Le ministère a délivré, à ce jour, quatorze dérogations sanitaires pour l'importation de viande bovine en provenance de l'Inde dont quatre pour la Sotracov. Mais pour l'ensemble des importations algériennes auprès des pays fournisseurs, les services vétérinaires auront ainsi délivré, depuis le 18 mai dernier, cent trente et une dérogations sanitaires pour les seules viandes rouges à importer (Brésil, Uruguay, Argentine, Nouvelle-Zélande, Allemagne, Danemark...) Le ministère a délivré, à ce jour, quatorze dérogations sanitaires pour l'importation de viande bovine en provenance de l'Inde dont quatre pour la Sotracov. Mais pour l'ensemble des importations algériennes auprès des pays fournisseurs, les services vétérinaires auront ainsi délivré, depuis le 18 mai dernier, cent trente et une dérogations sanitaires pour les seules viandes rouges à importer (Brésil, Uruguay, Argentine, Nouvelle-Zélande, Allemagne, Danemark...) Le premier arrivage de viande rouge en provenance d'Inde répond aux normes de qualité et sanitaires requises, après avoir subi tous les contrôles nécessaires des services vétérinaires et du laboratoire de l'Institut Pasteur d'Algérie a indiqué, samedi, le directeur des services vétérinaires auprès du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Bouguedour. « La première quantité de cette viande, estimée à 260 tonnes, est arrivée au port d'Alger le 18 juillet dernier et a été autorisée à sortir sur le marché le 1er août en cours, après avoir subi tous les contrôles nécessaires », a-t-il précisé. Il s'agit du certificat sanitaire officiel, qui constitue le cahier de charges sanitaire vétérinaire exigé par l'Algérie, accompagné des certificats respectivement d'analyse microbiologique, de qualité et de non radioactivité ainsi que du certificat "halal". Il a souligné, dans ce contexte, qu'une fois arrivée au port, la cargaison subit un contrôle vétérinaire basée sur une démarche triple : le contrôle documentaire, le contrôle physique (de visu de la marchandise) et un prélèvement d'échantillon destiné au laboratoire de contrôle de l'Institut Pasteur. Ainsi, a-t-il expliqué, l'opérateur ne peut mettre sa viande sur le marché s'il n'est pas muni des deux visas nécessaires : le visa vétérinaire et celui de la répression des fraudes. «Les autres cargaisons, y compris celle de l'opérateur public, feront l'objet du même processus de contrôle dès qu'elle seront à quai », a-t-il ajouté. Outre cette quantité (260 tonnes) importée par un opérateur privé et écoulée sur le marché depuis la semaine dernière, la société publique de transformation et de conditionnement des viandes (Sotracov) va, a son tour, engager sa première opération de commercialisation de ce produit au cours de cette semaine pour une quantité de 620 tonnes sur un total de 4 mille tonnes qu'elle compte importer durant tout le mois sacré, a-t-on précisé. Le ministère avait délivré, à ce jour, quatorze dérogations sanitaires pour l'importation de viande bovine en provenance de l'Inde dont quatre pour la Sotracov, a indiqué ce même responsable. Mais pour l'ensemble des importations algériennes auprès des pays fournisseurs, les services vétérinaires auront ainsi délivré, depuis le 18 mai dernier, cent trente et une dérogations sanitaires pour les seules viandes rouges à importer (Brésil, Uruguay, Argentine, Nouvelle-Zélande, Allemagne, Danemark...) totalisant une quantité de 51.803 tonnes réparties sur trente-neuf opérateurs dont un (1) public. La viande indienne destinée au marché algérien est importée de deux Etats musulmans (Maharastra et Uttar Pradesh). Elle sera cédée au consommateur algérien entre 410 à 560 DA/kg. L'Inde est le deuxième producteur et quatrième exportateur de viande rouge au monde Le premier arrivage de viande rouge en provenance d'Inde répond aux normes de qualité et sanitaires requises, après avoir subi tous les contrôles nécessaires des services vétérinaires et du laboratoire de l'Institut Pasteur d'Algérie a indiqué, samedi, le directeur des services vétérinaires auprès du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Bouguedour. « La première quantité de cette viande, estimée à 260 tonnes, est arrivée au port d'Alger le 18 juillet dernier et a été autorisée à sortir sur le marché le 1er août en cours, après avoir subi tous les contrôles nécessaires », a-t-il précisé. Il s'agit du certificat sanitaire officiel, qui constitue le cahier de charges sanitaire vétérinaire exigé par l'Algérie, accompagné des certificats respectivement d'analyse microbiologique, de qualité et de non radioactivité ainsi que du certificat "halal". Il a souligné, dans ce contexte, qu'une fois arrivée au port, la cargaison subit un contrôle vétérinaire basée sur une démarche triple : le contrôle documentaire, le contrôle physique (de visu de la marchandise) et un prélèvement d'échantillon destiné au laboratoire de contrôle de l'Institut Pasteur. Ainsi, a-t-il expliqué, l'opérateur ne peut mettre sa viande sur le marché s'il n'est pas muni des deux visas nécessaires : le visa vétérinaire et celui de la répression des fraudes. «Les autres cargaisons, y compris celle de l'opérateur public, feront l'objet du même processus de contrôle dès qu'elle seront à quai », a-t-il ajouté. Outre cette quantité (260 tonnes) importée par un opérateur privé et écoulée sur le marché depuis la semaine dernière, la société publique de transformation et de conditionnement des viandes (Sotracov) va, a son tour, engager sa première opération de commercialisation de ce produit au cours de cette semaine pour une quantité de 620 tonnes sur un total de 4 mille tonnes qu'elle compte importer durant tout le mois sacré, a-t-on précisé. Le ministère avait délivré, à ce jour, quatorze dérogations sanitaires pour l'importation de viande bovine en provenance de l'Inde dont quatre pour la Sotracov, a indiqué ce même responsable. Mais pour l'ensemble des importations algériennes auprès des pays fournisseurs, les services vétérinaires auront ainsi délivré, depuis le 18 mai dernier, cent trente et une dérogations sanitaires pour les seules viandes rouges à importer (Brésil, Uruguay, Argentine, Nouvelle-Zélande, Allemagne, Danemark...) totalisant une quantité de 51.803 tonnes réparties sur trente-neuf opérateurs dont un (1) public. La viande indienne destinée au marché algérien est importée de deux Etats musulmans (Maharastra et Uttar Pradesh). Elle sera cédée au consommateur algérien entre 410 à 560 DA/kg. L'Inde est le deuxième producteur et quatrième exportateur de viande rouge au monde