En dépit de l'ambition du wali de Batna qui comptait réceptionner le grand pôle universitaire lors de la rentrée 2009, ce méga projet ne sera livré que partiellement pour cette rentrée 2010, selon les milieux universitaires. En dépit de l'ambition du wali de Batna qui comptait réceptionner le grand pôle universitaire lors de la rentrée 2009, ce méga projet ne sera livré que partiellement pour cette rentrée 2010, selon les milieux universitaires. En dépit de l'ambition du wali de Batna qui comptait réceptionner le grand pôle universitaire lors de la rentrée 2009, ce méga projet ne sera livré que partiellement pour cette rentrée 2010, selon les milieux universitaires. BOURKI ABDELHAK Dans ses nombreuses sorties sur le terrain, le chef de l'exécutif a constamment sommé les acteurs de l'acte de bâtir à achever impérativement les travaux avant la rentrée, après plusieurs promesses non tenues par les entrepreneurs en charge de la réalisation de nombreuses infrastructures. Par ailleurs, il est à noter la mise en place des équipements logistiques et pédagogiques pour la rentrée universitaire à l'automne 2009 pour l'institut d'architecture. La capitale des Aurès, il faut le rappeler, a bénéficié de ce mega projet dans le cadre du quinquennal 2004/2009 avec une enveloppe budgétaire de 14 milliards DA et les travaux ont été engagés depuis début 2007. Il est destiné à accueillir 22 mille étudiants dont 12 mille seront hébergés sur le site, outre l'ancien campus qui est occupé par plus de 55 mille étudiants. Indigné par les longs retards enregistrés pour le pôle universitaires par certaines entreprises, le wali a menacé de recourir aux sanctions contre les défaillants à l'instar de ceux de l'autre pôle, la nouvelle ville Hamla où la trentaine d'entreprises peine à livrer les 5 mille logements. En effet, beaucoup d'infrastructures sont en état de chantier et selon des sources informées, les taux oscillent entre 60 et 80 % à un mois de la rentrée universitaire, chez les 72 entreprises installées sur le site. Le wali a toujours déploré l'indifférence des autochtones, notamment les élus qui "par éthique et patriotisme devraient collaborer au développement de leur wilaya en veillant au suivi des travaux et dénoncer tout laxisme préjudiciable au processus de développement de la wilaya ". Ce qui demeurera toujours un vœux pieux, selon les milieux imprégnés dans la dynamique de développement. En effet, au niveau des entrepreneurs, l'on évoque des contraintes tout en annonçant que leurs œuvres seront livrées dans les délais souhaités. L'application des clauses du cahier des charges risque de pénaliser l'ensemble des participants à la réalisation du pôle universitaire de Fesdis . Les bureaux d'études, eux, demeurent sceptiques eu égard aux capacités de ces entrepreneurs aventuriers. En dépit de la disponibilité des Autorités politiques de la wilaya qui veulent instaurer un dialogue avec ces partenaires, ces derniers se murent dans un mutisme inexplicable et se privent d'informer sur leurs contraintes réelles telles le retard dans l'élaboration des cahiers de charges, les réceptions des ouvrages calendaires pour l'établissement des situations de paiement par l'administration concernée et autre pénurie dans la livraison de ciment "qui a marqué les périodes estivales trois ans durant" se défendent certains entrepreneurs. Outre ces quelques obstacles, "les entrepreneurs adjudicataires ne sont pas tous qualifiés dans le domaine et manquent de moyens financiers pour ficeler dans les délais les corps d'état du projet" révèle une source proche des milieux du bâtiment. Selon le wali, la wilaya de Batna compte 2 mille entrepreneurs, non compris le nombre de sous traitants."Effectif conséquent conjugué à un encadrement de suivi compétent et une disponibilité entière de l'administration locale, pour la prise en charge de toutes les contraintes indépendantes des patrons d'ETP, sont les atouts majeurs de réussite d'une entreprise " souligne le wali. Ce conseil de la part d'une personnalité politique voudra simplement signifier que l'entreprise du bâtiment s'est clochardisée, et par conséquent les promesses de livrer les ouvrages du campus de Fesdis demeurent du domaine du probable et risquent de s'allonger au-delà de septembre 2010,lorsqu'on l'évoque les travaux dits CES (Corps d'état secondaires),c'est-à-dire maçonnerie, plâtre électricité, plomberie ,chauffage, peinture et autres carrelage…Menus travaux nécessitant une main d'œuvre spécialisée, introuvable sur le marché local. Par ailleurs, il