La consommation nationale moyenne de se situera à l'horizon 2019 entre 42 et 45 Gm3 où la consommation de la distribution publique passera de 5,7 Gm3 en 2009 à 10,5 Gm3 en 2019 avec la concrétisation des différents programmes de développement du gaz. La consommation nationale moyenne de se situera à l'horizon 2019 entre 42 et 45 Gm3 où la consommation de la distribution publique passera de 5,7 Gm3 en 2009 à 10,5 Gm3 en 2019 avec la concrétisation des différents programmes de développement du gaz. «Le premier investissement dans le secteur de l'électricité concernera un projet de production de 1230 mégawatts en 2013, alors que la capacité totale proposée pour la période 2013-2019 est de l'ordre de 6500 MW sachant que la capacité additionnelle est évaluée à 11 300 MW» a notamment affirmé, hier, Farid Rahouel, directeur de la Planification et du suivi des programmes au sein de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG) au cours de la présentation des programmes indicatifs de l'électricité et du gaz pour la période 2010-2019. Pour ce qui est du gaz naturel, il précise que le développement de 25 projets est nécessaire soulignant que la production totale de gaz en 2009 a atteint 808 Gwh. En 2020, la demande pourrait atteindre le volume de 27,965 Gm3 selon le scénario moyen, soit une hausse de 2% comparativement avec l'année 2009. Les statistiques en matière de demande de gaz entre 2010 et 2019 font ressortir trois scénarios, à savoir 42 Gm3 en 2019 et 353 Gm3 cumulés sur la période 2010-2019 (4,3 % de croissance annuelle), 45,2 Gm3 (5 % de croissance pour le scénario moyen) et enfin pour le scénario fort, 55,3 Gm3 d'ici dix années, soit une croissance de 7,1 %. Mais, la consommation nationale moyenne de se situera à l'horizon 2019 entre 42 et 45 Gm3 où la consommation de la distribution publique passera de 5,7 Gm3 en 2009 à 10,5 Gm3 en 2019 avec la concrétisation des différents programmes de développement du gaz. L'évolution de la consommation fait également ressortir la part de la clientèle industrielle dont les besoins sont estimés passeront de 9,8 Gm3 en 2009 à 19 Gm3 en 2019, soit un taux de croissante de 6,9 % imputable essentiellement à de nouveaux projets pétrochimiques et gazo-chimiques. La CREG souligne aussi que le faible taux de consommation des centrales électriques qui est de 2,7 % est dû à l'intégration du cycle combiné présentant une meilleure efficacité énergétique. Pour ce qui est de l'électricité, le programme indicatif montre que les besoins sont encadrés par trois scénarios, la capacité totale additionnelle en fin de période varie entre 7700 à 11 300 MW tandis qu'une capacité de 4800 MW est engagée sachant que le reste sera réalisé sur la seconde période. Enfin, la capacité installée en fin de période est estimée à 16 500 MW concernant le scénario moyen et de 20 000 MW pour ce qui est du scénario fort. A propos des énergies renouvelables qui ne connaitront un développement palpable que dans 10 années, en raison de l'utilisation optimale des ressources fossiles (hydrocarbures) la production électrique à l'horizon 2020 aura un taux de 8 % alors que la capacité annuelle à installer serait de 335 MW par an à partir de 2015. Une autre hypothèse indique, cependant, que la croissance de la production de l'électricité à partir de l'énergie solaire serait de 6 % où la capacité annuelle à installer sera de 236 MW. «Le premier investissement dans le secteur de l'électricité concernera un projet de production de 1230 mégawatts en 2013, alors que la capacité totale proposée pour la période 2013-2019 est de l'ordre de 6500 MW sachant que la capacité additionnelle est évaluée à 11 300 MW» a notamment affirmé, hier, Farid Rahouel, directeur de la Planification et du suivi des programmes au sein de la Commission de régulation de l'électricité et du gaz (CREG) au cours de la présentation des programmes indicatifs de l'électricité et du gaz pour la période 2010-2019. Pour ce qui est du gaz naturel, il précise que le développement de 25 projets est nécessaire soulignant que la production totale de gaz en 2009 a atteint 808 Gwh. En 2020, la demande pourrait atteindre le volume de 27,965 Gm3 selon le scénario moyen, soit une hausse de 2% comparativement avec l'année 2009. Les statistiques en matière de demande de gaz entre 2010 et 2019 font ressortir trois scénarios, à savoir 42 Gm3 en 2019 et 353 Gm3 cumulés sur la période 2010-2019 (4,3 % de croissance annuelle), 45,2 Gm3 (5 % de croissance pour le scénario moyen) et enfin pour le scénario fort, 55,3 Gm3 d'ici dix années, soit une croissance de 7,1 %. Mais, la consommation nationale moyenne de se situera à l'horizon 2019 entre 42 et 45 Gm3 où la consommation de la distribution publique passera de 5,7 Gm3 en 2009 à 10,5 Gm3 en 2019 avec la concrétisation des différents programmes de développement du gaz. L'évolution de la consommation fait également ressortir la part de la clientèle industrielle dont les besoins sont estimés passeront de 9,8 Gm3 en 2009 à 19 Gm3 en 2019, soit un taux de croissante de 6,9 % imputable essentiellement à de nouveaux projets pétrochimiques et gazo-chimiques. La CREG souligne aussi que le faible taux de consommation des centrales électriques qui est de 2,7 % est dû à l'intégration du cycle combiné présentant une meilleure efficacité énergétique. Pour ce qui est de l'électricité, le programme indicatif montre que les besoins sont encadrés par trois scénarios, la capacité totale additionnelle en fin de période varie entre 7700 à 11 300 MW tandis qu'une capacité de 4800 MW est engagée sachant que le reste sera réalisé sur la seconde période. Enfin, la capacité installée en fin de période est estimée à 16 500 MW concernant le scénario moyen et de 20 000 MW pour ce qui est du scénario fort. A propos des énergies renouvelables qui ne connaitront un développement palpable que dans 10 années, en raison de l'utilisation optimale des ressources fossiles (hydrocarbures) la production électrique à l'horizon 2020 aura un taux de 8 % alors que la capacité annuelle à installer serait de 335 MW par an à partir de 2015. Une autre hypothèse indique, cependant, que la croissance de la production de l'électricité à partir de l'énergie solaire serait de 6 % où la capacité annuelle à installer sera de 236 MW.