A quelques jours seulement de l'avènement du mois de Ramadhan et donc de facto sonnant la fin des vacances, du moins pour l'écrasante majorité des familles, un important afflux est remarqué, ces derniers jours, en direction du littoral. A quelques jours seulement de l'avènement du mois de Ramadhan et donc de facto sonnant la fin des vacances, du moins pour l'écrasante majorité des familles, un important afflux est remarqué, ces derniers jours, en direction du littoral. En fait les Algérois tiennent à emmagasiner un maximum de soleil et d'air iodé avant de se mettre à courir les marchés, activité favorite durant le mois de Ramadhan, lequel est malheureusement dévié de son sens et sert d'exuses pour assouvir tous les dépassements et gourmandises. Ainsi les plages de sable doré et les criques rocheuses des côtes algéroises s'étalant sur 97 kilomètres, soit de Mazafranà Réghaia, ne recevront plus la nuée de familles, du moins avant la rutture du jeûne. En attendant l'arrivée, dans tous les foyers, de cet invité sacré, les Algérois tentent donc de profiter au maximum de ces journées de farniente au soleil. Cette année les plages n'auront dont pas reçu le nombre habituel d'estivants, après une timide fréquentation des plages algéroises durant la Coupe du monde où les Algérois ont préféré rester face à leurs petits écrans surtout au moment où les Fennecs étaient encore présents dans la compétition. Tout de suite après la fin de la Coupe du monde les plages algéroises ont connu un important rush en devenant la destination favorite des Algérois. L'esprit libéré, les Algérois et après l'élimination de l'équipe nationale ont pu enfin investir les plages algéroises dont l'amélioration de la qualité de l'eau et l'ouvertures de nombreuses autres plages a fortement réjoui. Le renforcement des contrôles de l'eau de mer est parvenu à rassurer les familles traumatisées par la peur d"attraper un microbe ou bactérie cvéhiculés par ces milliers de germes et champignons microscopiques découverts l'an dernier au niveau de plusieurs plages : Kettani, Bab El-Oued, Franco où des dizaines d intoxications ont été enregistrées à cause de la pollution de l'eau qui avait carrément changé de couleur à cause de la forte présence de ces bêtes microscopiques. Rappelons que pour garantir la qualité de l'eau de mer, des analyses des eaux de baignade ont été effectuées au niveau de l'Institut Pasteur suite à des prélèvements réalisés par l'Agence de la protection et de la promotion du littoral (APPL) et l'établissement chargé de l'hygiène urbaine (Hurbal) ainsi que ceux acheminés par les bureaux commupouvant assurer le bien-être des estivants. Il faut toutefois dire que les quatre-vingt-trois plages d'Alger, dont les cinquante-sept autorisées à la baignade cette année, ont beaucoup perdu de leur charme d'antan notamment ces dernières années. Une réalité amère, mais pourtant vraie malgré toutes les mesures prises par les services concernés pour améliorer le service et assurer le bien-être des estivants et des touristes. Même les plages les plus belles d'Alger n'échappent pas à ces dégradations continuelles, Palm Beach, Azur plage, Miramar, Baïnem, Horizon Bleu, Bains Romains, Zéralda et même Sidi Ferdj connaissent une pollution très avancée, envahies qu'elles sont par les décharges et les dépôts chimiques ramenés par les vagues après avoir été déversés par des navires, mais aussi par ces estivants ô combien nombreux, saboteurs de la nature et personnes inciviques qui abandonnent en fin de journée des quantités importantes de débris de toute nature après avoir passer de belles journées et profiter de l'eau et du soleil, notamment en ces derniers jours de vacances qui précédent le mois sacré. Il est à rappeler que la saison estivale, cette année, a vu la réouverture de trois plages alors qu'elles étaient encore interdites à la baignade l'an dernier parce qu'elles étaient en pleins travaux d'aménagement, mais vingt-six autres sont encore interdites à la baignade. Quinze d'entre elles sont classées sur zone rouge à cause