Depuis le début de ce mois de Ramadhan, le prix de sucre a connu une sensible hausse pour atteindre 100DA et parfois même 120 DA le kilogramme alors que quelques jours seulement avant le début de ce mois sacré, il était cédé à 70 DA. Une augmentation qui laisse perplexe le consommateur d'autant que bon nombre de raffineries ont promis de revoir à la baisse le prix de leur produit durant ce mois sacré connu pour être une période de grande affluence sur les produits sucrés. Mohamed Chaâbane, un retraité rencontré devant le marché Ferhat-Boussaâd à Alger affirme que le prix du sucre est trop élevé surtout pour une personne comme lui dont la pension de ne dépasse pas 9 mille DA. «Bientôt je ne pourrais plus me permettre ce produit de base puisque pas plus tard qu'hier je l'ai payé à 100 DA». Une mère de famille rencontrée au même endroit nous avoue, elle aussi, avoir acheté le sucre à 95DA. «On peut l'avoir pour 80DA au minimum. Avant le Ramadhan je ne consommais pas beaucoup de sucre. Mais là, on le consomme assez souvent», nous dira notre interlocutrice. Les vendeurs, de leur côté, estiment que le prix s'est stabilisé entre 80 et 85 DA. Un vendeur de café et de sucre nous apporte ces éclaircissements : «On l'achète entre 77 et 77,50 et on le revend à 80 DA. Il a déjà atteint 100 DA. Mais actuellement il est cédé entre 80 et 85 DA. Il y a deux sortes de sucre. Le local et celui importé d'Europe. Le local est moins cher de 50 centimes au prix de l'achat de chez les grossistes. C'est la même qualité, mais celui d'Europe est plus blanc et plus fin», nous explique-t-il. Les autres marchands, utilisant le sucre comme matière première, l'achètent eux des prix un peu plus bas. Un pâtissier affirme l'avoir acheté à 77DA le kilogramme auprès d'un demi-grossiste pour pouvoir, à son tour, ceder ses produits à des prix raisonnables. D'autres n'ont pas eu la même chance. Hamza, un vendeur de «zlabya», a achèté 50 kilos de sucre pour 3.900DA. Soit 78 DA le kilogramme. Depuis le début de ce mois de Ramadhan, le prix de sucre a connu une sensible hausse pour atteindre 100DA et parfois même 120 DA le kilogramme alors que quelques jours seulement avant le début de ce mois sacré, il était cédé à 70 DA. Une augmentation qui laisse perplexe le consommateur d'autant que bon nombre de raffineries ont promis de revoir à la baisse le prix de leur produit durant ce mois sacré connu pour être une période de grande affluence sur les produits sucrés. Mohamed Chaâbane, un retraité rencontré devant le marché Ferhat-Boussaâd à Alger affirme que le prix du sucre est trop élevé surtout pour une personne comme lui dont la pension de ne dépasse pas 9 mille DA. «Bientôt je ne pourrais plus me permettre ce produit de base puisque pas plus tard qu'hier je l'ai payé à 100 DA». Une mère de famille rencontrée au même endroit nous avoue, elle aussi, avoir acheté le sucre à 95DA. «On peut l'avoir pour 80DA au minimum. Avant le Ramadhan je ne consommais pas beaucoup de sucre. Mais là, on le consomme assez souvent», nous dira notre interlocutrice. Les vendeurs, de leur côté, estiment que le prix s'est stabilisé entre 80 et 85 DA. Un vendeur de café et de sucre nous apporte ces éclaircissements : «On l'achète entre 77 et 77,50 et on le revend à 80 DA. Il a déjà atteint 100 DA. Mais actuellement il est cédé entre 80 et 85 DA. Il y a deux sortes de sucre. Le local et celui importé d'Europe. Le local est moins cher de 50 centimes au prix de l'achat de chez les grossistes. C'est la même qualité, mais celui d'Europe est plus blanc et plus fin», nous explique-t-il. Les autres marchands, utilisant le sucre comme matière première, l'achètent eux des prix un peu plus bas. Un pâtissier affirme l'avoir acheté à 77DA le kilogramme auprès d'un demi-grossiste pour pouvoir, à son tour, ceder ses produits à des prix raisonnables. D'autres n'ont pas eu la même chance. Hamza, un vendeur de «zlabya», a achèté 50 kilos de sucre pour 3.900DA. Soit 78 DA le kilogramme.