Les ménages des communes de Jijel, Taher et El Milia, pour ne citer que celles-ci, sont surpris de voir l'eau couler dans les robinets une fois tous les deux, et parfois même trois jours, et cela, bien entendu, sans aucun préavis. Les ménages des communes de Jijel, Taher et El Milia, pour ne citer que celles-ci, sont surpris de voir l'eau couler dans les robinets une fois tous les deux, et parfois même trois jours, et cela, bien entendu, sans aucun préavis. Les habitants de certaines communes de la wilaya de Jijel font face, depuis quelques semaines, à une restriction dans la distribution de l'eau. En effet, les ménages des communes de Jijel, Taher et El Milia, pour ne citer que celles-ci, sont surpris de voir l'eau couler dans les robinets une fois tous les deux, et parfois même trois jours, et cela, bien sûr, sans aucun préavis. Ce qui n'est pas du tout pour arranger la vie quotidienne des gens, déjà assez compliquée par nombres de problèmes. Cette manière de gérer le volet de la distribution de l'eau a laissé place à des questionnements sur les raisons exactes de ce verrouillage des vannes en pleine saison estivale, surtout après les quantités importantes de pluie tombées ces derniers mois, qui devaient normalement avoir des retombées bénéfiques sur les populations. Il faut dire que la population s'attendait à une rallonge de la plage horaire de la distribution de l'eau durant cette période, synonyme de grande chaleur et durant laquelle la consommation augmente de facto, et c'est plutôt tout le contraire qui s'est passé dans la wilaya de Jijel, une région réputée pour être un "réservoir hydrique du pays" avec une moyenne annuelle de précipitation de 1.000 mm. Alors que les habitants des cités se trouvant sur les hauteurs de la ville de Jijel sont alimentés un jour sur deux, dans la commune d'El Milia, les souffrances endurées par les ménages, ne datant pas d'aujourd'hui, se sont accentuées ces derniers temps, nous assure un citoyen de la ville. Une corvée qui a obligé les habitants de certaines cités, jerricans à la main, à faire du porte à porte pour décrocher quelques litres du précieux liquide. A ses dires, l'ensemble du chef lieu de commune d'El Milia souffre amplement d'un manque en eau potable et les dernières mesures prises en catimini par les services de l'ADE n'ont fait qu'accentuer un peu plus la crise. Il convient de rappeler, que les capacités de stockage de la wilaya de Jijel sont appelées à augmenter à l'avenir, une fois les trois barrages (Kissir, Tabellout et Boussiaba) mis en service pour disposer de 550 millions de mètres cubes. En attendant la réception de ces projets, qui espérons-le arriveront un jour à étancher la soif des ménages, ces derniers doivent prendre encore leur mal en patience. Les habitants de certaines communes de la wilaya de Jijel font face, depuis quelques semaines, à une restriction dans la distribution de l'eau. En effet, les ménages des communes de Jijel, Taher et El Milia, pour ne citer que celles-ci, sont surpris de voir l'eau couler dans les robinets une fois tous les deux, et parfois même trois jours, et cela, bien sûr, sans aucun préavis. Ce qui n'est pas du tout pour arranger la vie quotidienne des gens, déjà assez compliquée par nombres de problèmes. Cette manière de gérer le volet de la distribution de l'eau a laissé place à des questionnements sur les raisons exactes de ce verrouillage des vannes en pleine saison estivale, surtout après les quantités importantes de pluie tombées ces derniers mois, qui devaient normalement avoir des retombées bénéfiques sur les populations. Il faut dire que la population s'attendait à une rallonge de la plage horaire de la distribution de l'eau durant cette période, synonyme de grande chaleur et durant laquelle la consommation augmente de facto, et c'est plutôt tout le contraire qui s'est passé dans la wilaya de Jijel, une région réputée pour être un "réservoir hydrique du pays" avec une moyenne annuelle de précipitation de 1.000 mm. Alors que les habitants des cités se trouvant sur les hauteurs de la ville de Jijel sont alimentés un jour sur deux, dans la commune d'El Milia, les souffrances endurées par les ménages, ne datant pas d'aujourd'hui, se sont accentuées ces derniers temps, nous assure un citoyen de la ville. Une corvée qui a obligé les habitants de certaines cités, jerricans à la main, à faire du porte à porte pour décrocher quelques litres du précieux liquide. A ses dires, l'ensemble du chef lieu de commune d'El Milia souffre amplement d'un manque en eau potable et les dernières mesures prises en catimini par les services de l'ADE n'ont fait qu'accentuer un peu plus la crise. Il convient de rappeler, que les capacités de stockage de la wilaya de Jijel sont appelées à augmenter à l'avenir, une fois les trois barrages (Kissir, Tabellout et Boussiaba) mis en service pour disposer de 550 millions de mètres cubes. En attendant la réception de ces projets, qui espérons-le arriveront un jour à étancher la soif des ménages, ces derniers doivent prendre encore leur mal en patience.