de leur importante pollution qui présente un danger véritable sur la santé des citoyens, six autres plages sont, par contre, classées dangereuses à cause de leurs rochers à fleur d'eau alors que cinq plages souffrent d'absence d'accès. En fait les Algérois tiennent à emmagasiner un maximum de soleil et d'air iodé avant de se mettre à courir les marchés, activité favorite durant le mois de Ramadhan, lequel est malheureusement dévié de son sens et sert d'exuses pour assouvir tous les dépassements et gourmandises. Ainsi les plages de sable doré et les criques rocheuses des côtes algéroises s'étalant sur 97 kilomètres, soit de Mazafranà Réghaia, ne recevront plus la nuée de familles, du moins avant la rutture du jeûne. En attendant l'arrivée, dans tous les foyers, de cet invité sacré, les Algérois tentent donc de profiter au maximum de ces journées de farniente au soleil. Cette année les plages n'auront dont pas reçu le nombre habituel d'estivants, après une timide fréquentation des plages algéroises durant la Coupe du monde où les Algérois ont préféré rester face à leurs petits écrans surtout au moment où les Fennecs étaient encore présents dans la compétition. Tout de suite après la fin de la Coupe du monde les plages algéroises ont connu un important rush en devenant la destination favorite des Algérois. L'esprit libéré, les Algérois et après l'élimination de l'équipe nationale ont pu enfin investir les plages algéroises dont l'amélioration de la qualité de l'eau et l'ouvertures de nombreuses autres plages a fortement réjoui. Le renforcement des contrôles de l'eau de mer est parvenu à rassurer les familles traumatisées par la peur d"attraper un microbe ou bactérie cvéhiculés par ces milliers de germes et champignons microscopiques découverts l'an dernier au niveau de plusieurs plages : Kettani, Bab El-Oued, Franco où des dizaines d intoxications ont été enregistrées à cause de la pollution de l'eau qui avait carrément changé de couleur à cause de la forte présence de ces bêtes microscopiques. Rappelons que pour garantir la qualité de l'eau de mer, des analyses des eaux de baignade ont été effectuées au niveau de l'Institut Pasteur suite à des prélèvements réalisés par l'Agence de la protection et de la promotion du littoral (APPL) et l'établissement chargé de l'hygiène urbaine (Hurbal) ainsi que ceux acheminés par les bureaux commupouvant assurer le bien-être des estivants. Il faut toutefois dire que les quatre-vingt-trois plages d'Alger, dont les cinquante-sept autorisées à la baignade cette année, ont beaucoup perdu de leur charme d'antan notamment ces dernières années. Une réalité amère, mais pourtant vraie malgré toutes les mesures prises par les services concernés pour améliorer le service et assurer le bien-être des estivants et des touristes. Même les plages les plus belles d'Alger n'échappent pas à ces dégradations continuelles, Palm Beach, Azur plage, Miramar, Baïnem, Horizon Bleu, Bains Romains, Zéralda et même Sidi Ferdj connaissent une pollution très avancée, envahies qu'elles sont par les décharges et les dépôts chimiques ramenés par les vagues après avoir été déversés par des navires, mais aussi par ces estivants ô combien nombreux, saboteurs de la nature et personnes inciviques qui abandonnent en fin de journée des quantités importantes de débris de toute nature après avoir passer de belles journées et profiter de l'eau et du soleil, notamment en ces derniers jours de vacances qui précédent le mois sacré. Il est à rappeler que la saison estivale, cette année, a vu la réouverture de trois plages alors qu'elles étaient encore interdites à la baignade l'an dernier parce qu'elles étaient en pleins travaux d'aménagement, mais vingt-six autres sont encore interdites à la baignade. Quinze d'entre elles sont classées sur zone rouge à cause de leur importante pollution qui présente un danger véritable sur la santé des citoyens, six autres plages sont, par contre, classées dangereuses à cause de leurs rochers à fleur d'eau alors que cinq plages souffrent d'absence d'accès.