Hamoud Boualem, prionnière des entreprises algériennes spécialisées dans la production de boissons gazeuses a organisé, en ce mois sacré «Meidet Ramadhan El Karim», en installant un chapiteau d'une capacité d'accueil de 750 personnes au niveau du parc automobile du Parc zoologique de Ben Aknoun, à Alger. Hamoud Boualem, prionnière des entreprises algériennes spécialisées dans la production de boissons gazeuses a organisé, en ce mois sacré «Meidet Ramadhan El Karim», en installant un chapiteau d'une capacité d'accueil de 750 personnes au niveau du parc automobile du Parc zoologique de Ben Aknoun, à Alger. Comme à l'accoutumée, au mois du Ramadhan, la société Hamoud Boualem, prionnière des entreprises algériennes spécialisées dans la production de boissons gazeuses, n'a pas manqué à ses engagements. Celle-ci organise en ce mois sacré « Meidet Ramadhan El Karim», en installant un chapiteau d'une capacité d'accueil de 750 personne au niveau du parc automobile du Parc zoologique de Ben Aknoun, à Alger. L'opération en elle-même est une action de solidarité à but non lucratif destinée aux plus démunis. Cette «Meida», qui a ouvert ses portes, mercredi, se poursuivra tout le long du mois de Ramadhan. Alors que le premier jour du Ramadhan s'est caractérisé, pour cette année, par une chaleur intense. Beaucoup de personnes, du moins celles qui n'ont pas où manger ou ne peuvent se rendre chez eux le soir venu, n'ont qu'une seule idée en tête, se trouver un restaurant pour rompre le jeûne à l'heure d'«El Adhan», soit vers 19h45. «La Meïda» mise en place par la société Hamoud Boualem, accueille une centaine de personne dans cette intention chaque soir. Les préparatifs commencent tôt L'équipe de Hamoud Boualem, en charge des préparatifs quotidiens, commencent leur travail dès la matinée. Les cuisiniers, de leur côté, ne ménagent aucun effort pour préparer les repas, tandis que les autres employés, tous jeunes et étudiants pour la plupart, se mettent au travail pour nettoyer, ranger et mettre en place les tables. L'ambiance y est chaleureuse. «J'aime bien ce que je fait, d'autant plus que l'ambiance avec les autres employés est familiale», nous fait savoir un jeune employé. Le travail, quant à lui, est bien organisé, chacun dans sa tâche respective. «La plupart des jeunes qui travaillent ici sont des étudiants, recrutés pour l'opération du Ramadhan. Ils sont motivés et sérieux dans l'accomplissement de leur mission», explique Mustapha, l'un des responsables au Chapiteau. Et d'ajouter «notre société a tout mis en œuvre pour mener à bien l'opération tout le long du mois sacré». L'installation du chapiteau, explique notre interlocuteur, a pris une dizaine de jours. «Nous avons l'habitude d'organiser ce genre d'opération mais avec la participation de la société civile», a-t-il affirmé, avant d'ajouter «cette année nous avons décidé de mener l'opération avec le soutien de l'APC de Hydra qui a, entre autres, mis le terrain à notre disposition» Vers 18h30, la tension commence à monter, dans la salle. La fatigue s'est déjà emparée des employés, le souci de tout bien faire prend le dessus sur le besoin de se rafraîchir. Mustapha nous fait savoir qu'en collaboration avec le ministère de la Solidarité nationale, des bus ont été mis en place pour transporter les familles constantinoises, se trouvant à la gare de Kharouba, et leur permettre d'avoir un repas chaud et riche pour rompre leur jeûne. «Nous avons mis en place tous les moyens pour que ces familles puissent dîner dans de bonnes conditions», a-t-il indiqué. Les conditions d'accueil Vers 19h, les citoyens commencent à affluer. Ils sont accueillis par les organisateurs, guidés vers l'intérieur du chapiteau et installés à table, en attendant l'appel à rompre le jeûne, qui ce jour-là était prévu pour 19h50. Une centaine d'autres personnes ont préféré passer derrière le chapiteau, dans un emplacement aménagé, pour recevoir le repas et l'emporter avec eux, loin des regards indiscrets, explique Mustapha. Notre interlocuteur nous apprend également qu'en sus du chapiteau, plusieurs autres commodités