Depuis le début du mois sacré de Ramadhan, la commune d'El Biar se retrouve, chaque soir après le f'tour, étouffée par une circulation intense et des bouchons inextricables. En effet, à chaque coin de rue et principalement sur les grands axes, tel que le boulevard Bougara ou encore Saint-Raphaël, les voitures se suivent pare-choc contre pare-choc dans d'interminables files désorganisées et sur fond de Klaxons et des prises de têtes qui n'ont finissent pas. Face à cette situation pénalisante et stressante, les riverains qui doivent sortir en soirée se retrouvent dans l'obligation de préceder cette invasion de véhicules pour ne pas s'y retrouvés bloqués. El Biar, semble-t-il, et avec ses nombreux magasins et espaces commerciaux est devenu l'une des destinations favorites des familles, mais en outre cette localité est également un passage obligé pour se rendre vers d'autres localités voisines. Une chose est sûre l'animation est présente - pas celle que l'on croit- à El Biar, et jusqu'au petit matin. K. H. Depuis le début du mois sacré de Ramadhan, la commune d'El Biar se retrouve, chaque soir après le f'tour, étouffée par une circulation intense et des bouchons inextricables. En effet, à chaque coin de rue et principalement sur les grands axes, tel que le boulevard Bougara ou encore Saint-Raphaël, les voitures se suivent pare-choc contre pare-choc dans d'interminables files désorganisées et sur fond de Klaxons et des prises de têtes qui n'ont finissent pas. Face à cette situation pénalisante et stressante, les riverains qui doivent sortir en soirée se retrouvent dans l'obligation de préceder cette invasion de véhicules pour ne pas s'y retrouvés bloqués. El Biar, semble-t-il, et avec ses nombreux magasins et espaces commerciaux est devenu l'une des destinations favorites des familles, mais en outre cette localité est également un passage obligé pour se rendre vers d'autres localités voisines. Une chose est sûre l'animation est présente - pas celle que l'on croit- à El Biar, et jusqu'au petit matin. K. H.