Le mythique théâtre romain de Djemila a vécu mercredi soir au rythme d'une extraordinaire joie qui l'a transformé en un véritable "sanctuaire sacré" de la chanson algérienne. Durant cette septième soirée du festival arabe de Djemila, les étoiles n'étaient pas accrochées au ciel, mais plutôt en mouvement sur la scène de ce théâtre romain où s'est produit un "arsenal" de chanteurs algériens. Du Rai jusqu'au staifi en passant par le style sahraoui et algérois, les chanteurs qui se sont succédé sur scène ont ébloui les quelques 6.000 spectateurs venus spécialement pour apprécier cheb Yazid et adorer la mélodie sétifienne sortie de la bouche du célèbre cheb Arras. Quand cheb Bilel est monté sur scène, le théâtre entier fut prisé par un étourdissement digne de l'euphorie. Lorsque Bilel s'est mis à interpréter ses chansons cultes "Li fort, fort et 1 milliard entre autres" le pire était à craindre : Le public, grands comme petits et femmes comme hommes ont réagi avec une impressionnante ferveur en répétant avec lui toutes ses chansons quÆil connaisse par cúur. Les romances mélodieuses de ce "baroudeur" à l'allure timide qui sait comment mettre les mots sur les maux, ont tout simplement émerveillé le public de Djemila. L'autre Star algérienne de cette 7eme soirée du festival arabe de Djemila est incontestablement Hakim Salhi. Au look craquant et irrésistible et à la voix rocailleuse, ce chanteur algérien n'a pas cessé durant toute cette soirée de conjuguer son verbe dans sa musique pour subjuguer tous ses fans. " Ouverture du Festival de la musique et de la chanson oranaises La 3e édition du Festival de la musique et de la chanson oranaises s'est ouverte jeudi soir au Théâtre de verdure "Chekroun-Hasni" d'Oran. La cérémonie inaugurale, tenue en présence du représentant du ministère de la Culture, M. Noureddine Larjam, a été marquée par la prestation de la chorale du Festival, dont la composition originale est signée Blaoui El-Houari, maître de la chanson oranaise. Le public a été d'emblée séduit par les qualités vocales de ce groupe qui s'est produit sous la direction du chef d'orchestre Rahou Boutlélis. L'assistance a vibré ensuite au rythme de la danse folklorique du genre Alaoui, exécutée par une troupe de Aïn Témouchent qui a donné le ton à cette manifestation dans une ambiance conviviale et multicolore. Les mélomanes ont également apprécié les déclamations poétiques du comédien Blaha qui a récité avec verve et emphase plusieurs extraits du riche patrimoine oral. Cette soirée a vu en outre la montée sur scène d'une palette d'artistes à l'instar de Negadi Kouider et Hebri Soltane qui ont repris diverses chansons et qacidates du patrimoine culturel local. Ce plateau artistique a été également enrichi par la participation de stars de la chanson oranaise à l'image des Houari Benchenet, Abdelkader Khaldi, Houria Baba et Cheb Kadirou. Cette manifestation qui se poursuivra jusqu'au 3 août prochain est dédiée à deux grandes figures de la chanson oranaise, Hadjira Bali et Saïm El-Hadj, a indiqué la commissaire du Festival, Mme Rabéa Moussaoui. APS Le mythique théâtre romain de Djemila a vécu mercredi soir au rythme d'une extraordinaire joie qui l'a transformé en un véritable "sanctuaire sacré" de la chanson algérienne. Durant cette septième soirée du festival arabe de Djemila, les étoiles n'étaient pas accrochées au ciel, mais plutôt en mouvement sur la scène de ce théâtre romain où s'est produit un "arsenal" de chanteurs algériens. Du Rai jusqu'au staifi en passant par le style sahraoui et algérois, les chanteurs qui se sont succédé sur scène ont ébloui les quelques 6.000 spectateurs venus spécialement pour apprécier cheb Yazid et adorer la mélodie sétifienne sortie de la bouche du célèbre cheb Arras. Quand cheb Bilel est monté sur scène, le théâtre entier fut prisé par un étourdissement digne de l'euphorie. Lorsque Bilel s'est mis à interpréter ses chansons cultes "Li fort, fort et 1 milliard entre autres" le pire était à craindre : Le public, grands comme petits et femmes comme hommes ont réagi avec une impressionnante ferveur en répétant avec lui toutes ses chansons quÆil connaisse par cúur. Les romances mélodieuses de ce "baroudeur" à l'allure timide qui sait comment mettre les mots sur les maux, ont tout simplement émerveillé le public de Djemila. L'autre Star algérienne de cette 7eme soirée du festival arabe de Djemila est incontestablement Hakim Salhi. Au look craquant et irrésistible et à la voix rocailleuse, ce chanteur algérien n'a pas cessé durant toute cette soirée de conjuguer son verbe dans sa musique pour subjuguer tous ses fans. " Ouverture du Festival de la musique et de la chanson oranaises La 3e édition du Festival de la musique et de la chanson oranaises s'est ouverte jeudi soir au Théâtre de verdure "Chekroun-Hasni" d'Oran. La cérémonie inaugurale, tenue en présence du représentant du ministère de la Culture, M. Noureddine Larjam, a été marquée par la prestation de la chorale du Festival, dont la composition originale est signée Blaoui El-Houari, maître de la chanson oranaise. Le public a été d'emblée séduit par les qualités vocales de ce groupe qui s'est produit sous la direction du chef d'orchestre Rahou Boutlélis. L'assistance a vibré ensuite au rythme de la danse folklorique du genre Alaoui, exécutée par une troupe de Aïn Témouchent qui a donné le ton à cette manifestation dans une ambiance conviviale et multicolore. Les mélomanes ont également apprécié les déclamations poétiques du comédien Blaha qui a récité avec verve et emphase plusieurs extraits du riche patrimoine oral. Cette soirée a vu en outre la montée sur scène d'une palette d'artistes à l'instar de Negadi Kouider et Hebri Soltane qui ont repris diverses chansons et qacidates du patrimoine culturel local. Ce plateau artistique a été également enrichi par la participation de stars de la chanson oranaise à l'image des Houari Benchenet, Abdelkader Khaldi, Houria Baba et Cheb Kadirou. Cette manifestation qui se poursuivra jusqu'au 3 août prochain est dédiée à deux grandes figures de la chanson oranaise, Hadjira Bali et Saïm El-Hadj, a indiqué la commissaire du Festival, Mme Rabéa Moussaoui. APS