ont été installées dans la cour extérieure, notamment des sanitaires et des espaces pour la prière. A quelques minutes de l'appel à rompre le jeûne, la salle est à moitié pleine. Ils sont nombreux à s'y précipiter au moment de l'Adhan pour rompre leur jeûne. La plus grande majorité est composée d'étudiants, des jeunes issus de différentes couches sociales, des employés, des policiers ou des agents de sécurité, qui se retrouvent ainsi autour de la table du Ramadhan, bien que loin de la chaleur familiale, mais en bonne compagnie tout de même. Le moment tant attendu est arrivé. L'appel du muezzin retentit au loin et les hôtes de Hamoud Boualem, sourire au lèvres et tout en discutant rompent enfin leur jeûne. Au menu, un repas riche avec une chorba, un «aadjine zitoun», des dattes, du jus et de la boisson gazeuse. Alors que tous sont plongés dans la dégustation d'un repas "festoyant", un jeune s'exprime et dit : «Quel goût peut finalement, avoir une table durant le mois de Ramadhan sans une boisson Hamoud ?», faisant référence, sans nul doute, à la nouvelle publicité de la société diffusée à la Télévision. «C'est une bonne initiative de Hamoud Boualem que d'accueillir tous ceux qui n'ont pas où aller rompre leur jeûne après une longue journée», s'exclame un homme, la trentaine, en quittant le chapiteau. Le Ramadhan, c'est tout un programme La société, apprend-on, a prévu un programme pour la dernière dizaine du Ramadhan. En effet, une opération de circoncision est prévue pour les enfants des familles désirant circoncire leur progéniture. L'opération en question inclura également les employés de Hamoud Boualem, nous indique Mustapha. «Nous invitons toutes les familles qui le veulent à se rapprocher de nous pour circoncire leur enfants», a-t-il dit. Et d'ajouter qu'une soirée sera organisée en leur honneur la nuit du 27e jour du Ramadhan. En sus, une autre opération de distribution de gâteaux aux familles qui se rendent sous le chapiteau est prévue. «Nous comptons distribuer des boîtes de gâteaux aux familles qui viendront au chapiteau pour la célébration de la fête de l'Aïd», a-t-il fait savoir. En 1978, l'usine fut construite à Belcourt (Alger). La boisson Hamoud a obtenu, durant l'exposition universelle de Paris en 1889, la plus haute distinction et s'est vu attribuer la médaille d'or pour sa qualité unique. Comme à l'accoutumée, au mois du Ramadhan, la société Hamoud Boualem, prionnière des entreprises algériennes spécialisées dans la production de boissons gazeuses, n'a pas manqué à ses engagements. Celle-ci organise en ce mois sacré « Meidet Ramadhan El Karim», en installant un chapiteau d'une capacité d'accueil de 750 personne au niveau du parc automobile du Parc zoologique de Ben Aknoun, à Alger. L'opération en elle-même est une action de solidarité à but non lucratif destinée aux plus démunis. Cette «Meida», qui a ouvert ses portes, mercredi, se poursuivra tout le long du mois de Ramadhan. Alors que le premier jour du Ramadhan s'est caractérisé, pour cette année, par une chaleur intense. Beaucoup de personnes, du moins celles qui n'ont pas où manger ou ne peuvent se rendre chez eux le soir venu, n'ont qu'une seule idée en tête, se trouver un restaurant pour rompre le jeûne à l'heure d'«El Adhan», soit vers 19h45. «La Meïda» mise en place par la société Hamoud Boualem, accueille une centaine de personne dans cette intention chaque soir. Les préparatifs commencent tôt L'équipe de Hamoud Boualem, en charge des préparatifs quotidiens, commencent leur travail dès la matinée. Les cuisiniers, de leur côté, ne ménagent aucun effort pour préparer les repas, tandis que les autres employés, tous jeunes et étudiants pour la plupart, se mettent au travail pour nettoyer, ranger et mettre en place les tables. L'ambiance y est chaleureuse. «J'aime bien ce que je fait, d'autant plus que l'ambiance avec les autres employés est familiale», nous fait savoir un jeune employé. Le travail, quant à lui, est bien organisé, chacun dans sa tâche respective. «La plupart des jeunes qui travaillent ici sont des étudiants, recrutés pour