Malgré trois guichets réservés pour le retrait des opérations du CCP, les chaînes d'attente s'allongent jusqu'en dehors de la salle. En effet, il faut s'armer de patience et attendre des heures pour arriver au guichet. Malgré trois guichets réservés pour le retrait des opérations du CCP, les chaînes d'attente s'allongent jusqu'en dehors de la salle. En effet, il faut s'armer de patience et attendre des heures pour arriver au guichet. Les bureaux de poste de la wilaya de Béjaïa, en général, et du chef-lieu de wilaya en particulier connaissent ces derniers jours un afflux massif des citoyens qui désirent retirer leur argent à l'approche de la fête de l'Aïd el-fitr. Au bureau de poste de la Recette principale dans la haute ville, un grand monde se bouscule dans l'immense salle. Malgré trois guichets réservés pour le retrait des opérations du CCP, les chaînes d'attente s'allongent jusqu'en dehors de la salle. En effet, il faut s'armer de patience et attendre des heures pour arriver au guichet. Même constat à la plaine au niveau de la poste de la rue de la Liberté. Hier, les terminaux étaient en panne. Aucune connexion durant la matinée. La préposée du guichet nous dira : «C'est général, même au niveau des services poste d'Alger, ils n'ont pas de connexion.» Certes, c'est un véritable calvaire pour les citoyens qui ne savent plus à quel saint se vouer face aux conditions de vie pénibles avec les dépenses qui se suivent durant ce mois de Ramadhan puis la fête de l'Aïd, et encore la rentrée scolaire comme le confirme cet agent de la poste de Béjaïa qui dira «durant le Ramadhan, les gens dépensent beaucoup d'argent. C'est toujours la chaîne, les gens viennent consulter leur CCP pour voir si leur paie est versée dans leur compte, mais cette fin du mois s'annonce houleuse avec tout ce monde car toutes les sociétés ont viré les salaires durant ces deux jours, et vous voyez les bousculades, les scènes de bagarres. Les gens ont leurs nerfs à fleur de peau surtout pour ceux qui font la chaîne durant des heures et ne trouvent pas d'argent dans leur compte, ce n'est pas tout le monde qui vous sourit». Ainsi, fonctionnaires, retraités ou simples ouvriers vivent le même calvaire dans ces bureaux de poste. Les bureaux de poste de la wilaya de Béjaïa, en général, et du chef-lieu de wilaya en particulier connaissent ces derniers jours un afflux massif des citoyens qui désirent retirer leur argent à l'approche de la fête de l'Aïd el-fitr. Au bureau de poste de la Recette principale dans la haute ville, un grand monde se bouscule dans l'immense salle. Malgré trois guichets réservés pour le retrait des opérations du CCP, les chaînes d'attente s'allongent jusqu'en dehors de la salle. En effet, il faut s'armer de patience et attendre des heures pour arriver au guichet. Même constat à la plaine au niveau de la poste de la rue de la Liberté. Hier, les terminaux étaient en panne. Aucune connexion durant la matinée. La préposée du guichet nous dira : «C'est général, même au niveau des services poste d'Alger, ils n'ont pas de connexion.» Certes, c'est un véritable calvaire pour les citoyens qui ne savent plus à quel saint se vouer face aux conditions de vie pénibles avec les dépenses qui se suivent durant ce mois de Ramadhan puis la fête de l'Aïd, et encore la rentrée scolaire comme le confirme cet agent de la poste de Béjaïa qui dira «durant le Ramadhan, les gens dépensent beaucoup d'argent. C'est toujours la chaîne, les gens viennent consulter leur CCP pour voir si leur paie est versée dans leur compte, mais cette fin du mois s'annonce houleuse avec tout ce monde car toutes les sociétés ont viré les salaires durant ces deux jours, et vous voyez les bousculades, les scènes de bagarres. Les gens ont leurs nerfs à fleur de peau surtout pour ceux qui font la chaîne durant des heures et ne trouvent pas d'argent dans leur compte, ce n'est pas tout le monde qui vous sourit». Ainsi, fonctionnaires, retraités ou simples ouvriers vivent le même calvaire dans ces bureaux de poste.