Plus de 150 sinistrés dits fiches éclatés victimes du séisme 2003, habitant les sites des chalets de BCR et de Vachi dans la commine de Bordj Ménaïel, à l'est de Boumerdès, ont observé, hier matin, un sit-in devant le siège de la daïra pour réclamer leur relogement dans des habitations en dur. « Nous avons observéplusieurs actions de protestations, des sit-in et des rassemblements et tous cela est resté sans suite. Nous avons droit qu'à des promesses sans lendemain », déclare, sur un ton désolant un sinistré. Et d'ajouter « l'ex-wali de Boumerdès nous a promis de résoudre notre problème, mais voila, plus de trois ans après son départ, nous sommes toujours casés dans ces chalets ». « Le P/APC et le chef de daïra nous ont affirmés auparavant que notre problème les dépassent et c'est au wali d'adresser notre doléance », nous a déclaré un autre sinistré avant d'ajouter que l'actuel wali de Boumerdès leur a promis d'affecter 140 logements des 560 logements situés au site de Vachi. Et un autre d'ajouter « il existe plusieurs ficelles qui entraventnotre relogement, il y a deux mois de cela, la daïra a placardé un affichage dans lequel est mentionné le traîtement de notre relogement qui contient une centaine de bénéficiaires, mais en raison de quelques entraves dont on connaît toujours pas l'origine, notre problème perdure et personne ne se soucie de nous ». Selon un autre protestataire, une délégation de protestataires sera reçue prochainement par le wali de Boumerdès pour trouver une issue favorable au problème de relogement des sinistrés dits fiches éclatées. Ce type de sinistrés, faut-il le rappeler, occupent des chalets depuis plus de sept ans et ne savent plus à quel saint se vouer notamment en période de grande chaleur où la vie est insupportable à l'intérieur des chalets. Il est à rappeler que plusieurs actions de protestations avaient été organisées par ces sinistrés pour faire entendre leur voix et obtenir gain de cause, mais en vain. La dernière action en date a été organisée en février dernier et rien n'a été fait pour les reloger dans des habitations dignes de ce nom. Plus de 150 sinistrés dits fiches éclatés victimes du séisme 2003, habitant les sites des chalets de BCR et de Vachi dans la commine de Bordj Ménaïel, à l'est de Boumerdès, ont observé, hier matin, un sit-in devant le siège de la daïra pour réclamer leur relogement dans des habitations en dur. « Nous avons observéplusieurs actions de protestations, des sit-in et des rassemblements et tous cela est resté sans suite. Nous avons droit qu'à des promesses sans lendemain », déclare, sur un ton désolant un sinistré. Et d'ajouter « l'ex-wali de Boumerdès nous a promis de résoudre notre problème, mais voila, plus de trois ans après son départ, nous sommes toujours casés dans ces chalets ». « Le P/APC et le chef de daïra nous ont affirmés auparavant que notre problème les dépassent et c'est au wali d'adresser notre doléance », nous a déclaré un autre sinistré avant d'ajouter que l'actuel wali de Boumerdès leur a promis d'affecter 140 logements des 560 logements situés au site de Vachi. Et un autre d'ajouter « il existe plusieurs ficelles qui entraventnotre relogement, il y a deux mois de cela, la daïra a placardé un affichage dans lequel est mentionné le traîtement de notre relogement qui contient une centaine de bénéficiaires, mais en raison de quelques entraves dont on connaît toujours pas l'origine, notre problème perdure et personne ne se soucie de nous ». Selon un autre protestataire, une délégation de protestataires sera reçue prochainement par le wali de Boumerdès pour trouver une issue favorable au problème de relogement des sinistrés dits fiches éclatées. Ce type de sinistrés, faut-il le rappeler, occupent des chalets depuis plus de sept ans et ne savent plus à quel saint se vouer notamment en période de grande chaleur où la vie est insupportable à l'intérieur des chalets. Il est à rappeler que plusieurs actions de protestations avaient été organisées par ces sinistrés pour faire entendre leur voix et obtenir gain de cause, mais en vain. La dernière action en date a été organisée en février dernier et rien n'a été fait pour les reloger dans des habitations dignes de ce nom.