Les campagnards de l'historique Legrine se trouvent confrontés aux vicissitudes de la vie semi-urbaine, à l'exemple des coupures intempestives et répétées du courant électrique, l'alimentation en eau potable insuffisante et de qualité douteuse, le manque de salle de soins et les transports, notamment scolaires, font défaut à longueur d'année. Les campagnards de l'historique Legrine se trouvent confrontés aux vicissitudes de la vie semi-urbaine, à l'exemple des coupures intempestives et répétées du courant électrique, l'alimentation en eau potable insuffisante et de qualité douteuse, le manque de salle de soins et les transports, notamment scolaires, font défaut à longueur d'année. "Cache pour l'illustre chahid Si Mostefa Benboulaïd et ses compagnons, Legrine est la mechta où a étè rédigée la proclamation du Premier novembre 1954", se rappelle un octogénaire du hameau, déplorant l'oubli dans lequel vit ce village agricole de la défunte, et non moins glorieuse, révolution agraire. Legrine est une localité dépendant de la commune mère Ouled Fadhel, dans la partie est de la wilaya de Batna. C'est une région agricole dont l'immense plaine chevauche sur Remila, dans la wilaya de Khenchela. Région berbérophone, elle est habitée par la grande tribu des Ouled Fadhel et constitue avec Boulefraïs un hameau sur la route de Khenchela ; les deux localités rattachées à Toufana, siège de l'APC (daïra de Timgad). Ce village, effectivement révolutionnaire, a payé un lourd tribut à la Guerre de libération nationale. Et dans la continuité socialiste, après le décès de feu Houari Boumediène, soit en 1984, un VSA (Village socialiste agricole) fut érigé en hommage aux sacrifices des chouhada et eu égard à la vocation agricole de la région. De nombreuses coopératives agricoles y ont été établies sur les terres domaniales et communales, dissoutes au lendemain de la nouvelle loi d'orientation agricole en 1990. Zone à forte production agro-pastorale, la sécheresse des deux dernières décades a tout bouleversé et le village, avec la démographie galopante, s'est transformé en zone résidentielle lors de l'exode imposé par les hordes terroristes. Des besoins nouveaux pour la prise en charge sont apparus. Cependant, la paupérisation caractérisant les communes rurales, chroniquement déficitaires, n'a pas permis d'accompagner ce développement. Les campagnards de l'historique Legrine se trouvent ainsi confrontés aux vicissitudes de la vie semi-urbaine, à l'exemple des coupures intempestives et répétées du courant électrique, l'alimentation en eau potable insuffisante et de qualité douteuse, de manque de salle de soins et son corollaire, le déplacement vers Kaïs (chef-lieu de daiïra de Khenchela, à 20 km). Les transports, notamment scolaire, font défaut à longueur d'année. A cela s'ajoutent l'habitat précaire en auto-construction et la dégradation des chaussées. Et selon les habitants grognards, le village n'a bénéficié depuis l'Indépendance que de 40 logements. Aucune structure pour les jeunes. 50 locaux sur les 103 ont étè réalisés. Legrine n'en a pas bénéficié de sa municipalité.En l'absence d'une source autorisée au niveau du siège de l'APC d'Ouled Fadhel, à laquelle est rattachée Legrine, nous avons pu quand même savoir, à partir d'un rapport du wali de Batna, présenté à l'APW lors de sa première session pour 2010, que cette commune accuse un taux de raccordement aux réseaux électricité et gaz de 85 % et 27 % respectivement. Par ailleurs, le PCD 2009 (Plan de développement communal) est doté d'une enveloppe de 103.790.000 DA, dont 13.578.000 DA ont étè consommés (86.91 %). Cette escarcelle a permis l'entame de 15 opérations, allant du renforcement de l'AEP, à l'assainissement, en passant par les aménagements urbains. Ces zones rurales, selon les élus de wilaya, doivent être prises en