Pour cette année, le ministère de la Solidarité a prévu de distribuer 1.600.000 couffins aux nécessiteux. Selon Said Barkat, ces couffins seront remis à 1.252.690 familles nécessiteuses, à raison d'un couffin par famille. Cependant, les DAS, sur instruction du ministère de la Solidarité, n'écartent pas l'éventualité de distribuer plus d'un couffin pour les familles les plus nécessiteuses. Pour cette année, le ministère de la Solidarité a prévu de distribuer 1.600.000 couffins aux nécessiteux. Selon Said Barkat, ces couffins seront remis à 1.252.690 familles nécessiteuses, à raison d'un couffin par famille. Cependant, les DAS, sur instruction du ministère de la Solidarité, n'écartent pas l'éventualité de distribuer plus d'un couffin pour les familles les plus nécessiteuses. Au ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, c'est presque le branle-bas de combat. A moins de dix jours du début du mois sacré, le cap est résolument mis sur l'opération relative à la distribution du couffin du Ramadhan. Le département ministériel de Said Barkat, qui chapeaute cette importante opération, veut être à la hauteur de cette délicate mission, qui n'est pas, loin s'en faut, une simple sinécure. Ce d'autant que les services de ce ministère qui ont la charge de mener cette opération, à savoir les Directions de l'action sociale (DAS) ont été pris de court cette année et n'ont pu entamer les préparatifs que bien tardivement. En effet, les 48 DAS du pays n'ont pas été informées à temps, apprend-on auprès du département de Said Barkat. Car pour cette année, il était prévu que le ministère de la Solidarité abandonne l'option de la distribution du couffin pour celle de la distribution d'un chèque pour chaque famille nécessiteuse. Mais en dernière minute, cette option, qui devait être une première, a été finalement abandonnée par le gouvernement. Ce dernier, considérant certainement que l'opération n'est pas si simple et n'ayant pas mûri suffisamment le projet, a dû annoncer son report. Et c'est pour cette raison que les DAS, informées sur le tard, ont engagé une véritable course contre la montre pour être fin prêtes. Pour cette année, le ministère de la Solidarité a prévu de distribuer 1.600.000 couffins pour les nécessiteux. Selon les prévisions du département de Said Barkat, ces couffins seront distribués à 1.252.690 familles nécessiteuses, à raison d'un couffin par famille. Cependant, les DAS, sur instruction du ministère de la Solidarité, n'écartent pas l'éventualité de distribuer plus d'un couffin pour les familles les plus nécessiteuses. Cela est possible ce d'autant que nombre de familles nécessiteuses semblent avoir enregistré une baisse sensible par rapport à l'année précédente. En effet, selon les chiffres communiqués par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, cette liste des nécessiteux comprend 121.406 personnes en moins. Pour le ministre de la Solidarité, Said Barkat, «ce résultat est le produit des efforts réunis des directions de l'action sociale (DAS) réparties à travers le territoire national ainsi que des cellules de proximité». Ces couffins, dont la valeur marchande est de l'ordre de 4.000 DA, contiennent, ainsi, des produits alimentaires de base (semoule, farine, sucre, café, riz, et légumes secs). A l'évidence, les bénéficiaires se recruteront exclusivement parmi les familles les plus démunies. C'est dire combien la tâche risque fort bien d'être difficile à gérer. Le ministère a mobilisé une faramineuse enveloppe financière estimée à presque quatre milliards de dinars (3.834.753.500 dinars plus précisément) en vue de financer ces opérations de solidarité. Mais comme chaque année, les craintes d'une gestion approximative de cette délicate opération se font au grand jour. Certains observateurs n'hésitent pas à dire que pour cette année encore, des malversations dans la gestion de la distribution de ce fameux couffin ne manqueront pas d'être signalées çà et là. Il faut dire que cette opération a presque toujours été caractérisée par des détournements et une gestion anarchique. Chaque année, des familles nécessiteuses ont dénoncé cette gestion en se plaignant d'avoir été écartées injustement de l'opération au profit de personnes aisées. La justice