Le tronçon qui relie le centre ville El Kala et les « quatre chemins » sur une distance de trois à quatre kilomètres environ constitue un danger imminent pour les automobilistes vue la circulation des bus qui devaient en réalité être renvoyés aux ferrailles. Ces bus dont l âge dépasse incontestablement les dix ans obstruent souvent le passage et créent ainsi un embouteillage qui ne cessent de mettre les nerfs des conducteurs en boule. En effet , dès qu'il y a un des ces bus le passage devient de plus en plus délicat au lieu d'un quart d'heure de route, les chauffeurs auront à taper au moins trois quart d'heure pour arriver à la sortie . Sur cette seule voie de sortie, ilo est vrai à noter que la circulation automobile est pénible, voire même impossible surtout aux heures de pointe. Les quelques tacos assurant la desserte entre les différentes cités de la ville d'El Kala empruntant cette seule issue de secours. Les tacots bloquent souvent la circulation routière à cause de leur lenteur et de la pente occasionnant ainsi des embouteillages. Sur cette route, les automobilistes sont mis à rudes. Sur ce tronçon d'un kilomètre environ, ajouté à cela une pente abrupte. Une situation bien difficile pour tous les chauffeurs pressés obligés de prendre leur mal en patience à chaque fois qu'un tacot est remisé dans des espaces souvent fort réduits. Les travaux récemment entamés rend la situation encore plus complique.En tout état de cause, la nécessite d'une autre voie de sortie est plus indispensable au niveau de ce tronçon donnant sur la périphérie de la ville. Le tronçon qui relie le centre ville El Kala et les « quatre chemins » sur une distance de trois à quatre kilomètres environ constitue un danger imminent pour les automobilistes vue la circulation des bus qui devaient en réalité être renvoyés aux ferrailles. Ces bus dont l âge dépasse incontestablement les dix ans obstruent souvent le passage et créent ainsi un embouteillage qui ne cessent de mettre les nerfs des conducteurs en boule. En effet , dès qu'il y a un des ces bus le passage devient de plus en plus délicat au lieu d'un quart d'heure de route, les chauffeurs auront à taper au moins trois quart d'heure pour arriver à la sortie . Sur cette seule voie de sortie, ilo est vrai à noter que la circulation automobile est pénible, voire même impossible surtout aux heures de pointe. Les quelques tacos assurant la desserte entre les différentes cités de la ville d'El Kala empruntant cette seule issue de secours. Les tacots bloquent souvent la circulation routière à cause de leur lenteur et de la pente occasionnant ainsi des embouteillages. Sur cette route, les automobilistes sont mis à rudes. Sur ce tronçon d'un kilomètre environ, ajouté à cela une pente abrupte. Une situation bien difficile pour tous les chauffeurs pressés obligés de prendre leur mal en patience à chaque fois qu'un tacot est remisé dans des espaces souvent fort réduits. Les travaux récemment entamés rend la situation encore plus complique.En tout état de cause, la nécessite d'une autre voie de sortie est plus indispensable au niveau de ce tronçon donnant sur la périphérie de la ville.