charge par l'ambitieux programme de développement rural de proximité initié par le secteur agricole et l'on compte pour 2009, 84 projets pour 44 communes. Celle de Ouled Fadhel est programmée, et au mouvement associatif de formuler ses besoins auprès du comité communal. Un montant de 3.536 milliards de dinars est disponible, ajoute notre source. "Cache pour l'illustre chahid Si Mostefa Benboulaïd et ses compagnons, Legrine est la mechta où a étè rédigée la proclamation du Premier novembre 1954", se rappelle un octogénaire du hameau, déplorant l'oubli dans lequel vit ce village agricole de la défunte, et non moins glorieuse, révolution agraire. Legrine est une localité dépendant de la commune mère Ouled Fadhel, dans la partie est de la wilaya de Batna. C'est une région agricole dont l'immense plaine chevauche sur Remila, dans la wilaya de Khenchela. Région berbérophone, elle est habitée par la grande tribu des Ouled Fadhel et constitue avec Boulefraïs un hameau sur la route de Khenchela ; les deux localités rattachées à Toufana, siège de l'APC (daïra de Timgad). Ce village, effectivement révolutionnaire, a payé un lourd tribut à la Guerre de libération nationale. Et dans la continuité socialiste, après le décès de feu Houari Boumediène, soit en 1984, un VSA (Village socialiste agricole) fut érigé en hommage aux sacrifices des chouhada et eu égard à la vocation agricole de la région. De nombreuses coopératives agricoles y ont été établies sur les terres domaniales et communales, dissoutes au lendemain de la nouvelle loi d'orientation agricole en 1990. Zone à forte production agro-pastorale, la sécheresse des deux dernières décades a tout bouleversé et le village, avec la démographie galopante, s'est transformé en zone résidentielle lors de l'exode imposé par les hordes terroristes. Des besoins nouveaux pour la prise en charge sont apparus. Cependant, la paupérisation caractérisant les communes rurales, chroniquement déficitaires, n'a pas permis d'accompagner ce développement. Les campagnards de l'historique Legrine se trouvent ainsi confrontés aux vicissitudes de la vie semi-urbaine, à l'exemple des coupures intempestives et répétées du courant électrique, l'alimentation en eau potable insuffisante et de qualité douteuse, de manque de salle de soins et son corollaire, le déplacement vers Kaïs (chef-lieu de daiïra de Khenchela, à 20 km). Les transports, notamment scolaire, font défaut à longueur d'année. A cela s'ajoutent l'habitat précaire en auto-construction et la dégradation des chaussées. Et selon les habitants grognards, le village n'a bénéficié depuis l'Indépendance que de 40 logements. Aucune structure pour les jeunes. 50 locaux sur les 103 ont étè réalisés. Legrine n'en a pas bénéficié de sa municipalité.En l'absence d'une source autorisée au niveau du siège de l'APC d'Ouled Fadhel, à laquelle est rattachée Legrine, nous avons pu quand même savoir, à partir d'un rapport du wali de Batna, présenté à l'APW lors de sa première session pour 2010, que cette commune accuse un taux de raccordement aux réseaux électricité et gaz de 85 % et 27 % respectivement. Par ailleurs, le PCD 2009 (Plan de développement communal) est doté d'une enveloppe de 103.790.000 DA, dont 13.578.000 DA ont étè consommés (86.91 %). Cette escarcelle a permis l'entame de 15 opérations, allant du renforcement de l'AEP, à l'assainissement, en passant par les aménagements urbains. Ces zones rurales, selon les élus de wilaya, doivent être prises en charge par l'ambitieux programme de développement rural de proximité initié par le secteur agricole et l'on compte pour 2009, 84 projets pour 44 communes. Celle de Ouled Fadhel est programmée, et au mouvement associatif de formuler ses besoins auprès du comité communal. Un montant de 3.536 milliards de dinars est disponible, ajoute notre source.