faut quand même noter que l'environnement immédiat (tracé de routes bitumées et déviation de la route nationale, ainsi que la clôture de la cité, sont en cours de réalisation. Mais la réception du tout n'est pas à l'horizon. En dépit de l'ambition du wali de Batna qui comptait réceptionner le grand pôle universitaire lors de la rentrée 2009, ce méga projet ne sera livré que partiellement pour cette rentrée 2010, selon les milieux universitaires. BOURKI ABDELHAK Dans ses nombreuses sorties sur le terrain, le chef de l'exécutif a constamment sommé les acteurs de l'acte de bâtir à achever impérativement les travaux avant la rentrée, après plusieurs promesses non tenues par les entrepreneurs en charge de la réalisation de nombreuses infrastructures. Par ailleurs, il est à noter la mise en place des équipements logistiques et pédagogiques pour la rentrée universitaire à l'automne 2009 pour l'institut d'architecture. La capitale des Aurès, il faut le rappeler, a bénéficié de ce mega projet dans le cadre du quinquennal 2004/2009 avec une enveloppe budgétaire de 14 milliards DA et les travaux ont été engagés depuis début 2007. Il est destiné à accueillir 22 mille étudiants dont 12 mille seront hébergés sur le site, outre l'ancien campus qui est occupé par plus de 55 mille étudiants. Indigné par les longs retards enregistrés pour le pôle universitaires par certaines entreprises, le wali a menacé de recourir aux sanctions contre les défaillants à l'instar de ceux de l'autre pôle, la nouvelle ville Hamla où la trentaine d'entreprises peine à livrer les 5 mille logements. En effet, beaucoup d'infrastructures sont en état de chantier et selon des sources informées, les taux oscillent entre 60 et 80 % à un mois de la rentrée universitaire, chez les 72 entreprises installées sur le site. Le wali a toujours déploré l'indifférence des autochtones, notamment les élus qui "par éthique et patriotisme devraient collaborer au développement de leur wilaya en veillant au suivi des travaux et dénoncer tout laxisme préjudiciable au processus de développement de la wilaya ". Ce qui demeurera toujours un vœux pieux, selon les milieux imprégnés dans la dynamique de développement. En effet, au niveau des entrepreneurs, l'on évoque des contraintes tout en annonçant que leurs œuvres seront livrées dans les délais souhaités. L'application des clauses du cahier des charges risque de pénaliser l'ensemble des participants à la réalisation du pôle universitaire de Fesdis . Les bureaux d'études, eux, demeurent sceptiques eu égard aux capacités de ces entrepreneurs aventuriers. En dépit de la disponibilité des Autorités politiques de la wilaya qui veulent instaurer un dialogue avec ces partenaires, ces derniers se murent dans un mutisme inexplicable et se privent d'informer sur leurs contraintes réelles telles le retard dans l'élaboration des cahiers de charges, les réceptions des ouvrages calendaires pour l'établissement des situations de paiement par l'administration concernée et autre pénurie dans la livraison de ciment "qui a marqué les périodes estivales trois ans durant" se défendent certains entrepreneurs. Outre ces quelques obstacles, "les entrepreneurs adjudicataires ne sont pas tous qualifiés dans le domaine et manquent de moyens financiers pour ficeler dans les délais les corps d'état du projet" révèle une source proche des milieux du bâtiment. Selon le wali, la wilaya de Batna compte 2 mille entrepreneurs, non compris le nombre de sous traitants."Effectif conséquent conjugué à un encadrement de suivi compétent et une disponibilité entière de l'administration locale, pour la prise en charge de toutes les contraintes indépendantes des patrons d'ETP, sont les atouts majeurs de réussite d'une entreprise " souligne le wali. Ce conseil de la part d'une personnalité politique voudra simplement signifier que l'entreprise du bâtiment s'est clochardisée, et par conséquent les promesses de livrer les ouvrages du campus de Fesdis demeurent du domaine du probable et risquent de s'allonger au-delà de septembre 2010,lorsqu'on l'évoque les travaux dits CES (Corps d'état secondaires),c'est-à-dire maçonnerie, plâtre électricité, plomberie ,chauffage, peinture et autres carrelage…Menus travaux nécessitant une main d'œuvre spécialisée, introuvable sur le marché local. Par ailleurs, il faut quand même noter que l'environnement immédiat (tracé de routes bitumées et déviation de la route nationale, ainsi que la clôture de la cité, sont en cours de réalisation. Mais la réception du tout n'est pas à l'horizon.