s'est saisie effectivement de plusieurs dossiers et d'indélicats fonctionnaires ont eté condamnés pour ces actes que réprouve la morale. Est-il besoin de dire que c'est pour cette raison que le gouvernement a voulu instituer le chèque pour couper l'herbe sous les pieds de ces malhonnêtes. C'est en cela que réside, tout compte fait, le challenge du nouveau ministre de la Solidarité. A. S. Au ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, c'est presque le branle-bas de combat. A moins de dix jours du début du mois sacré, le cap est résolument mis sur l'opération relative à la distribution du couffin du Ramadhan. Le département ministériel de Said Barkat, qui chapeaute cette importante opération, veut être à la hauteur de cette délicate mission, qui n'est pas, loin s'en faut, une simple sinécure. Ce d'autant que les services de ce ministère qui ont la charge de mener cette opération, à savoir les Directions de l'action sociale (DAS) ont été pris de court cette année et n'ont pu entamer les préparatifs que bien tardivement. En effet, les 48 DAS du pays n'ont pas été informées à temps, apprend-on auprès du département de Said Barkat. Car pour cette année, il était prévu que le ministère de la Solidarité abandonne l'option de la distribution du couffin pour celle de la distribution d'un chèque pour chaque famille nécessiteuse. Mais en dernière minute, cette option, qui devait être une première, a été finalement abandonnée par le gouvernement. Ce dernier, considérant certainement que l'opération n'est pas si simple et n'ayant pas mûri suffisamment le projet, a dû annoncer son report. Et c'est pour cette raison que les DAS, informées sur le tard, ont engagé une véritable course contre la montre pour être fin prêtes. Pour cette année, le ministère de la Solidarité a prévu de distribuer 1.600.000 couffins pour les nécessiteux. Selon les prévisions du département de Said Barkat, ces couffins seront distribués à 1.252.690 familles nécessiteuses, à raison d'un couffin par famille. Cependant, les DAS, sur instruction du ministère de la Solidarité, n'écartent pas l'éventualité de distribuer plus d'un couffin pour les familles les plus nécessiteuses. Cela est possible ce d'autant que nombre de familles nécessiteuses semblent avoir enregistré une baisse sensible par rapport à l'année précédente. En effet, selon les chiffres communiqués par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, cette liste des nécessiteux comprend 121.406 personnes en moins. Pour le ministre de la Solidarité, Said Barkat, «ce résultat est le produit des efforts réunis des directions de l'action sociale (DAS) réparties à travers le territoire national ainsi que des cellules de proximité». Ces couffins, dont la valeur marchande est de l'ordre de 4.000 DA, contiennent, ainsi, des produits alimentaires de base (semoule, farine, sucre, café, riz, et légumes secs). A l'évidence, les bénéficiaires se recruteront exclusivement parmi les familles les plus démunies. C'est dire combien la tâche risque fort bien d'être difficile à gérer. Le ministère a mobilisé une faramineuse enveloppe financière estimée à presque quatre milliards de dinars (3.834.753.500 dinars plus précisément) en vue de financer ces opérations de solidarité. Mais comme chaque année, les craintes d'une gestion approximative de cette délicate opération se font au grand jour. Certains observateurs n'hésitent pas à dire que pour cette année encore, des malversations dans la gestion de la distribution de ce fameux couffin ne manqueront pas d'être signalées çà et là. Il faut dire que cette opération a presque toujours été caractérisée par des détournements et une gestion anarchique. Chaque année, des familles nécessiteuses ont dénoncé cette gestion en se plaignant d'avoir été écartées injustement de l'opération au profit de personnes aisées. La justice s'est saisie effectivement de plusieurs dossiers et d'indélicats fonctionnaires ont eté condamnés pour ces actes que réprouve la morale. Est-il besoin de dire que c'est pour cette raison que le gouvernement a voulu instituer le chèque pour couper l'herbe sous les pieds de ces malhonnêtes. C'est en cela que réside, tout compte fait, le challenge du nouveau ministre de la Solidarité. A. S.