Un kamikaze perché sur une moto a tué un civil et cinq policiers afghans, hier, dans la province de Kunduz, dans le nord de l'Afghanistan a rapporté l'agence AP. Cinq autres personnes ont été blessées dans l'attaque à l'explosif commise à la mi-journée dans la capitale de la province, selon le chef de la police provinciale Abdul-Razaq Yacoubi. Un kamikaze perché sur une moto a tué un civil et cinq policiers afghans, hier, dans la province de Kunduz, dans le nord de l'Afghanistan a rapporté l'agence AP. Cinq autres personnes ont été blessées dans l'attaque à l'explosif commise à la mi-journée dans la capitale de la province, selon le chef de la police provinciale Abdul-Razaq Yacoubi. Des images ont montré le corps du kamikaze à côté des débris de sa moto à la suite de l'explosion. Bien qu'il n'y ait dans l'immédiat aucun signe permettant d'établir un quelconque lien, l'attentat-suicide a été perprétré un an tout juste après une attaque aérienne de l'Otan contre deux camions-citernes près de la ville de Kunduz, qui avait fait 142 morts. Par ailleurs, l'Otan a annoncé samedi qu'un commandant taliban avait été capturé et que six insurgés avaient été tués lors d'une opération militaire contre une cache de la rébellion dans le nord de l'Afghanistan. L'assaut lancé dans la province de Takhar a fait suite à une série de récentes interventions contre des chefs de l'insurrection afin de démoraliser la rébellion et de couper tout contact entre les groupes. Les forces afghanes et les soldats de l'Otan ont été la cible de tirs alors qu'ils approchaient vendredi d'une enceinte où le commandant taliban se cachait, selon l'Alliance atlantique. Les militaires ont riposté avec le soutien des appareils de la coalition. Les lieux ont alors été évacués, et le commandant ainsi que l'un de ses adjoints ont été interpellés. La province de Takhar était jusqu'à une date récente relativement calme, mais des incidents ont mis en évidence des activités croissantes de l'insurrection dans la région, située à quelque 250 km au nord de Kaboul, le long de la frontière avec le Tadjikistan. Quelque 140 mille soldats étrangers sont désormais déployés dans le pays. Ils ont à la fois pour mission de déloger les talibans des zones que ces derniers contrôlent depuis des années, et d'assurer la sécurité pour les élections du 18 septembre, dans lesquelles nombre voient l'espoir d'aider l'Afghanistan à emprunter la voie conduisant à une plus grande stabilité politique. Jusqu'à présent, la campagne électorale a été perturbée par des violences qui ont coûté la vie à au moins trois candidats et cinq personnes travaillant dans le cadre de la campagne. Des images ont montré le corps du kamikaze à côté des débris de sa moto à la suite de l'explosion. Bien qu'il n'y ait dans l'immédiat aucun signe permettant d'établir un quelconque lien, l'attentat-suicide a été perprétré un an tout juste après une attaque aérienne de l'Otan contre deux camions-citernes près de la ville de Kunduz, qui avait fait 142 morts. Par ailleurs, l'Otan a annoncé samedi qu'un commandant taliban avait été capturé et que six insurgés avaient été tués lors d'une opération militaire contre une cache de la rébellion dans le nord de l'Afghanistan. L'assaut lancé dans la province de Takhar a fait suite à une série de récentes interventions contre des chefs de l'insurrection afin de démoraliser la rébellion et de couper tout contact entre les groupes. Les forces afghanes et les soldats de l'Otan ont été la cible de tirs alors qu'ils approchaient vendredi d'une enceinte où le commandant taliban se cachait, selon l'Alliance atlantique. Les militaires ont riposté avec le soutien des appareils de la coalition. Les lieux ont alors été évacués, et le commandant ainsi que l'un de ses adjoints ont été interpellés. La province de Takhar était jusqu'à une date récente relativement calme, mais des incidents ont mis en évidence des activités croissantes de l'insurrection dans la région, située à quelque 250 km au nord de Kaboul, le long de la frontière avec le Tadjikistan. Quelque 140 mille soldats étrangers sont désormais déployés dans le pays. Ils ont à la fois pour mission de déloger les talibans des zones que ces derniers contrôlent depuis des années, et d'assurer la sécurité pour les élections du 18 septembre, dans lesquelles nombre voient l'espoir d'aider l'Afghanistan à emprunter la voie conduisant à une plus grande stabilité politique. Jusqu'à présent, la campagne électorale a été perturbée par des violences qui ont coûté la vie à au moins trois candidats et cinq personnes travaillant dans le cadre de la campagne.