est-Ouest, les interconnexions du réseau électrique avec la Tunisie et le Maroc, la route transsaharienne Alger-Lagos ainsi que le projet de gazoduc Nigeria-Algérie qui sera doublé d'une liaison par fibre optique. Pour le chef de l'Etat, « il s'agit de la mise en place d'une agence opérationnelle disposant des outils et capacités nécessaires pour faciliter la mise en œuvre et le suivi de projets d'intégration régional et continental », soulignant « l'importance qui s'attache au renforcement des relations étroites de coordination entre l'agence du NEPAD et les communautés économiques régionales qui constituent le moteur d'intégration ». Abordant l'évaluation du partenariat, le Président Bouteflika a indiqué que cette question devait demeurer une "préoccupation prioritaire" pour les instances africaines et, en particulier, pour l'agence du NEPAD. Il relève que l'évaluation du partenariat permettra de réunir les éléments à même de nourrir un dialogue substantiel avec les pays développés sur l'évolution nécessaire des mécanismes et du contenu de la coopération internationale dans une économie globalisée, affirmant la nécessité de « continuer à défendre en tous lieux et moments la vision que nous avons de l'aide au développement que nous voulons non seulement accrue en volume, mais également repensée de manière à la rendre plus visible, plus efficace et surtout orientée effectivement vers les priorités définies par le Nepad ». Il réitère, dans ce cadre, l'importance qui s'attache à la poursuite des efforts pour assurer une participation équitable de l'Afrique à la gouvernance mondiale, y compris une plus grande représentation dans la composante du G20. Les travaux de cette 23e session du NEPAD qui ont également porté sur l'évaluation des résultats acquis dans le cadre de la participation africaine aux travaux du segment Afrique du G8 de Muskoka (Canada) ainsi qu'aux délibérations du G8, les 25 et 26 juin dernier au Canada ont permis au chef de l'Etat de relever l'importance du processus d'évaluation de part et d'autres des engagements souscrits dans le cadre du partenariat liant ces ensembles. Au sujet des infrastructures régionales et continentales, le Comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de l'orientation du NEPAD a désigné l'Algérie en tant que membre du Programme d'action africain 2010-2015, de donner une impulsion à la réalisation et au suivi des grands projets d'infrastructures de portées régionale et continentale. Dans cet ordre d'idées le Président Bouteflika a présenté, dans son intervention, les grandes lignes du programme massif d'investissement lancé il y a dix ans, et les objectifs recherchés à travers ce programme, soulignant la dimension d'intégration régionale des projets nationaux d'infrastructures lancés dans les domaines des transports de l'énergie et des technologies de l'information et de la communication. Pour Bouteflika, « au-delà de leur mission nationale, les grands projets engagés par mon pays dans le cadre de ses divers plans de développement sont, de par leur envergure, des facteurs favorisant l'intégration régionale et continentale ». Selon lui, ces projets sont « de nature à traduire pleinement la vocation de l'Algérie en tant que trait d'union et carrefour de rencontres et d'échanges entre l'Afrique, la Méditerranée, le Monde arabe et le vaste espace musulman », du fait, dit-il que ces projets prennent en compte le souci de « contribuer substantiellement à l'édification d'un grand pôle de croissance à la mesure de l'ambition légitime de l'Afrique à surmonter la marginalisation dans laquelle elle est depuis trop longtemps confinée dans l'économie mondiale », citant, dans ce cadre, certains grands projets intégrants notamment l'autoroute Est-Ouest, les interconnexions du réseau électrique avec la Tunisie et le Maroc, la route transsaharienne Alger-Lagos ainsi que le projet de gazoduc Nigeria-Algérie qui sera doublé d'une liaison par fibre optique.