Il y a quelques années, un candidat originaire de Souk-Ahras s'apprêtait à passer son permis de conduire dans une wilaya limitrophe. A un certain moment, l'examinateur conseillait le candidat d'aller conduire dans la ville de Souk-Ahras s'il veut apprendre à maîtriser son véhicule. Le candidat s'est senti alors ridiculisé, mais à vrai dire, l'examinateur avait entièrement raison. D'un côté, personne n'applique le code de la route, on démarre ou on dépasse sans activer les feux clignotants, on ne respecte ni stop ni priorité. Bref, une anarchie totale. De l'autre côté, les trottoirs sont occupés par les étalages des commerçants qui, au lieu de garder leurs produits à l'intérieur des locaux, préfèrent les exposer dehors et occuper les trottoirs, obligeant ainsi les piétons à emprunter la chaussée, une pratique qui est en passe de devenir une habitude chez les Souk-ahrassiens qui, même en présence de trottoirs vides, préfèrent, par absence de civisme, se balader sur la chaussée sans se soucier des automobilistes qui, eux, se voient bloqués au milieu des piétons et trouvent les pires difficultés à passer. Et si un conducteur se permet de klaxonner, il est tout de suite traité de tous les noms par le piéton et une rixe éclate, comme ça s'est passé la semaine écoulée à la rue de Tébessa. Devant une telle situation, plusieurs automobilistes se voient obligés d'éviter les rues de Tébessa, l'ALN, Ouarti-Abderrahmane, Ibn Khaldoun… et faire ainsi le tour de la ville pour rejoindre leurs lieux de destination. Une longue traversée du désert pour éviter les problèmes.L'autre inconvénient auquel les automobilistes sont quotidiennement confrontés est celui des lieux de stationnement. Les quelques endroits autorisés en ville (rue de l'ALN, place de l'Indépendance) sont occupés par les vendeurs de journaux, de pain ou de produits cosmétiques qui interdisent aux automobilistes de garer leurs véhicules prétendant qu'ils cachent ainsi leurs étalages, comme si la chaussée est devenue leur propriété privée. D'ici quelques années, ces pseudo-commerçants bloqueront carrément la route et obligeront les passants à acheter leurs produits ou à payer une amende. Il y a quelques années, un candidat originaire de Souk-Ahras s'apprêtait à passer son permis de conduire dans une wilaya limitrophe. A un certain moment, l'examinateur conseillait le candidat d'aller conduire dans la ville de Souk-Ahras s'il veut apprendre à maîtriser son véhicule. Le candidat s'est senti alors ridiculisé, mais à vrai dire, l'examinateur avait entièrement raison. D'un côté, personne n'applique le code de la route, on démarre ou on dépasse sans activer les feux clignotants, on ne respecte ni stop ni priorité. Bref, une anarchie totale. De l'autre côté, les trottoirs sont occupés par les étalages des commerçants qui, au lieu de garder leurs produits à l'intérieur des locaux, préfèrent les exposer dehors et occuper les trottoirs, obligeant ainsi les piétons à emprunter la chaussée, une pratique qui est en passe de devenir une habitude chez les Souk-ahrassiens qui, même en présence de trottoirs vides, préfèrent, par absence de civisme, se balader sur la chaussée sans se soucier des automobilistes qui, eux, se voient bloqués au milieu des piétons et trouvent les pires difficultés à passer. Et si un conducteur se permet de klaxonner, il est tout de suite traité de tous les noms par le piéton et une rixe éclate, comme ça s'est passé la semaine écoulée à la rue de Tébessa. Devant une telle situation, plusieurs automobilistes se voient obligés d'éviter les rues de Tébessa, l'ALN, Ouarti-Abderrahmane, Ibn Khaldoun… et faire ainsi le tour de la ville pour rejoindre leurs lieux de destination. Une longue traversée du désert pour éviter les problèmes.L'autre inconvénient auquel les automobilistes sont quotidiennement confrontés est celui des lieux de stationnement. Les quelques endroits autorisés en ville (rue de l'ALN, place de l'Indépendance) sont occupés par les vendeurs de journaux, de pain ou de produits cosmétiques qui interdisent aux automobilistes de garer leurs véhicules prétendant qu'ils cachent ainsi leurs étalages, comme si la chaussée est devenue leur propriété privée. D'ici quelques années, ces pseudo-commerçants bloqueront carrément la route et obligeront les passants à acheter leurs produits ou à payer une amende.