Parler de Mdaourouche c'est évoquer une ville qui tire son histoire de l'antique Madaur connue sous Syphax (220 - 230 av JC) pour être un haut lieu de culture tant chez les Berbères que chez les Romains pour devenir sous l'occupation byzantine une forteresse en mesure d'endiguer tous les assauts d'où qu'ils viennent. Parler de Mdaourouche c'est évoquer une ville qui tire son histoire de l'antique Madaur connue sous Syphax (220 - 230 av JC) pour être un haut lieu de culture tant chez les Berbères que chez les Romains pour devenir sous l'occupation byzantine une forteresse en mesure d'endiguer tous les assauts d'où qu'ils viennent. C'est aussi évoquer la ville qui a enfanté Apulée de Madaur (125 - 170 ap JC), ce grand romancier d'origine berbère dont le nom est resté à jamais lié à «Métamorphoses » (une œuvre plus connue sous le nom de « l'Ane d'or»), sans oublier Maximus le grammairien, Sainte Christine la martyre ou encore Aurélius Augustinus, plus connu sous le nom de Saint Augustin (354-430 ap JC), ce grand messager de la paix auteur de : Cité de Dieu, les Confessions, la cité Trinité, Traites de la musique. Mdaourouche (chef-lieu de daïra) est aujourd'hui la troisième grande ville de Souk-Ahras. Située à 44 km au sud du chef-lieu de wilaya sur l'axe Souk-Ahras-Tébessa, cette ville ne cesse de connaître une courbe de développement croissante, en témoignent les dizaines de chantiers dont certains sont encore en cours de réalisation et qui couvrent plusieurs domaines (social, économique, culturel…). L'expansion de la ville vers le Nord comme vers le Sud, les infrastructures de base dont elle a bénéficié ainsi que la participation du secteur privé ont contribué à réduire le taux de chômage et à créer un pôle stratégique pour la wilaya. Dans le domaine social, on distingue des centaines de logements haut-standing qui ornent l'entrée nord de la ville, des dizaines d'établissements scolaires et hospitaliers dont l'hôpital 120 lits dont les travaux sont en cours, sans oublier les infrastructures sportives. Le célèbre site de Madaure, érigé à 7 kilomètres au sud de la ville, et le fait que Mdaourouche fait partie du circuit saint Augustin ont poussé les responsables locaux à se tourner vers le développement du secteur touristique (principal pourvoyeur de devise). Ainsi, une zone d'expansion touristique comprenant des infrastructures hôtelières, de loisirs et un musée régional a été prévue dans cette région, ce qui est en mesure d'apporter un plus à toute la wilaya. Le secteur privé, drivé par des «enfants de la ville» qui préfèrent investir dans leur ville natale, a, lui aussi, mis la main à la pâte par la construction de plusieurs unités de production et de transformation (minoterie, limonaderie…). Mdaourouche assure l'autosuffisance de la wilaya en gaz butane car possédant une usine de remplissage de bonbonnes. Elle assure aussi l'autosuffisance et même l'exportation des céréales (orge notamment). Ses vastes terres lui procurent le titre de leader en matière d'élevage ovin et bovin. L'endroit stratégique et la paix qui y règne ont poussé les autorités militaires à y implanter une école de Gendarmerie, une école qui a reçu ce week-end des centaines de candidats, en majorité des universitaires et nouveaux bacheliers tous venus de wilayas de l'ouest dans l'espoir de décrocher une place dans ce corps. C'est aussi évoquer la ville qui a enfanté Apulée de Madaur (125 - 170 ap JC), ce grand romancier d'origine berbère dont le nom est resté à jamais lié à «Métamorphoses » (une œuvre plus connue sous le nom de « l'Ane d'or»), sans oublier Maximus le grammairien, Sainte Christine la martyre ou encore Aurélius Augustinus, plus connu sous le nom de Saint Augustin (354-430 ap JC), ce grand messager de la paix auteur de : Cité de Dieu, les Confessions, la cité Trinité, Traites de la musique. Mdaourouche (chef-lieu de daïra) est aujourd'hui la troisième grande ville de Souk-Ahras. Située à 44 km au sud du chef-lieu de wilaya sur l'axe Souk-Ahras-Tébessa, cette ville ne cesse de connaître une courbe de développement croissante, en témoignent les dizaines de chantiers dont certains sont encore en cours de réalisation et qui couvrent plusieurs domaines (social, économique, culturel…). L'expansion de la ville vers le Nord comme vers le Sud, les infrastructures de base dont elle a bénéficié ainsi que la participation du secteur privé ont contribué à réduire le taux de chômage et à créer un pôle stratégique pour la wilaya. Dans le domaine social, on distingue des centaines de logements haut-standing qui ornent l'entrée nord de la ville, des dizaines d'établissements scolaires et hospitaliers dont l'hôpital 120 lits dont les travaux sont en cours, sans oublier les infrastructures sportives. Le célèbre site de Madaure, érigé à 7 kilomètres au sud de la ville, et le fait que Mdaourouche fait partie du circuit saint Augustin ont poussé les responsables locaux à se tourner vers le développement du secteur touristique (principal pourvoyeur de devise). Ainsi, une zone d'expansion touristique comprenant des infrastructures hôtelières, de loisirs et un musée régional a été prévue dans cette région, ce qui est en mesure d'apporter un plus à toute la wilaya. Le secteur privé, drivé par des «enfants de la ville» qui préfèrent investir dans leur ville natale, a, lui aussi, mis la main à la pâte par la construction de plusieurs unités de production et de transformation (minoterie, limonaderie…). Mdaourouche assure l'autosuffisance de la wilaya en gaz butane car possédant une usine de remplissage de bonbonnes. Elle assure aussi l'autosuffisance et même l'exportation des céréales (orge notamment). Ses vastes terres lui procurent le titre de leader en matière d'élevage ovin et bovin. L'endroit stratégique et la paix qui y règne ont poussé les autorités militaires à y implanter une école de Gendarmerie, une école qui a reçu ce week-end des centaines de candidats, en majorité des universitaires et nouveaux bacheliers tous venus de wilayas de l'ouest dans l'espoir de décrocher une place dans ce corps.