l'opération du Ramadhan. Ils sont motivés et sérieux dans l'accomplissement de leur mission», explique Mustapha, l'un des responsables au Chapiteau. Et d'ajouter «notre société a tout mis en œuvre pour mener à bien l'opération tout le long du mois sacré». L'installation du chapiteau, explique notre interlocuteur, a pris une dizaine de jours. «Nous avons l'habitude d'organiser ce genre d'opération mais avec la participation de la société civile», a-t-il affirmé, avant d'ajouter «cette année nous avons décidé de mener l'opération avec le soutien de l'APC de Hydra qui a, entre autres, mis le terrain à notre disposition» Vers 18h30, la tension commence à monter, dans la salle. La fatigue s'est déjà emparée des employés, le souci de tout bien faire prend le dessus sur le besoin de se rafraîchir. Mustapha nous fait savoir qu'en collaboration avec le ministère de la Solidarité nationale, des bus ont été mis en place pour transporter les familles constantinoises, se trouvant à la gare de Kharouba, et leur permettre d'avoir un repas chaud et riche pour rompre leur jeûne. «Nous avons mis en place tous les moyens pour que ces familles puissent dîner dans de bonnes conditions», a-t-il indiqué. Les conditions d'accueil Vers 19h, les citoyens commencent à affluer. Ils sont accueillis par les organisateurs, guidés vers l'intérieur du chapiteau et installés à table, en attendant l'appel à rompre le jeûne, qui ce jour-là était prévu pour 19h50. Une centaine d'autres personnes ont préféré passer derrière le chapiteau, dans un emplacement aménagé, pour recevoir le repas et l'emporter avec eux, loin des regards indiscrets, explique Mustapha. Notre interlocuteur nous apprend également qu'en sus du chapiteau, plusieurs autres commodités ont été installées dans la cour extérieure, notamment des sanitaires et des espaces pour la prière. A quelques minutes de l'appel à rompre le jeûne, la salle est à moitié pleine. Ils sont nombreux à s'y précipiter au moment de l'Adhan pour rompre leur jeûne. La plus grande majorité est composée d'étudiants, des jeunes issus de différentes couches sociales, des employés, des policiers ou des agents de sécurité, qui se retrouvent ainsi autour de la table du Ramadhan, bien que loin de la chaleur familiale, mais en bonne compagnie tout de même. Le moment tant attendu est arrivé. L'appel du muezzin retentit au loin et les hôtes de Hamoud Boualem, sourire au lèvres et tout en discutant rompent enfin leur jeûne. Au menu, un repas riche avec une chorba, un «aadjine zitoun», des dattes, du jus et de la boisson gazeuse. Alors que tous sont plongés dans la dégustation d'un repas "festoyant", un jeune s'exprime et dit : «Quel goût peut finalement, avoir une table durant le mois de Ramadhan sans une boisson Hamoud ?», faisant référence, sans nul doute, à la nouvelle publicité de la société diffusée à la Télévision. «C'est une bonne initiative de Hamoud Boualem que d'accueillir tous ceux qui n'ont pas où aller rompre leur jeûne après une longue journée», s'exclame un homme, la trentaine, en quittant le chapiteau. Le Ramadhan, c'est tout un programme La société, apprend-on, a prévu un programme pour la dernière dizaine du Ramadhan. En effet, une opération de circoncision est prévue pour les enfants des familles désirant circoncire leur progéniture. L'opération en question inclura également les employés de Hamoud Boualem, nous indique Mustapha. «Nous invitons toutes les familles qui le veulent à se rapprocher de nous pour circoncire leur enfants», a-t-il dit. Et d'ajouter qu'une soirée sera organisée en leur honneur la nuit du 27e jour du Ramadhan. En sus, une autre opération de distribution de gâteaux aux familles qui se rendent sous le chapiteau est prévue. «Nous comptons distribuer des boîtes de gâteaux aux familles qui viendront au chapiteau pour la célébration de la fête de l'Aïd», a-t-il fait savoir. En 1978, l'usine fut construite à Belcourt (Alger). La boisson Hamoud a obtenu, durant l'exposition universelle de Paris en 1889, la plus haute distinction et s'est vu attribuer la médaille d'or pour sa qualité unique.