Le scanner de l'hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel, six ans après son acquisition, est toujours hors service. En effet, le fonctionnement du scanner reste tributaire de la présence d'un radiologue au sein du dit hôpital. Le scanner de l'hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel, six ans après son acquisition, est toujours hors service. En effet, le fonctionnement du scanner reste tributaire de la présence d'un radiologue au sein du dit hôpital. Une affaire qui continue de faire l'objet de nombreuses interrogations ouvrant la porte à toutes sortes de spéculations sur le sort réservé à un tel appareillage, un don de l'association Daouia que préside l'homme d'affaire Djilali Mehri. Pour en savoir un peu plus sur cette question, nous nous sommes rapprochés d'un cadre de la direction de la santé qui nous a expliqué clairement que le scanner de l'hôpital de Jijel n'a pas fait l'objet de «sabotage» comme il est colporté ça et là. Bien au contraire, le fonctionnement du scanner reste tributaire de la présence d'un radiologue au sein de l'hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel. «Nos tentatives de conventionner les spécialités privés de Jijel avec l'hôpital afin de venir, le temps d'une journée ou deux par semaine, pour faire passer des scanners aux malades dans le besoin sont restées vaines», nous a assuré notre interlocuteur. A partir de là, nous dira ce cadre de la santé, il est hors de question de parler d'un quelconque problème de panne délibéré, occasionné à cet appareillage, une manière d'orienter les malades vers les cabinets privés pour y subir les examens, mais c'est plutôt une question de disponibilité de spécialistes sur le marché local. Avant de nous préciser, par ailleurs, que ces derniers lorsqu'ils existent, et pour des raisons commerciales, préfèrent exercer pour leurs propres comptes que de travailler dans le secteur public. Il nous donnera pour exemple le cas d'un radiologue connu sur la place, qui avant d'ouvrir son propre cabinet a exercé auparavant à l'hôpital de Jijel, qui, sollicité par l'administration de la santé pour contracter une convention avec elle, a refusé catégoriquement l'offre. Rappelons qu'en juin dernier, lors de la session de printemps de l'Assemblée populaire de wilaya (APW), le wali de Jijel a critiqué l'actuelle situation de blocage que connaît le scanner de l'hôpital, en menaçant même de recourir à d'autres moyens pour atténuer les souffrances des malades. Une affaire qui continue de faire l'objet de nombreuses interrogations ouvrant la porte à toutes sortes de spéculations sur le sort réservé à un tel appareillage, un don de l'association Daouia que préside l'homme d'affaire Djilali Mehri. Pour en savoir un peu plus sur cette question, nous nous sommes rapprochés d'un cadre de la direction de la santé qui nous a expliqué clairement que le scanner de l'hôpital de Jijel n'a pas fait l'objet de «sabotage» comme il est colporté ça et là. Bien au contraire, le fonctionnement du scanner reste tributaire de la présence d'un radiologue au sein de l'hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel. «Nos tentatives de conventionner les spécialités privés de Jijel avec l'hôpital afin de venir, le temps d'une journée ou deux par semaine, pour faire passer des scanners aux malades dans le besoin sont restées vaines», nous a assuré notre interlocuteur. A partir de là, nous dira ce cadre de la santé, il est hors de question de parler d'un quelconque problème de panne délibéré, occasionné à cet appareillage, une manière d'orienter les malades vers les cabinets privés pour y subir les examens, mais c'est plutôt une question de disponibilité de spécialistes sur le marché local. Avant de nous préciser, par ailleurs, que ces derniers lorsqu'ils existent, et pour des raisons commerciales, préfèrent exercer pour leurs propres comptes que de travailler dans le secteur public. Il nous donnera pour exemple le cas d'un radiologue connu sur la place, qui avant d'ouvrir son propre cabinet a exercé auparavant à l'hôpital de Jijel, qui, sollicité par l'administration de la santé pour contracter une convention avec elle, a refusé catégoriquement l'offre. Rappelons qu'en juin dernier, lors de la session de printemps de l'Assemblée populaire de wilaya (APW), le wali de Jijel a critiqué l'actuelle situation de blocage que connaît le scanner de l'hôpital, en menaçant même de recourir à d'autres moyens pour atténuer les souffrances des malades.